Le Rouge Et Le Noir Dénouement

dans des planètes différentes. » : la quarantaine L.A n°4 : p227/229 de « Depuis, je n'ai pas changé. » à « c'est-à-dire à la paix. » : la confession de Tarrou L.A n°5 : p278/279 de « Du port obscur montèrent les premières fusées » à la fin : le dénouement Documents complémentaires : ✗ Extraits de « Le mythe de Sisyphe » et de « L'Homme révolté », Albert Camus ✗ Corpus autour de l'évolution du héros de roman : ✔ Extrait du Roland furieux, L'Arioste (traduction d'Italo Calvino) : un héros en

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ‘’Le petit chaperon rouge’’ Nouvelle de 3 pages « Il était une fois une petite fille de village, la plus jolie qu'on eût su voir ; sa mère en était folle, et sa mère-grand plus folle encore. » Cette petite fille avait une coiffe rouge, d’où son nom de « chaperon rouge ». Sa mère, ayant fait des galettes, lui demanda d'aller en porter une, avec un «petit pot de beurre», à sa grand-mère qui était

place, les péripéties sont nombreuses et les scènes familières (tirées du quotidien) remplacent les scènes tragiques. Pastorale : la pastorale est l’histoire d’un amour tendre et naïf longtemps contrarié entre bergers et bergères, mais dont le dénouement est heureux. Au 19e siècle, la tragédie est remplacée par le drame romantique et elle est contestée par les Romantiques : dans le Préface de Cromwell publié en 1827, Victor Hugo ridiculise les règles classiques en prenant comme exemple « Cinna »

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ‘’Le petit chaperon rouge’’ Nouvelle de 3 pages « Il était une fois une petite fille de village, la plus jolie qu'on eût su voir ; sa mère en était folle, et sa mère-grand plus folle encore. » Cette petite fille avait une coiffe rouge, d’où son nom de « chaperon rouge ». Sa mère, ayant fait des galettes, lui demanda d'aller en porter une, avec un «petit pot de beurre», à sa grand-mère qui

dans des planètes différentes. » : la quarantaine L.A n°4 : p227/229 de « Depuis, je n'ai pas changé. » à « c'est-à-dire à la paix. » : la confession de Tarrou L.A n°5 : p278/279 de « Du port obscur montèrent les premières fusées » à la fin : le dénouement Documents complémentaires : Extraits de « Le mythe de Sisyphe » et de « L'Homme révolté », Albert Camus Corpus autour de l'évolution du héros de roman : Extrait du Roland furieux, L'Arioste (traduction d'Italo Calvino) : un héros en diamant Extrait

temps de la pièce et qu’on nomme la règle des trois unités. 9. Lorsqu’un personnage prononce dans le dialogue, un texte très long, on appelle ce texte une tirade. 10. La dernière scène d’une pièce où le problème central et résolu s’appelle le dénouement. 11. Le problème central de la pièce s’appelle le nœud dramatique. 12. L’ensemble des événements d’une pièce de théâtre est communément appelé l’intrigue. 13. Le terme exact pour désigner un spectacle de théâtre est une représentation. 14. La

la Goutte d’Or, et parmi eux de bons ouvriers (Goujet), de beaux parleurs, profiteurs (Lantier), des alcooliques (Coupeau, Bibi-la-Grillade), de vieux ouvriers abandonnés (le père Bru). Leur travail présente diverses facettes, et toutes ne sont pas noires : certes le linge que nettoient Gervaise et ses ouvrières porte une crasse sordide, certes la machine à forger les boulons prendra la place des forgerons, mais il n’en demeure pas moins que Gervaise est heureuse dans sa boutique et que Goujet manie

les uns des autres. Voltaire supplie les hommes de dépasser leurs différends. La dénonciation du fanatisme religieux * Pour V, fanatisme vient d’une trop grde importance donnée aux rites : cérémonie ou non (cierges), vêtements portés (blanc, noir), langue (latin ou non)… différences trop prises en compte, mais V les rend ridicules en ne disant rien de leur origine. Satire des hauts dignitaires, des biens matériels (parcelles d’un tas de boue). Pour V, les cultes célébrant Dieu ne doivent pas

sont présentés le plus souvent dans l’ordre logique et chronologique des faits, lesquels s’enchaînent rapidement pour aboutir à une situation de crise. Tout le récit se focalise sur la résolution de la crise et conduit le lecteur sur la piste d’un dénouement (parfois sur une fausse piste). Le narrateur peut intervenir pour exprimer son jugement sur les événements ou prendre le lecteur à témoin. La nouvelle se termine sur une chute brutale, qui laisse généralement le lecteur déconcerté et lui donne à

Spleen, mot anglais provenant du grec ancien splēn qui signifie « rate » ou « mauvaise humeur ». En effet les Grecs, dans le cadre de la théorie des humeurs, pensaient que la rate déversait un fluide noir dans le corps : la bile noire, responsable de la mélancolie (melankholía) composé de mélas, « noir » et de khōlé, « la bile ». La surabondance de cette bile, sécrétée par la rate, provoquait, selon eux, la mélancolie. Le spleen devient une conception propre au romantisme français. Chez les premiers