Le Souverain Bien Aristote

citoyens votaient et élisaient d'autres citoyens afin que ceux-ci portent les responsabilités et prennent les décisions concernant la cité. Le pouvoir était organisé ainsi: -L'écclesia, qui était une assemblée où tous les citoyens pouvaient venir, bien que le nombre soit limité a 6000 citoyens, c'est l'écclesia qui élit et vote, l'écclesia est le fondement de la démocratie à Athènes, en effet tous les citoyens peuvent venir participer aux votes et autres (cependant certains citoyens le peuvent plus

citoyenneté romaine Au IIIe siècle, Rome est gouvernée par Caracalla, auteur de l’édit de Caracalla, qui étend la citoyenneté romaine à tous les hommes libres de l’empire Romain. Comme a athènes, la citoyenneté était très limitée dans l’empire Romain Aristote décrit la démocratie Athénienne. Selon lui, le liberté est «  le principe fondamental du régime politique démocratique » et une « des marques de la liberté, c’est d’être tour à tour gouverné et gouvernant », Ce qui évoque les stratèges : ces magistrats

avait une place supérieure, son fondement était l'œuvre des hommes mais elle était toute fois inspirée par le divin. Le droit n'est pas confondu à la religion il lui ait seulement relié. C'est en Grèce qu'on retrouve pour la première fois la séparation bien que la loi soit inspirée par les dieux. Chez les grecs il n'y a pas de garants supérieurs à la loi, elle occupe une place primordiale. Il y avait confusion entre le droit et la religion tandis qu'a Rome et en Grèce seulement lien entre les deux. Le

une amitié, de telle sorte que l’amitié revient à une relation de confiance que deux personnes entretiennent entre elles, « Et dans la pauvreté comme dans toute autre infortune, les hommes pensent que les amis sont l'unique refuge », comme le dit Aristote dans le livre VIII de l’Ethique à Nicomaque. « Partager les événements joyeux ou tristes, dévoiler tous ses secrets et ses projets, font spécialement partie de l'amitié » déclare le cistercien Aelred de Rievaulx dans L'Amitié spirituelle. Couramment

liberté, il ne veut que vivre et rester oisif, et l’ataraxie même de stoïcien n’approche pas de sa profonde indifférence pour tout autre objet.»(2) Pour ce dernier (Rousseau), c’est la société qui fait apparaître le caractère vil de l’homme. On constate bien facilement que la conception de l’être est chose complexe, mitigée, c’est deux exemples simplistes le démontrent. De ce fait, le défi est d’établir un régime politique qui transportera l’être humain à son apogée, alors que l’essence de l’homme ne fait

l’ordre social, marque le passage de l’état de nature, caractérisé par la guerre de tous contre tous, à l’état civil, dans lequel chacun est libre en obéissant à la loi de tous. L’Etat se caractérise alors par la superposition d’une entité politique souveraine avec un ensemble culturel unifié du point de vue linguistique ou religieux. Pour Carré de Malberg, il n’est existant qu’au moment où sont réunis 3 éléments : un certain nombre d’hommes, un territoire et une puissance publique s’exerçant sur les

et des inégalités physiques, psychologiques, etc., entre les hommes. Nous en avons donc besoin comme critère pour répartir les biens rares et établir une symétrie. Texte Aristote, Rhétorique, I, 13 : deux sens généraux du mot "justice" : une justice positive ou institutionnelle et une justice naturelle: Aristote, Rhétorique, I, 13. (… )la définition du juste et de l'injuste se rapporte à deux sortes de lois (…). Je veux parler de la loi particulière et de la loi commune. La loi

contrairement à Pascal et à Newton, Hobbes considère qu’il n’y a pas de vide dans la nature. Ce thème lui vaudra une sévère querelle avec le Collège Royal. À Londres la révolte éclate. On reproche au roi Charles de dilapider les impôts qu’il prélève. Le souverain n’aurait-il de comptes à rendre à personne ? Le parlement n’est pas d’accord. Charles 1er est décapité en 1649. Hobbes, qui a le mal du pays rentre alors en Angleterre, où Cromwell a le pouvoir. Les royalistes exilés en France, craignant la confiscation

humaine de deux philosophes, Aristote et Hobbes. Il sera question de la théorie de l’office de l’homme par Aristote et de l’état de nature par Hobbes. Nous commencerons par observer la théorie d’Aristote, puis celle de Hobbes. Ensuite, nous confronterons leur pensée et finalement s’en suivra une critique sur un argument défendu par Hobbes. Pour débuter, étudions les arguments d’Aristote sur l’office de l’homme. Aristote commence par se demander si l’homme a bien un office (ou une fonction),

Lesly Durain 2°9. Aristote décrit la démocratie athénienne. Ce document est un texte extrait de Politique écrit au IV ème siècle avant Jésus-Christ par Aristote. Dans ce texte, Aristote décrit la démocratie athénienne et donne son point de vu, lorsqu'il y a rédigé ce document, Athènes était la seule et première ville dans le monde à avoir mis en place une démocratie. Si ce texte a été conservé jusqu'ici c'est qu'Aristote n'était pas n'importe qui. En effet c'est un Philosophe grec né