Le Régionalisme Espagnol

Ces deux pays ont poussé très loin le processus de décentralisation surtout au profit des régions. Les régions des Etats régionaux se rapprochent des Etats fédérés dans les Etats fédéraux (surtout dans l'autonomie). 1) Le régionalisme espagnol Art.2 de la Constitution espagnole de 1978 « La Constitution reconnaît et garantie le droit à l'autonomie des nationalités et des régions ». Quand différentes provinces voisines ont des caractéristiques communes d'un point de vue culturel et linguistique, elles

deux plus grands exemples de cette forme d’Etat sont l’Italie et l’Espagne ; dans ces pays les collectivités bénéficient d’un droit à l’autonomie qui est consacré par la Constitution et que l’Etat doit s’attacher à mettre en œuvre. 1) Le Régionalisme Italien §1. Le principe de l’autonomie La Constitution italienne du 27 décembre 1947, tout en établissant un Etat unitaire, reconnaît simultanément une forte autonomie politique et administrative aux entités infra étatiques que sont les régions

deux plus grands exemples de cette forme d’Etat sont l’Italie et l’Espagne ; dans ces pays les collectivités bénéficient d’un droit à l’autonomie qui est consacré par la Constitution et que l’Etat doit s’attacher à mettre en œuvre. 1) Le Régionalisme Italien §1. Le principe de l’autonomie La Constitution italienne du 27 décembre 1947, tout en établissant un Etat unitaire, reconnaît simultanément une forte autonomie politique et administrative aux entités infra étatiques que sont les régions

plus que des programmes de recherche tels que "Environnement et Santé" ou "Les écosystèmes maritimes" ou encore "Fission nucléaire". - 14 - EURADA\DOSSIERS\New Economy-F pour la période 2000-2006. Tous ces transferts concernent des clubs espagnols et italiens, soit les pays que se partagent plus de 39% du total des Fonds Structurels au cours de cette même période. Le gigantisme des transactions économiques met en exergue la faiblesse des marges de manœuvre des pouvoirs publics locaux et régionaux

De plus, les Etats-Unis sont les 1ers à se décoloniser => il reste le Sud avec l’Amérique Ibérique, le Mexique, le Brésil. En Europe, l’époque est marquée par les guerres Napoléoniennes en Espagne qui affaiblit considérablement le pouvoir espagnol. En Amérique, on en profite pour mener des guerres d’indépendances. La doctrine Monroe permet aussi à ces pays d’affirmer l’indépendance du continent américain. Ce n’est qu’à la fin du 19ème que la Grande Bretagne quitte réellement le continent

de 1 951 (CECA) et surtout de 1957 (traités de Rome), est mise en œuvre une politique d’intégration ; elle s’étend à 12 pays en 1989. Elle repose sur des critères politiques et économiques d’adhésion au modèle de la démocratie libérale. Le cas espagnol, s’il est choisi comme sujet d’étude, peut éclairer les conditions, les motivations, les enjeux et les difficultés de cette construction européenne. L’effondrement du bloc de l’Est met fin à cette division de l’Europe et entraîne une recomposition

contraire, dans l’avènement du processus des normes culturelles. Les différences entre les groupes ont tendance à s’estomper. De plus, les valeurs de ces différents groupes vont se mélanger. Exemple : les migrants européen comme les Belges, les Espagnols… L’homme hybride culturel va avoir un problème : Il ne sera jamais complètement accepté dans sa culture d’accueil et pas non plus accepté dans sa culture d’origine. Il va vivre intimement 2 cultures différentes sans jamais être intégré dans l’une

évalué les effets de l’élargissement de l’Union européenne aux pays d’Europe Centrale et Orientale (PECO) sur la spécialisation des activités. Il en résulte que certains PECO avancés (République Tchèque, Slovénie, Hongrie) s’orientent vers le modèle espagnol de rattrapage et de diversification des activités et tendent vers le schéma européen de spécialisation intra-branche. À l’opposé, les autres pays risquent de rester enfermés dans une spécialisation inter-branche traditionnelle et de connaître une

kantienne, parce qu’elle n’est pas seulement physique, mais aussi et surtout écrite du point de vue pragmatique, peut non moins apparaître, en dépit des limitations qu’elle présente aujourd’hui à nos yeux, comme un effort pour sortir la pensée de son régionalisme, pour s’ouvrir à l’autre et faire progressivement entrer l’Universel dans le réel. Car le point de vue pragmatique, on va le voir, c’est celui qui ouvre l’homme à l’Idée d’une « citoyenneté mondiale ». Par conséquent, la question que soulève la

pacifique aux grands conflits internationaux des années trente : l’invasion de la Mandchourie par le Japon, les violations du Traité de Versailles par Hitler, l’annexion de l’Éthiopie par l’Italie et les interventions étrangères dans la guerre civile espagnole.25 Sans développer ce constat des reproches faits à la SDN, on peut, au minimum, se demander si l’une des causes de ce dysfonctionnement n’est pas en rapport avec les modalités de prise de décision dans le cadre de cette organisation. Comme le note