Le Souvenir Du Bonheur Et Le Souvenir Du Malheur

Lettres Modernes Groupe 3 Commentaire composé de littérature comparé GOETHE, Les souffrances du jeune Werther « Pourquoi faut-il que ce qui fait la félicité de l’homme devienne aussi la source de son malheur? » citation extraite de la lettre du 18 août 1771, du roman épistolaire de Johann Wolfgang Von GOETHE, Les souffrances du jeune Werther . Cette citation prend ici tout son sens en répondant à une interrogation majeure et primordiale tout au long du

jusqu'à la fin la deuxième partie. Le thème de la première partie, est le souvenir du poète, son souvenir de tous les moments vécus sur les bords du lac avec la femme aimée. Et dans la deuxième partie, nous parle de comment passe le temps, ce temps que lui voudrait l’arrêter, et que la seule qui perdure est la nature. Dans les deux premiers paragraphes le poète nous raconte son retour au lac, son retour aux souvenirs. Il s’adresse au lac avec un vocatif « Ô lac », c’est comme une invocation

un moment de bonheur mélancolique. Ainsi il s’agira de voir comment la narration d’un souvenir d’enfance livre une parenthèse de bonheur et dévoile l’importance et la particularité du personnage de la mère. Pour cela nous verrons d’abord l’hypotypose d’un souvenir important, ensuite nous aborderons l’aspect mélancolique de ce récit enfin nous analyserons la mise en avant du personnage de la mère dans cette scène. I L’hypotypose d’un souvenir important Le récit de ce souvenir permet au lecteur

un passé et un présent et tout le monde a eu dans son passé des déceptions et des échecs douloureux, nul n'est parfait. Et aussi des moments heureux que certaines personnes ne voudront pas oublier, On ne peut pas oublier le passé ni les moments du bonheur ni les moments du malheur.Mais ce que nous sommes aujourd'hui, les relations que nous nouons avec les autres, nos désirs, nos inhibitions, tout ce qui fait que nous sommes nous même et pas une autre personne, est le fruit de notre histoire, de nos

l’heure fugitive,Hâtons-nous, jouissons !L’homme n’a point de port, le temps n’a point de rive ;Il coule, et nous passons ! »Temps jaloux, se peut-il que ces moments d’ivresse,Où l’amour à longs flots nous verse le bonheur, S’envolent loin de nous de la même vitesse Que les jours de malheur ?Eh quoi ! n’en pourrons-nous fixer au moins la trace ?Quoi ! passés pour jamais ! quoi ! tout entiers perdus ?Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface,Ne nous les rendra plus ! […] Alphonse Lamartine, Méditations

C'est parfois dure de faire face à son passé, surtout quand celui-ci cache nos plus grands secrets. Faire face à nos bons ou mauvais souvenirs. Se rappeler un instant, un moment, inoubliable, ou cauchemardesque. Se remettre en question, mettre sa fierté de côté. Réfléchir. A nos amies qui n'étaient que de passages, à nos premiers émois amoureux, à nos déceptions, mais aussi nos rires, nos fous rires! On dit que le temps change les choses, mais en fait le temps ne fait que passer et nous devons

Sujet: N' y a t-il de bonheur que perdu? n'y a-t-il, comme bonheur, que le bonheur perdu? N'y a t-il?: Ici cela veut dire dans quels conditions sur quels fondements ou nécesité le bonheur existe. Que perdu: Le bonheur est-il perdu? sert-il a quelquechose?Si oui a quoi? Pourquoi cherchons nous le bonheur?Perdu--> on ne peut pas le récupérer. Le bonheur s'aquiert avec des premisse? peut -on le trouver? Donc le bonheur existe que dans la perte?ou renvoie t'il a quelque chose? notions:

Il vint à Bayeux, jolie ville située à deux lieues de la mer, chez une de ses cousines, qui l’accueillit avec cette cordialité particulière aux gens habitués à vivre dans la retraite, et pour lesquels l’arrivée d’un parent ou d’un ami devient un bonheur. A quelques usages près, toutes les petites villes se ressemblent. Or, après plusieurs soirées passées chez sa cousine madame de Sainte-Sevère, ou chez les personnes qui composaient sa compagnie, ce jeune Parisien, nommé monsieur le baron Gaston

jouissons ! L’homme n’a point de port, le temps n’a point de rive ; Il coule, et nous passons ! » Temps jaloux, se peut-il que ces moments d’ivresse, Où l’amour à longs flots nous verse le bonheur, S’envolent loin de nous de la même vitesse 40 Que les jours de malheur ? Eh quoi ! n’en pourrons-nous fixer au moins la trace ? Quoi ! passés pour jamais ! quoi ! tout entiers perdus ! Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface, Ne nous les rendra plus

lexical de la beauté, on trouve champ lexical du bonheur, qui rend la femme désirable “épanouie ravie ruisselante” repris en chiasme (ABC – CBA)”ruisselante ravie épanouie” : épanouie et ruisselante sont interchangeables, ont les mêmes connotations. On a donc plutôt : B- Le Souvenir d'une rencontre Enonciation : le poète s'adresse à une femme “je” “tu” = création d'une intimité par la parole appel répété au souvenir : moment de bonheur partagé structure des phrases très simple,