Le Soldat Blessé

inexorablement, embraser l’Europe. Un mois plus tard, en quelques jours et conformément aux alliances, la grande partie des pays européens sont en guerre. Partis plein d’enthousiasme, « la fleur au fusil » et espérant un retour victorieux avant Noël, ces soldats connaîtront quatre années de guerre d’une barbarie inouïe. LA VIOLENCE DE LA GUERRE À VERDUN Sous la forme d’un développement construit d’une vingtaine de lignes, montrez la violence de la guerre à Verdun. En 1916, les pays européens sont en

pendant la première guerre mondiale, l’expérience combattante pendant une guerre totale. I- l’épreuve du feu 1) Les combattants •Qui combat? L’environnement des hommes dans l’armée obéit à des modalités différentes selon les pays. L’essentiel des soldats est incorporé dans l’infanterie. Celui qui cherche à déserté sont passible de mort. (France, Allemagne, Russie, Italie —> Conscription) Au début du conflit, Le royaume Uni, l’Australie, le Canada, la nouvelle Zélande, l’Afrique du Sud et les USA

mobilisés appartenant à 101 formations différentes, soit 3.000 hommes en moyenne annuelle. Le cout pour former des militaires revient cher, mais le déploiement des tous ces militaires sur le sol Malien l’est encore plus. Il faut donc déployer les soldats mais aussi leurs équipements, les véhicules etc… Pour ne citer qu’une partie du côté matériel, au moins douze avions de combat ont été déployés. Cinq avions ravitailleurs C-135 FR sont également engagés sur les quatorze que compte l’armée française

2001 (« La chambre des officiers » de François Dupeyron). L’auteur a choisi ce titre car la chambre des officiers est l’endroit où se déroule la majeure partie de l’histoire. Cette pièce est une grande chambre de Val-De-Grâce Ou Adrien (Officier blessé au front pendant la première guerre mondiale) est hospitalisé. Le livre de 172 pages est composé de 10 chapitres non numérotés, le narrateur est aussi le personnage principal de l’histoire, c’est lui qui raconte sa vie chronologiquement depuis la

y a un véritable tournant médiatique de la guerre. I) Les médias sont en faveur de la guerre jusqu’en 1968. A) Une guerre d’images.Du coté des Etats-Unis, la guerre permet de montrer la force des soldats américains et de renforcer le modèle américain.· Les autorités américaines ont dès le départ refusé d’imposer une censure et facilite beaucoup la présence de journalistes mais maîtrise le contenu des images véhiculés. Dans le cadre de la guerre froide

la violence de masse et le bilan humain de la Première Guerre mondiale. Otto Dix était un soldat allemand nait en 1891. Entre 1914-1918, Otto Dix décide de s’engager dans l’armée allemande après avoir fait des études artistiques. Depuis le front, il dessinait la guerre sur ses carnets. Entre 1920-1924, Otto Dix consacre une série d’œuvre à la première guerre mondiale. Il raconte son expérience de soldat et la sauvagerie du conflit, il critique la guerre. En 1933, après la prise du pouvoir par

commencement mais finit par devenir le meilleur ami des autres soldats, convaincus par sa gentillesse et son doux caractère. -Sulphart : rouennais gouailleur et rouspéteur (« le rouquin ») -Bouffioux : peureux, mais souffre-douleur, il trouve toujours le moyen de ne pas aller au front en exerçant diverses activités à l’arrière, (« gras du ventre ») -Caporal Bréval : le caporal de l’escouade, très sentimental et ne voulant pas blesser les gens. -Boucke: un gars du nord, le ch'timi, seul à parler

allemande prit l'avantage, elle était plus organisée dans ses tranchées et dans ses rangs pour envoyer les soldats au front. Elle était également mieux équipée en armes et avait les moyens d'empêcher les Britanniques de percer leurs lignes. Les barbelés par exemple, étaient un rempart redoutable car, une fois pris dedans, il était difficile de s'en défaire et l'on devenait alors une proie facile. Les soldats anglais partirent à l'assaut des tranchées adverses, ils étaient lourdement chargés avec plus de 30

retrouvent Bassompierre (vétéran de la LVF et de la Milice), Fayard qui commande la Flak (Vétéran de la Sturmbrigade) ainsi qu'environ cent W-SS français, arrivant juste de Wildflecken. La Charlemagne a déjà 500 morts, 1.000 disparus, sans mentionner les blessés. 28 février 1945 : les SS français marchent vers Belgard pour une réorganisation. Cependant, quelques hommes ont été laissés à Neustettin, un bataillon placé sous les ordres d'un militant du PPF, l’Obersturmführer Auphan. Ces trois cents W-SS tiendront

moral est bas. L’armée allemande exécute alors le  plan de Falkenhayn : amener le  plus grand nombre de force française sur un champ de bataille,Verdun,  car la ville  se trouve près des usines d’obus et des voix de chemins de fer. Cette zone permet  aux soldats allemand d’attaquer de trois cotés. De plus la proximité de Verdun ne  demande pas de déplacer énormément leurs troupes. En choisissant un point précis  dans la ligne du front les allemands évitent de trop dégarnir les autres fronts et  renforcent la puissance de feu