Le Socialisme Utopique Fin

d’autres mots en vogue à notre époque, totalitarisme ou totalitaire sont des termes que tout le monde emploie mais que peu savent définir : c’est aussi le cas de mondialisation, dont nous parlions l’an dernier ici même, ou encore de libéralisme ou de socialisme. Les élèves sortis du secondaire généralement ne le comprennent pas ou mal, si j’en juge par l’incapacité de la quasi totalité de mes élèves de classe préparatoire à distinguer un régime totalitaire d’une dictature. Peut-être est-ce dû au caractère

idées rivales se combattent et s'opposent suivant les courants On distingue trois grands courants: - Le Libéralisme: donne son impulsion initiale à la Révolution et qui va dominer pendant toute la 1ere partie de la période Révolutionnaire - Le socialisme: prend corps au cours de la Révolution et va dominer dans la pratique à l'époque de la Montagne et au travers la Constitution de 1793. - Le conservatisme: rejet total ou partiel de la Révolution ou rejet catégorique ou relatif de l'héritage révolutionnaire

: - L'enrichissement est une fin louable en soi : la recherche de la richesse crée la richesse. En voulant faire du profit on dépasse sa souffrance et on enrichit la société toute entière. ==> Comment peut-on enrichir la Nation, favoriser le développement économique ? ==> Comment mesurer la richesse ? - Bien que l'enrichissement personnel favorise l'intérêt général, l'économie doit rester au service du pouvoir. L'enrichissement personnel n'est pas une fin en soi, mais uniquement un moyen

visaient à soumettre « à une critique impitoyable le mélange de socialisme ou de communisme anglo-français et de philosophie allemande, qui formait alors la doctrine secrète de la Ligue »; ils y établissaient que « seule l'étude scientifique de la structure de la société bourgeoise pouvait fournir une solide base théorique. ». Ils y exposaient enfin « sous une forme populaire qu'il ne s'agissait pas de mettre en vigueur un système utopique, mais d'intervenir, en connaissance de cause, dans le procès

la monarchie sous Louis Philippe Ier reste censitaire et seuls les plus riches peuvent financer par impôt leur droit de vote, provoquant l’essor des mouvements républicains et des autres partis de gauche : l’esprit de liberté côtoie alors l’esprit utopique. En 1848, une révolte éclate à Paris le 22 février 1848 après l’interdiction d’un regroupement organisé par les républicains dans la capitale, et le 23 février, les manifestants sont gagnés par l’idéal de réforme électorale et parlementaire. Le 24

la faillite des lumières. Et ce sentiment est partagé dans les pays d’accueil où on a pu saluer la révolution de 1789 pour la libération qu’elle apportait, mais non la guerre et ses conséquences (terreur, occupations de territoires, excès). A la fin des années 1770, était né dans les pays allemands un courant (sturm und drang : tempête et passion) dont les représentants principaux sont Schiller et Goethe. Les paramètres nécessaires sont manquants ou erronés. Chacun écrit des œuvres qui caractérisent

* De déclarer la guerre, d'accorder des lettres de marque et de représailles, et d'établir des règlements concernant les prises sur terre et sur mer ; * De lever et d'entretenir des armées, sous réserve qu'aucune affectation de crédits à cette fin ne s'étende sur plus de deux ans ; * De créer et d'entretenir une marine de guerre ; * D'établir des règlements pour le commandement et la discipline des forces de terre et de mer ; * De pourvoir à la mobilisation de la milice pour assurer

contre le modèle culturel classique des pays latins tels que la France et l’Italie. Ainsi au XVIIIème siècle, on constate déjà un retour aux sources et aux traditions nationales. En Grande-Bretagne la première génération de romantiques se situe à la fin du XVIIIème siècle avec notamment Wordsworth, Coleridge. La deuxième génération est encore plus intensément romantique : entre 1812 et 1824, ce courant est alimenté par des poètes (Byron, Shelley, Keats), des romanciers (Marie Shelley, les sœurs

leur attirance réciproque. Il parvient également à convaincre Chaval d'adhérer à son association. Étienne se cultive, et alimente ses rêves de révolution sociale pacifique. Chaque soir, il fait une causerie, éveillant chez les Maheu des rêves utopiques. En fin octobre, les mineurs sont de plus en plus révoltés car la compagnie a baissé leur salaire. Des discussions sur l'opportunité d'une grève se déroulent chez Rasseneur. De plus, Jeanlin est victime d'un accident dans la mine et reste infirme.

Après la chute de la Monarchie de Juillet, il est élu à l'Assemblée constituante de 1848. Il est une personnalité éminente du parti de l'Ordre, un parti résolument conservateur. Prenant conscience du poids de la classe ouvrière et de l'émergence du socialisme avec la Révolution française de 1848, qu'il considère comme une trahison de la révolution de 1789, il approuvera sans aucune réserve la répression des Journées de Juin. Il est membre de la Commission chargée de la rédaction de la Constitution française