Le Sublime

en particulier la règle des unités, le drame romantique refusait également de respecter la séparation des genres qui distinguait nettement deux univers cloisonnés : la tragédie et la comédie. A la tragédie appartenait la noblesse, la grandeur, le sublime ; ses héros étaient ceux de l'Antiquité et de l'Histoire ; elle devait inspirer terreur et pitié. À la comédie était associée l'idée de modestie : ses personnages, ses buts, son propos et ses effets étaient plus « ordinaires » et plus proches de la

fidélité associé à l’honneur et au respect de cet honneur «digne» l.9 et 23 «aveu» «innoncence» l.2 Malgré la scène de l’aveu, la princesse parrait quand même innocente. - La beauté «d’une beauté si admirable» l.18 adverbe d’insistance «si» 2) Un mari sublime et tragique - La souffrance «je vous conjure» l.48 insistance verbes à l’impératif l.40 insistance l’image du rival: • «cet homme heureux» l.29 périphrase • «celui que vous voulez éviter» l.40 périphrase • «un autre» l.28 périphrase «la jalousie

verrons que la comédie classique cherche en effet à inculquer une morale et faire réfléchir, dans un second temps nous verrons que la comédie classique cherche aussi à divertir son spectateur mais à aussi d’autres fonctions comme l’utilisation du sublime, et enfin nous verrons comment la complémentarité de la morale et des autres fonctions pour créer la comédie classique La comédie classique cherche en effet à inculquer une morale et pour cela il faut aussi se replonger dans les bases

telle personne qui a 20 ans arborait des tenues légères peut très bien devenir pudique avec l'age et vice-versa. La pudeur est liée à l'image que l'on se fait de son corps. Une absence de pudeur peur voiloir dire que l'on trouve que l'on a un corps sublime ou alors que l'on est totallement au dela de toutes ces considérations. De plus, on peut être très pudique pour certaines parties de son corps et impudique pour d'autres. Or pour certains, la pudeur est aussi une marque de respect, d'eux envers

tu es plus odorante que le musc; avec ton humilité, tu es plus sublime que la lune; avec ta douceur, tu es plus agréable que la pluie fine. As salamu `alaykum wa rahmatullah wa barakatuh, Pour que tu sois la personne la plus gracieuse au monde...                                                Avec ta beauté, tu es plus gracieuse que le soleil; avec ta moralité tu es plus odorante que le musc; avec ton humilité, tu es plus sublime que la lune; avec ta douceur, tu es plus agréable que la pluie

texte. Félicitations, on perçoit à vous lire une littéraire…et des qualités d’écriture. 19/20 Commentaire composé Emile Zola, L’œuvre, chapitre VIII Tout concourt dans ce passage du chapitre VIII à faire de la description un moment d’inspiration sublime et de révélation tragique. Il est vrai que, après l’épisode de bonheur de la retraite amoureuse à Bennecourt, le roman entame une longue descente vers les sombres abîmes des tourments de la création et des difficultés financières. Rentrant à Paris

Plan Introduction I) la maîtrise de soi a) une tirade à la tonalité sublime et glorieuse b) La métamorphose de l'empereur (Changement complet d'une personne dans son état, ses caractères). c) La magnanimite de l’empeureur II) le pardon a) pourquoi Auguste pardonne? B)Un dénouement placé sous le signe de la réconciliation III) disparition de la haine d’Emilie qu’elle croyait immortelle IV)Le héros cornélien Le message implicite du dramaturge Conclusion introduction En 1640, Corneille

songé ; mais se voir trahir et voler par ce maréchal des logis qu’il aimait tant et par ces hussards qu’il regardait comme des frères ! c’est ce qui lui brisait le coeur. »[19], « Il défaisait un à un tous ses beaux rêves d’amitié chevaleresque et sublime, comme celle des héros de la Jérusalem délivrée. »[20] Le comble de tout c’est qu’il ne voit même pas l’Empereur, pour lequel il était venu se battre, alors qu’il passe à côté de lui : «  Ainsi, je n’ai pu voir l’Empereur sur un champ de bataille

ferait) et donc de sortir des critères du classicisme. Projet de lecture  : En quoi cet aveu fait-il de la Princesse de Clèves un personnage sublime et héroïque ? Premier mouvement : l.1 à 9. : La préparation de l’aveuDeuxième mouvement : L.10 à 20. : Un aveu extraordinaireTroisième mouvement : l.21 à 32 : Réaction sublime et pathétique Premier mouvement : La préparation de l’aveu. l.1 à 9. Mme de la Fayette a conscience que cet aveu détonne par rapport aux mœurs de l’époque

V, 2 ; judiciaire : Le Cid, II, 8, et Horace, V ; l’épidictique : L’Illusion comique, II, 2. Voir W. J. Dickson, « Corneille’s Use of Judicial Rhetoric : the Last Act of Horace », XVIIth Century French Studies, X (1988), p. 23-39 ; F. Goyet, Le Sublime du « lieu commun ». L’invention rhétorique dans l’Antiquité et à la Renaissance, Paris, Champion, 1996, p. 96-105 (Horace, V, 2, v. 1481-1534). 3. La critique moderne a relevé à quel point Cinna (1641) et Polyeucte (1642) explorent un héroïsme qui