Le Spectateur Peut Il S Identifier Au Personnage

« M-Maybe (a girl's picture) », 1965 « P-Peut-être », (acrylique sur toile) L'artiste Roy Lichtenstein a été très influencé par la bande dessinée. Cette œuvre en est un bon exemple : tout le tableau a la forme d'une vignette de bande-dessinée agrandie. L'œuvre présente une jeune femme blonde, dont le visage et son contours sont, entourés d'un cerne noir très accentué. Toute sa figure est recouverte de petits points rouges, comme s'il s'agissait d'une impression sur papier trop agrandie. Ce

ainsi que les personnages, notamment pour les pièces de théâtres dramatiques. La citation d’Antoine Vitez signifie que les acteurs libèrent une grande énergie à faire vivre ces pièces, qu’elles soient dramatiques ou comiques. Cette énergie demande des efforts mentaux et physiques chaque soir de représentation. De plus, l’espace théâtrale permet de situer les personnages dans n’importe qu’elle lieu à travers les décors de carton-pâte. Mais encore, en voyant vivre la pièce, le spectateur oublie la médiocrité

bases théoriques du drame romantique, on peut tout d’abord constater le mélange des registres, des genres et des niveaux de langues. En effet, la diversité de langage est très présente dans les pièces de ce genre littéraire. On constate aussi la fin de la règle des trois unités (action, lieu, temps), propre au théâtre classique. Les personnages évoluent désormais dans des actions historiques non limités par le temps ou l’espace scénique, l’histoire peut se dérouler sur différents lieux et dépasser

atmosphère propice au malaise, Maeterlinck fait croître l’angoisse et le mystère et introduit adroitement une réflexion sur la condition humaine. L’auteur, tout d’abord, crée une ambiance particulièrement adaptée à l’angoisse. D’une part, les personnages sont ici atteints d’une cécité irrémédiable et absolue qui les handicape profondément. En effet, leur perception du monde extérieur, même s’ils usent d’un champ lexical très visuel « vois-tu », « il voit », se limite ici à des « bruit[s] » inquiétants

()DE L’ACTEUR AU PERSONNAGE : IDENTIFICATION ET DISTANCIATION (THÉÂTRE ET CINÉMA) ARMELLE TALBOT CONFÉRENCES SUR LE PERSONNAGE MASTER 1 ET 2 LETTRES, ARTS ET PENSÉE CONTEMPORAINE UNIVERSITÉ PARIS DIDEROT – 2014-2015 Une sorte de chaîne qui va du moi imaginaire du personnage fictif au moi du spectateur en passant par le moi du comédien, telle est l’image que se ferait volontiers le spectateur de théâtre. L’illusion est de croire que le person- nage de théâtre est une âme individuelle, à laquelle

. Structure de L’Illusion comique La pièce est une illusion. Pour Pridamant, père de Clindor, qui se fait piéger par la manière dont Alcandre lui conte la vie de son fils, mais également pour le spectateur qui est troublé par les enchâssements successifs et un jeu d’apparences trompeuses. A. Le choix du titre On distingue donc deux pièces (au moins) dans l’illusion comique : la première dont le sujet est la réconciliation d'un père avec son fils ; la seconde qui raconte les amours tragiques

trahison. Lecture Annonce des axes Nous verrons comment cette sc�ne d'exposition r�pond aux attentes du spectateur en �tudiant les �l�ments de l'action, l'atmosph�re et le personnage d'Izquierdo. Etude I. L'action - La situation de d�part � In medias res �. On retrouve dans les deux premi�res r�pliques les deux �l�ments de l'action. 1 La fuite d'un homme Pronom � il �. Il est identifi� � la 6�me r�plique � ce Bolivar � d�terminant d�monstratif � connotation p�jorative. Consid�r� comme un

valeur par un cadre exotique. Cet extrait constitue ce que l’on appelle traditionnellement la scène d’exposition. Cette scène permet au spectateur de se repérer. Elle donne des informations sur les principaux protagonistes, sur l’intrigue et sur le cadre spatio-temporel. Le rideau s’ouvre sur deux personnages qui se trouvent dans une situation dramatique. Les spectateurs vont découvrir qu’il s’agit d’un maître et de son esclave, jetés sur une île à la suite d’un naufrage. (Lecture : « je vais maintenant

dans le gouffre. La caméra est fixe, le spectateur observe simplement la scène, les techniques évolueront ensuite. La bête apparaît protectrice pour la femme mais c’est un monstre tueur : un seul homme en réchappe. On retrouve ici et là des traces « d’humanité » dans l’aspect protecteur et certaines expressions (gros plans) de Kong. On peut visionner aussi la lutte contre le Tyrannosaure, caméra fixe mais scène extrêmement vivante ; paradoxale : le spectateur espère que Kong gagnera, ce qui construit

Tricheur à l’as de carreau Fonction référentielle : La scène représentée sur le tableau est une partie de carte, un loisir commun. Visiblement il s’agit du moment précédent un acte de tricherie de la part du personnage à gauche du tableau, le tricheur. On peut clairement identifier quatre personnages par le rôle qu’ils exercent : (de gauche à droite)  1. Le tricheur : il cache deux cartes, dans son dos, aux yeux des autres joueurs. 2. La servante : Son regard est anormalement détourné de l’action