Le Substantialiste

échapper par incompétence et divisions ? Les sciences politiques concernent l’étude du pouvoir. Le concept est décevant parce que trop ambigu, trop vague, plein de passion. Les sciences politiques renvoient à trois notions sur le pouvoir : • le sens substantialiste : le pouvoir est une possession qui consiste en des bénéfices, des avantages ; il peut donc se dilapider. • le sens institutionnaliste : le pouvoir désigne les gouvernants, les gens de pouvoir, les pouvoirs publics. Il en résulte que l’opposition

ne sait pas. Il faut faire émerger de cette complexité identitaire les stratégies que les individus utilisent pour justifier son appartenance aux différentes identités dont il se réclame. Pour la sociologie, il ne peut exister d’identités substantialistes, c’est-à-dire qui n’appartient qu’à soi, qui est de son essence. Il n’y a que des identités produites par les interactions, les relations sociales. Dès la naissance, le regard des autres renvoie à chacun de nous un visage, une personnalité

nature que les autres pouvoirs ? 1. Une approche sociologique du pouvoir Le pouvoir c’est la capacité de produire un effet. C’est la possibilité d’action de quelqu’un sur quelque chose. - Perspective substantialiste - Perspective institutionnaliste - Perspective interactionniste Substantialiste : le pouvoir existe, on peut le transmettre. Avoir, détenir du/le pouvoir. Pté quasi magique, don. Sens capital, qlq chose que l’on peut acquérir, prendre, transmettre. Pose pb : Si il n’y avait

réel est relationnel. C’est un mouvement classique des sciences de substituer le point de vue relationnel au point de vue relationnel. (Ernst Cassirer «  Substance et fonction ») La modernité a constitué à remplacer une approche formelle et substantialiste à une approche structurale et relationnelle. Ferdinand de Saussune (1857-1913). Cours de linguistique générale. : fondateur du structuralisme (Il voulait faire la science de la langue/ personne ne prononce et écrit les lettres pareillement

pouvoir peut être définit comme la capacité des acteurs à entreprendre des actions efficaces et à produire les effets qu'ils recherchent. Tout le monde possède une certaine dose de pouvoir selon le domaine auquel on parle. On parle d'approche substantialiste : on considère le pouvoir comme étant une substance, un capital, un dû dont chacun dispose possède en quantité + ou – importante. Dans le domaine politique, le pouvoir est la capacité à définir les règles qui gouvernent la société. Ce pouvoir

Néanmoins, la distinction entre l'animé et l'inanimé fait partie des distinctions usuelles, et qui nous paraissent aller de soi. Comment l'expliquer si nous refusons toute possibilité de définition à la vie ? Passant ainsi d'une conception "substantialiste" de la vie à une conception "fonctionnelle", et ayant montré qu'à défaut de la "définir", il est possible de "caractériser" la vie, nous exposerons en nous référant à l'histoire de la biologie les difficultés qui subsistent au sein même de la

the power to decide by means of a competitive struggle for the people’s vote" ou en raccourci "free competition for a free vote" [Schumpeter 1942/1950: 269, 271]. Il n’est pas surprenant que Schumpeter ait cherché à se dégager d’une définition substantialiste de la démocratie qui par nature est tellement difficile à cerner. La démocratie lui a semblé être devenu un conceptbateau dont pouvaient se réclamer à la fois Rousseau, Tom Paine, Hitler et Staline. Schumpeter attaque la doctrine classique comme

ou encore le droit des collectivités territoriales . Le droit constitutionnel c’est l’étude juridique du pouvoir politique . La notion de pouvoir peut être synonyme d’administration ou de pouvoir public, d’organe de l’état . Approche substantialiste du pouvoir dans laquelle il est comme capital que l’in posséderait, idée de substance, de ce qui est à l’intérieur de la notion . Approche interactionniste, le pouvoir se décline comme une relation entre deux personnes, le pouvoir sur quelqu’un

de la politique des hommes et des femmes mais toutes tentatives de définition se heurtent au caractère contingent de ce terme. Ce que soulignent les différents auteurs, est son caractère polysémique. Wittgenstein (1889-1951) parle de piège substantialiste c'est-à-dire la recherche d’une substance qui réponde à un substantif. Est-ce qu’il y a une structure immuable de l’activité humaine qui relève d’un objet, la politique ? Les frontières sont fluctuantes suivant les différentes conjonctures

très souvent les politiques (« Le pouvoir » pour le gouvernement). 2) Le pouvoir d'influence: le pouvoir des médias dans le sens de potentiel d'influence, d'effet sur les consommateurs, les récepteurs des médias. · Mais, cette notion est substantialiste: substance que certain posséderait et dont d'autres seraient priver. Mais c'est plus compliqué en réalité dans les deux significations. · Dans la première signification, le pouvoir même par essence absolu ne l'est jamais complètement: c'est