Le Rossignol De Baudelaire

(ricanement qui cache mal la gène, la souffrance). Le jaune est également la couleur du cocuage et la couleur des exclus. Le sonnet, après avoir été en vogue au XVIème siècle a perdu de sa gloire pour revenir à la mode au XIXème, notamment grâce à Baudelaire. Corbière eu une existence très particulière. Il est mort à 30 ans, il était très laid et avait des problèmes de santé. Ces difficultés ont été très mal vécues car son père avait réussi dans les lettres et était très séduisant. Corbière a été également

poésie de la terre ne meurt jamais ». Mais aussi: Disparaître loin, m’évanouir, me dissoudre et oublier Ce que toi, ami des feuilles, tu n’as jamais connu, Le souci, la fièvre, le tourment d’être Parmi les humains qui s’écoutent gémir. (Ode à un rossignol, traduction Alain Suied) John Keats fut le poète de l'effacement, l'amoureux de l'obscur. Celui d'une étrange alchimie entre une douce mélancolie et l'attrait de la douce mort. Il fut aussi un poète profondément épris d'éthique et de morale,

froide, peu romantique : la lune semble pâle, les éléments naturels semblent froids : « métal », « pierre ». * Animaux « monstrueux »: le Crapaud qui provoque la répulsion, le « poète tondu » (animalisation du poète), « Rossignol de la boue » (sorte de contradiction, le rossignol étant un oiseau qui charme par son chant) * Une montée de l'angoisse : le démonstratif « ça » à valeur indéfinie crée un effet de suspens. Progression de l'émotion (phrases inachevées, exclamations de plus en plus

triste, angoissante même, symbolisent la mort - le massif peu visible dans l'obscurité devient un poids écrasant, par son second sens, par le participe enterré et la préposition sous. - la terre est devenue boue gluante qui emprisonne : du ciel (rossignol) à la terre - l'ombre régnante semble annoncer la mort - le terme de pierre est équivoque : premier sens propre celui de l'animal (se cacher sous une pierre), autre sens possible par euphémisme = « mourir », la pierre devenant alors la pierre tombale

amoureux : - tentative de rapprochement → quelqu'un mais une inconnue (fidélité/amour d'un h pr femme) - impératif, 2e PS → autre personne + dialogue (discours direct et des tirets)→ conversation entre le crapaud/poète et une femme - Le poète = rossignol → allégorie de l'amour - rencontre avorte/échoue à cause du cadre + révélation de l'homme (un homme laid) - le poète tente de convaincre la femme de rester, elle répond brutalement - ellipse → la jeune femme s'est enfuie (à nous de remplir les « 

froide, peu romantique : la lune semble pâle, les éléments naturels semblent froids : « métal », « pierre ». - Animaux « monstrueux »: le Crapaud qui provoque la répulsion, le « poète tondu » (animalisation du poète), « Rossignol de la boue » (sorte de contradiction, le rossignol étant un oiseau qui charme par son chant) - Une montée de l'angoisse : le démonstratif « ça » à valeur indéfinie crée un effet de suspens. Progression de l'émotion (phrases inachevées, exclamations de plus en plus fortes)

Baudelaire, Musset, Nerval, Hugo… Ils ont été beaucoup à faire partie de la génération des poètes maudits. En effet, ce terme « maudit » vient du fait qu’ils étaient la plupart du temps incompris par les gens de leur époque et donc mis à l’écart. Ces poètes non satisfaits du monde qui les entourent partent donc à la recherche du « Beau ». Nous pouvons à cet égard parler du dandysme. Ce mouvement recherchant constamment la perfection, le beau suprême. Ces personnes adeptes du dandysme, passaient

froide, peu romantique : la lune semble pâle, les éléments naturels semblent froids : « métal », « pierre ». - Animaux « monstrueux »: le Crapaud qui provoque la répulsion, le « poète tondu » (animalisation du poète), « Rossignol de la boue » (sorte de contradiction, le rossignol étant un oiseau qui charme par son chant) - Une montée de l'angoisse : le démonstratif « ça » à valeur indéfinie crée un effet de suspens. Progression de l'émotion (phrases inachevées, exclamations de plus en plus fortes)

vert sombre. ... Un chant ; comme un écho, tout vif, Enterré, là, sous le massif... - Ça se tait : Viens, c’est là, dans l’ombre... - Un crapaud ! - Pourquoi cette peur, Près de moi, ton soldat fidèle ! Vois-le, poète tondu, sans aile, Rossignol de la boue... - Horreur ! - ... Il chante. - Horreur !! - Horreur pourquoi ? Vois-tu pas son oeil de lumière... Non : il s’en va, froid, sous sa pierre. ..................................................................... Bonsoir - ce crapaud-là

Cette anthologie poétique, sera axée sur les femmes Cette anthologie est donc composée des poèmes suivants : Les femmes, tiré du recueil Alcools de Guillaume Apollinaire. Femme noire, Léopold Sédar Senghor Le serpent qui danse, Charles Baudelaire - Les Fleurs du mal Femme noire Femme nue, femme noire Vétue de ta couleur qui est vie, de ta forme qui est beauté J'ai grandi à ton ombre; la douceur de tes mains bandait mes yeux Et voilà qu'au cœur de l'Eté et de Midi, Je te