Le Savoir Vivre

et fin de toute chose Citations : * Cicéron : « consciente et sage, la nature est le plus beau des gouvernements. » * Sénèque : « il faut en effet prendre la nature comme guide, c’est elle que la raison observe et consulte. Car vivre heureusement et vivre conformément à la nature est une même chose. » Les premières questions que se posent ces penseurs face au monde c’est sa persistance dans le changement perpétuel. * Héraclite : « on ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve

futur que l’on espère bon. Jacques-Bénigne Bossuet dit qu’ « il faut laisser le passé dans l’oubli et l’avenir à la Providence ». La Providence étant le contrôle de nos actions par une Puissance supérieure, habituellement appelé Dieu. Il faudrait donc vivre en se souciant seulement du moment présent, en faisant abstraction du passé et confiance à Dieu. Faut-il donc se soumettre à cette « loi morale » qui nous est dictée par un homme d’église du XVIIe qui vivait aisément à l’inverse de la majorité de la

Charte des Enfants Les enfants ont le droit ... • • • • • • • • • • • de vivre ; à la non-différence ; à une identité, une nationalité ; de connaître leurs parents, d'être élevés par eux ; d'être nourris, logés, soignés ; d'être éduqués, informés, d'avoir accès à la culture ; à la liberté de pensée, de conscience, de religion ; d'être protégés contre la négligence, la maltraitance, toute violence physique ou mentale, y compris la violence sexuelle ; de s'exprimer librement : oralement, par écrit

sur terre, il semble qu'il y ait une difficulté à être heureux réellement. La question est donc de savoir : quel statut faut-il donner au bonheur dans la vie des hommes? Le bonheur est-il la fin suprême de l'action humaine? Les hommes vivent ils dans le but d'atteindre cet idéal de plénitude? Mais ne faut-il pas s'éloigner de cette recherche du bonheur comme fin, et accepter, profiter de vivre sa vie faite de plaisirs éphémères? Enfin, le bonheur n'est-il pas le résultat d'un travail humain

L'introduction au savoir philosophique La philosophie, c'est une réflexion sur les savoirs disponibles, et elle nous permet de penser par nous mêmes, ce qui s'appelle philosopher. Dans la culture occidentale, la philosophie est née en Grèce quelques siècles avant Jésus-Christ. On peut considérer, comme le premier philosophe Socrate, qui à fixé l'idée de la philosophie actuelle. Avant ce philosophe, on appelait aux penseurs, présocratiques, ces penseurs étudiaent surtout la physique, fisis, en

on songe plus à vivre longtemps qu'à vivre bien, pourtant, chacun est maître de bien vivre, nul de vivre longtemps. » Il faut ainsi se concentrer sur les biens d'ici bas et ne pas craindre un hypothétique mal de la mort. Epicure distingue ensuite trois types de désirs. Les premiers sont les désirs non naturels. Les seconds sont les désirs naturels non nécessaires et les troisièmes les désirs naturels nécessaires. Seuls ces derniers apportent le bonheur. Il m'est obscur de savoir pourquoi seuls eux

Lettre à Ménécée Epicure(341-271 avant J-C) Epicure considère que le bonheur est « à notre portée et facile à se procurer » à condition de – – – – – savoir ce qui nous rend malheureux revenir à l'essentiel se délivrer des croyances, des préjugés car c'est ce qui constitue un obstacle au Bonheur. Avoir des connaissance car c'est l'ignorance qui suscite la crainte, on a peur que de ce que l'on ne connaît pas, que ce de ce qu'on l'on ne maitrise pas. La peur se transforme en angoisse

de nos jours, serait-il nécessaire d'être instruit pour être heureux ? Nous développerons tout d'abord la thèse du sujet où l'instruction, par définition, est nécessaire au bonheur social, puis nous terminerons sur l'antithèse où la culture et le savoir peuvent paradoxalement être superficiels au bonheur individuel. Dans un premier temps et de toute évidence par rapport à la vie que nous menons et à la place de l'individu dans notre société, le bonheur social va de paire avec l'instruction. A

milieu naturel ou à la société qui nous entoure l’adaptation pose toujours problèmes. Quelles sont les limites à poser pour vivre ensemble sans perdre toute notre individualité pour autant ? A ce sujet Blaise Cendrars a écrit : « Un être vivant ne s’adapte jamais à son milieu, ou alors, en s’adaptant, il meurt. La lutte pour la vie est la lutte pour la non-adaptation. Vivre c’est être différent. »Cette citation est paradoxale en cherchant à établir une réflexion chez le lecteur. Cendrars remet donc

domaine de recherche Le thème de la marginalité me plaît car il s'intéresse à une minorité, à un groupe humain adoptant un comportement différent, hors norme. Je définis spontanément la marginalité par le fait d'être en marge et par une façon de vivre et d'agir autrement. Ces comportements peuvent résulter d'un choix ou être subit. Ce dernier point dans ma définition de la marginalité m'a beaucoup posé question. Voulais-je étudier la marginalité choisie ou la marginalité subit ? Dans un premier