Le Souvenir Du Bonheur Et Le Souvenir Du Malheur

et soumis. Le poète écrit même qu'il faut profiter du jour présent (v.33). Le souvenir est créé par le présent. Le temps décide de tout, il est capricieux et nous enlève le bonheur. Aux vers 41-44, on comprend la souffrance du poète. Les strophes trois et quatre sont au passé, c'est un souvenir, c'est nostalgique. Il y a un discours avec le temps, strophe six à neuf. La nature est la seule force qui peut se souvenir, et garder une trace du présent. C'est aussi la seule qui peut lutter contre le

époques des plus douces jouissances et des plaisirs les plus vifs ne sont pourtant pas celles dont le souvenir m'attire et me touche le plus. Ces courts moments de délire et de passion, quelque vifs qu'ils puissent être, ne sont cependant, et par leur vivacité même, que des points bien clairsemés dans la ligne de la vie. Ils sont trop rares et trop rapides pour constituer un état, et le bonheur que mon cœur regrette n'est point composé d'instants fugitifs mais un état simple et permanent, qui n'a

* odeur de misère (p.211) * la maison amère (p. 251) Les trois métaphores s’adressent au goût et à l’odorat. L’absence du sens de l’ouïe est significative. Cela veut dire que c’est un pays où règne le silence mort. Les deux métaphores « bonheur stupide des cailloux (p.253) et « cette paix muette » (p.256) en sont les illustrations. * cette terre épaisse, privée de lumière (p.252) Avec cette métaphore intervient l’idée de la lourdeur, qui trouve un écho dans les métaphores suivantes :

Jouy Jeudi 21 Octobre 2010 Karen TL Devoir maison n°1 Philosophie Imaginer, est ce là le bonheur ? Le bonheur, du latin «bonum augurium» qui est donc lié à la chance, au hasard, est un but ultime à atteindre pour l'homme qui le transforme, l'épanouit, le contente et ainsi montre qu'il est en paix, en harmonie avec lui même. Le terme «imaginer» quand à lui provient du latin «imaginari» qui signifie inventer, se représenter de nombreuses images au travers de son esprit. Cependant

écrivain français du dix-huitième siècle a pour thème général le rapport du désir et du bonheur. Dans ce passage, Rousseau se demande si, pour être heureux, l'homme doit satisfaire ses désirs. Il aborde le sujet du désir, et s’interroge sur le rapport entre désir et bonheur. Ce texte s’organise en trois paragraphes : d’abord, des lignes I à 7, on retrouve la thèse du texte, il nous est dit que le bonheur est dans le désir plus que dans la possession de ce qui est désiré. Dans un second moment

l'heure fugitive,Hâtons-nous, jouissons !L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive ;Il coule, et nous passons ! » Temps jaloux, se peut-il que ces moments d'ivresse,Où l'amour à longs flots nous verse le bonheur,S'envolent loin de nous de la même vitesseQue les jours de malheur ? Hé quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace ?Quoi ! passés pour jamais ? quoi ! tout entiers perdus ?Ce temps qui les donna, ce temps qui les effaceNe nous les rendra plus ? Éternité, néant, passé, sombres

cherché à transmettre des sentiments ou des idées à travers l’art. La souffrance est parfois la raison pour laquelle des artistes éprouvent le besoin de créer. Mais est-elle une source essentielle de création artistique ? Les œuvres inspirées par les malheurs sont-elles les plus belles, celles qui restent le plus dans les mémoires ? Dans son poème « La Nuit de Mai », Alfred de Musset affirme que « Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, et j’en sais d’immortels qui sont de purs sanglots. »

passé comme des souvenirs ineffaçables, en évoquant des sensations de beauté et d’ivresse en sa présence actuelle, en donnant des illusions de l’avenir muni des espoirs et promesses : Tous les détails échappent aus souvenir par leur douceur même, et qui ne laissent dans notre âme qu’une longue trace de bonheur, cette gaieté folâtre qui se mêle quelquefois san cause à un attendrissement habituel, tant de plaisir dans la présence, et dans l’absence tant d’espoir. La douceur, le bonheur, la gaieté, le

Les principaux thèmes du poème sont : le temps, le souvenir, la nature et l’amour. Pour le poète, le temps efface le souvenir de l’amour que seule la nature peut préserver car elle est éternelle. Construction du poème : Le poème est constitué de 16 quatrains. Chaque strophe comprend 3 alexandrins suivis d’un hexamètre. Le poème comporte 4 parties : - v.1 à v.20 : Dans lequel le poète s’adresse au lac et fait ressurgir ses souvenirs - v.21 à v.36 : qui est consacré au discours de la femme

affirme Chateaubriand. Pensez-vous que les souvenirs aient du mal à disparaître ? Vous développerez sur la question un essai argumentatif cohérent et illustré par des exemples précis et/ou des citations d’auteurs. Rédaction   Le souvenir est le fil qui retient le passé, c’est un lien étroit qui s'établit entre hier et aujourd'hui c'est pourquoi il symbolise la morale, l'expérience est l'héritage collectif. Les souvenirs sont en quelque sorte sont notre identité et font