Le Siège de l'âme

dans sa pièce Les Robots universels de Rossum, des automates, des ouvriers artificiels. Or « robot » est formé à partir du vieux slave « robota » (même racine que l'allemand « Arbeit ») qui désignait à l'origine l'esclavage... Descartes : l'âme, substance pensante, et le corps-machine Ces textes ont été écrits par Descartes (1596-1650), un des premiers philosophes modernes. Le premier extrait développe l'idée que la seule certitude (qui servira de « principe » = première vérité) est celle

signifie pur, car elle donne comme but à l'homme d'atteindre la pureté parfaite de l'âme. Pendant la durée de sa vie terrestre, considérée comme une épreuve, l'Homme doit s'efforcer, par une conduite appropriée, de rompre avec la matière, le monde physique et les besoins grossiers. Pour les cathares, qu'on appelle aussi albigeois (de la région d'Albi), tout cela représente le Mal auquel est opposé le Bien, c'est-à-dire l'âme purifiée, ignorant les désirs du corps. Ceux qui parviennent à purifier leur âme

nous apprendrons à détacher notre âme de notre corps et à voyager dans les régions intérieures. L'art de la méditation peut nous être enseigné par des Maîtres spirituels ou des Mystiques qui ont euxmêmes maîtrisé la Science spirituelle ou Science de l'âme. Ils nous en expliqueront d'abord l'aspect théorique pour ensuite nous en donner une démonstration pratique en nous initiant aux Mystères de l'au-delà. Ces enseignants spirituels nous révèlent qu'au commencement le Principe Créateur de l'Univers, que

« yeux », mais après, quand il affirme explicitement son désir de mort, il distingue encore la part vraiment mortelle et destinée à périr de chaque être vivant, c’est-à-dire, le corps, et celle qui a comme destin celui de l’immortalité, c’est-à-dire, l’âme, « l’esprit », qui vivra dans les Cieux. 2) L’atmosphère sombre et morose de la mort est présent depuis les premières vers et accompagne tout le poème grâce à l’usage de mots liés à la douleur et à la souffrance, comme, par exemple, « blessé »,

volontairement ». Cette thèse surprenante de prime abord doit être reliée aux deux autres : « Commettre l’injustice est pire que la subir » ; « Quand on est coupable il est pire de n’être pas puni que de l’être ». L’injustice est un vice, une maladie de l’âme, c’est pourquoi, nul ne peut vraiment la vouloir (on ne peut vouloir être malade), et la punition, qui est comparable à la médecine, est bénéfique à celui qui la subit. L’attitude commune face à la justice est résumée par Polos dans « Gorgias » et

signifie pur, car elle donne comme but à l'homme d'atteindre la pureté parfaite de l'âme. Pendant la durée de sa vie terrestre, considérée comme une épreuve, l'Homme doit s'efforcer, par une conduite appropriée, de rompre avec la matière, le monde physique et les besoins grossiers. Pour les cathares, qu'on appelle aussi albigeois (de la région d'Albi), tout cela représente le Mal auquel est opposé le Bien, c'est-à-dire l'âme purifiée, ignorant les désirs du corps. Ceux qui parviennent à purifier leur âme

A chacun des voyages correspond un élément : le Feu, représentant l'Esprit, l'Eau, reflet de l'Ame et la Terre, siège du corps. L'homme qui aspire à être libre doit apprendre à se détacher des choses futiles et se souvenir que la cupidité est le pivot de tous les vices anti-sociaux A chacun des voyages correspond un élément : le Feu, représentant l'Esprit, l'Eau, reflet de l'Ame et la Terre, siège du corps. Ils représentent les trois états de l'impétrant : - au premier voyage, il est déclaré

unique pôle qui le fascine. -> coupé du monde Les passions ne produiront que des réactions aliénantes, obstacles à la liberté oppose raison et passion en les situant dans des parties distinctes de l’âme. La partie rationnelle est localisée dans la tête tandis que la partie désirante, qui est le siège des passions, est localisée dans le ventre. Les passions conduisent l’homme à négliger la raison, à ne plus vivre que selon sa sensibilité et ses impulsions, c’est-à-dire à vivre dans l’illusion en

II. Âme a. Siège de la raison b. Pas matérielle  possibilité de visions du monde des idées c. Existence de l’âme préalable au corps d. Appartenance antérieure de l’âme au monde des idées e. Une fois dans le corps, oubli des idées parfaites par l’âme f. Au fur et à mesure de l’appréhension des choses resurgissement des vagues souvenirs dans l’âme g. D’où le désir de « retrouver la vraie demeure de l’âme » h. Appellation du désir : éros = amour i. Redécouverte de sa demeure par l’âme avec l’aide

effet, pour Rabelais le savoir est primordial, c'est, pour lui comme pour de nombreux hommes, ce qui peut sauver l'âme. Mais pour Rabelais, l'âme est lié au corps. Il dit même que « le sang est le siège de l'âme ». Pour lui, les deux sont lié intimement. Contrairement à Socrate qui lui, pensais que le corps était un poids à traîner sur terre pour l'âme, qu'ainsi la mort libérerai son l'âme de son corps et que le peu de sagesse qu'il avait acquis durant la vie sur terre lui permettrai d’accéder au paradis