Le Songe d'une nuit d'été

vous ai lu durant des veillées sinistres et, au bord de la mer sur des plages douces, en plein soleil d'été. Je vous ai emporté en Palestine, et c'est vous encore qui me consoliez, il y a dix ans, quand je mourais d'ennui dans le Quartier Latin. Votre poésie est entrée dans ma constitution comme le lait de ma nourrice. Tel de vos vers reste à jamais dans mon souvenir, avec toute l'importance d'une aventure. Je m'arrête. Si quelque chose est sincère pourtant, c'est cela. Désormais donc, je ne vous

lune Miss Harriet La main gauche Yvette L’inutile beauté Monsieur Parent Contes de la bécasse Les sœurs Rondoli Le docteur Héraclius Gloss et autres contes Les dimanches d’un bourgeois de Paris Le rosier de Madame Husson Contes du jour et de la nuit La vie errante Notre cœur Bel-Ami Le Horla Édition de référence : Paris, Paul Ollendorff, Éditeur, 1887. Le Horla ................................................................... 8 mai. – Quelle journée admirable ! J’ai passé toute la

Comme il est profond, ce mystère de l’Invisible ! Nous ne le pouvons sonder avec nos sens misérables, avec nos yeux qui ne savent apercevoir ni le trop petit, ni le trop grand, ni le trop près, ni le trop loin, ni les habitants d’une étoile, ni les habitants d’une goutte d’eau… avec nos oreilles qui nous trompent, car –5– elles nous transmettent les vibrations de l’air en notes sonores. Elles sont des fées qui font ce miracle de changer en bruit ce mouvement et par cette métamorphose

théories délirantes de Wagner et sa musique qui les porte en elle, par l'ouverture de Bayreuth à Hitler qui en fera quasiment sa villégiature.   En fait l‘idéologie est celle de la dictature nazie et la musique un prétexte et une arme de propagande, d’une prise de pouvoir. La prise de contrôle de l’Art — l’Art conçu comme un aspect essentiel de la vie culturelle — cette prise de contrôle représente un aspect lui-même essentiel de la prise de contrôle de toute la vie culturelle — prise de contrôle elle-même

Comme il est profond, ce mystère de l’Invisible ! Nous ne le pouvons sonder avec nos sens misérables, avec nos yeux qui ne savent apercevoir ni le trop petit, ni le trop grand, ni le trop près, ni le trop loin, ni les habitants d’une étoile, ni les habitants d’une goutte d’eau… avec nos oreilles qui nous trompent, car elles nous transmettent les vibrations de l’air en notes sonores. Elles sont des fées qui font ce miracle de changer en bruit ce mouvement et par cette métamorphose donnent naissance

..... 21 Le Retour du marin................................................. 22 Silverstrig............................................................................. 11 Quand Biron voulut danser.......................... 12 Miaou, miaou, la nuit dernière.............................................................. 23 La Fille dans la barque...................................... 14 Danny Boy............................................................................ 25 Le Temps des cerises

point d’ancrage. Premier poète de la « vie moderne », sinon de la modernité, Charles Baudelaire fait de l’œuvre poétique le lieu d’une interrogation et d’une révélation, renouvelant l’éternelle question de l’inspiration poétique et du sens de la création. Son œuvre en vers, dont le pendant (en prose) est constitué par Le Spleen de Paris, témoigne des désillusions d’une époque en quête d’équilibre entre ancien et moderne. Critique d’art à ses débuts, le poète sait par ailleurs associer les expériences

les contradictions d'une œuvre, qui allait s’écrire sur soixante ans. Dans les années 30, dans son roman ‘’Les voyageurs de l'impériale’’, il donna un éclairage sur son grand-père, qui aurait dû être son père adoptif dans le roman familial qu'on lui avait fabriqué. Et ce ne fut que très tardivement, à la fin des années soixante, qu'il évoqua publiquement, notamment dans ‘’Je n’ai jamais appris à écrire’’, sa filiation paternelle. Il fut élevé aussi dans la gêne financière d'une bourgeoisie déclassée

les contradictions d'une œuvre, qui allait s’écrire sur soixante ans. Dans les années 30, dans son roman ‘’Les voyageurs de l'impériale’’, il donna un éclairage sur son grand-père, qui aurait dû être son père adoptif dans le roman familial qu'on lui avait fabriqué. Et ce ne fut que très tardivement, à la fin des années soixante, qu'il évoqua publiquement, notamment dans ‘’Je n’ai jamais appris à écrire’’, sa filiation paternelle. Il fut élevé aussi dans la gêne financière d'une bourgeoisie déclassée

un mal nécessaire. Les riches les payaient pour animer les soirées mais ils étaient méprisés, surtout par l’Eglise qui les accusait de se glisser dans la peau de personnages qu’ils n’étaient pas et de célébrer des passions mauvaises (ex : Révolte d’une fille contre son père). a) Caractéristiques du théâtre de l’époque. • Les scènes étaient petites et éclairées par de chandelles. • Les spectateurs se tenaient dans le parterre devant la scène et participaient au spectacle. • Les riches