Le Surnaturel Est Il Inexplicable

explor, nous nous trouvons dans un univers intact qui invite explorer. En gnral, ce type de textes se montre thmatiquement proche des uvres soulevant la problmatique mtaphysique o les crivains et philosophes rflchissent linfluence des forces surnaturelles lexistence de lhomme. Ramuz fait partie des auteurs mettant en relief les inquitudes intimes qui lobsdent. Sa recherche dune ralit suprieure se reflte non seulement dans le choix lexical ou thmatique de ses textes mais elle merge aussi grce la

question une réalité décevante. Le sous-titre de conte fantastique du récit annonce l’intention de l’auteur d’utiliser l’irruption du surnaturel pour provoquer une rupture de la cohérence du monde. On ne sait ce qu’est « La mystérieuse et fantastique créature », mais celle-ci fascine le narrateur et lui fait admettre le merveilleux comme naturel. Inexplicable et sans fondement dans la réalité, cet être entraîne le narrateur dans un nouveau monde. Celui-ci perçoit sur lui-même cette coupure avec

chose se passe et inquiète le narrateur. Des phénomènes se répètent et font penser que c’est le fait d’une force surnaturelle. Le narrateur est averti, il devrait oublier la peur et l’angoisse qui s’installent. - Transgression : le personnage n’a pas tenu compte de l’avertissement, il est allé au-delà, il ne maîtrise plus la situation. - L’aventure : des faits étranges et inexplicables se produisent. L’aventure tourne à l’étrange, au cauchemar. Le personnage ne peut plus rien expliquer. - La peur :

possibles : premièrement, le personnage est fou, rien de tout ce qui s’est passé n’existe, le personnage a imaginé tout cela. Ceci est donc l’interprétation rationnelle faîte par le lecteur. Deuxièmement ; le personnage n’est pas fou, les éléments surnaturels se sont vraiment passés, et existent. Malgré l’interprétation que choisit le lecteur, ce dernier doute toujours. Et s’il s’était trompé d’interprétation ? S’il avait mal compris l’histoire ? Tout cela est donc ambigu, incertain, l’hésitation s’installe

Breton veut l’orienter vers le communisme.-A quoi reconnait-on une œuvre surréaliste ?On reconnait une œuvre surréaliste grâce à l’insolite de l’image, à des images hallucinatoires et irréelles, aux signes portant un sens inexplicable, par des symboles, le rêve ; la magie, le surnaturel et l’humour. L’œuvre présentée si dessous est une œuvre de René Magritte faite en 1965.Image insolite Image irréelle et hallucinatoire | | | | |

élements. L'ellipse allège une expression ou la fortifie. -L'utilisation de figures de styles comme la comparaison, la personnification et la métaphore. -Enfin, la présence des champs lexicaux de la peur (panique-angoisse...) , de la mysère (cacher-inexplicable...) , de l'étrange (inquiétude-dérangement...) etc... Voici l'explication d'une oeuvre fantastique , le Horla: Tout d'abord, le Horla est écrit par Guy de Maupassant. Ce livre possède 2 versions : -La première sort le 26 Octobre 1886 -La

fiction, racontant | | |l’intrusion du surnaturel dans un cadre réaliste, autrement dit l’apparition de faits inexpliqués et théoriquement inexplicables | | |dans un contexte connu du lecteur. En cela, le fantastique est situé entre les genres du merveilleux (et son incarnation | | |contemporaine, la fantasy), dans lequel le surnaturel est accepté et justifié car le cadre est imaginaire et irréaliste, et de

cherchaient à établir leurs places respectives. Le mythe est d'autant plus important qu'il se retrouve dans toutes les cultures, dans tous les pays   1°) Les caractéristiques du mythe : * Il est sacré puisqu'il y a intervention des Êtres surnaturels, qui sont dans ce cas-ci les animaux qui parlent. Il faut aussi spécifier qu'il est absolument vrai, nous sommes obligés d'y croire puisqu'il réfère à des réalités qui sont non-scientifiques mais, qui répondent plutôt à un profond besoin religieux

au doute. L’écrivain ne fournit pas d’explication unique des faits, mais laisse le lecteur décider. Les événements relèvent-ils d’une explication rationnelle ou surnaturelle ? La nouvelle ne tranche pas. Il est possible de considérer que le narrateur est effectivement l’objet d’une stratégie de persécution de la part d’un être surnaturel ; mais on peut tout aussi bien comprendre qu’il est frappé de folie. Au début, dans Le Horla, l’angoisse du narrateur était la conséquence de cauchemars qui se

dont fut victime Mathilde Stangerson eut lieu dans la nuit du 24 au 25 octobre 1892. Le 25 octobre, le journal Le Temps en faisait paraître la note. Le lendemain matin, les deux amis font route vers Épinay. La seconde affaire dite de la « galerie inexplicable » (p. 251) se déroula dans la nuit du 29 au 30 octobre. Trois jours plus tard, Sainclair était rappelé au Glandier par le 3 reporter : le 2 novembre (cf. p. 251). Mais là, un problème survient puisqu’à la page 181 l’avocat écrit ces lignes