Le Surréalisme Zola

impressionniste. Alors Aurélien ne représente-il pas un tableau impressionniste créé par Louis Aragon, digne d’être exposé et longuement contemplé ? Bibliographie Supports imprimés : * Claude Abastado, Le Surréalisme, Hachette, 1975 * E.H Combrich, The story of art, Phaidon, 1950 * Émile Zola, le Bon Combat, Paris, Hermann, 1974. * Frederic Portal, La symbolique des couleurs, Pardès, 1999 * Kandiski, Du spirituel dans l’art, Paris, 1964 * Le Robert, Dixel dictionnaire, Paris, 2009

vise à reproduire la réalité objective. Ce mouvement renforce certains caractères du réalisme, le romancier vérifiant expérimentalement dans ses romans le rôle des déterminismes sociaux sur l'individu et le groupe. Les grandes figures du naturalisme: •Zola, Émile (1840-1902) : Les Rougon-Macquart (vingt romans). •Huysmans, Joris-Karl (1848-1907) : Marthe. •Maupassant, Guy (1850-1893) : Pierre et Jean, Une Vie, Bel-Ami. LE PARNASSE Historique: Comme la plupart des mouvements littéraires qui naissent

général du fait qu'il ne soit pas d'accord avec les institutions de sa nation ou à certaines religions. Par exemple Charles Baudelaire, connue pour ses poèmes opposés à l'état, est un des poètes précurseurs d'un genre littéraire très jeune : le surréalisme. Ce genre consiste faire le point sur tout les points noires de la société et sur les vices de l'homme. Tous ces poètes se revendiquent comme différents par rapport aux autres du fait de leurs sentiments contradictoire par rapport à la société.

Français pensent que « l’Allemagne paiera » et l’après guerre est caractérisé par la course aux plaisirs, le développement des arts, du théâtre, du cinéma, de la radio, de l’automobile. En 1916, nait le mouvement dada qui, en 1924, devient le surréalisme, avec pour consigne la phrase d’André Breton : « Forcer les portes de l’irrationnel ».Les moyens traditionnels sont bannis. Les Années folles de la France – c’est un rêve éveillé, une nouvelle aspiration à la liberté. Paris devient une capitale

l’utilité de l’art, comme le qualifie dans la citation l’adjectif « probante ». Il est évident que le terme « réalité » est employé dans son sens le plus vaste, afin d'englober toutes les réalités possibles, que ce soit celle du naturalisme, du surréalisme de Breton, qu'elle soit objective ou subjective, présente dans le visible, perceptible dans un « ailleurs », c'est toujours une certaine vision du monde qui est en cause et qui cherche à être retranscrite. I.2. À ses débuts, la littérature avait

Musset, Chateaubriand, et Nerval. Le Réalisme est un mouvement littéraire et culturel de la seconde moitié du XIXème siècle. Il est naît par réaction au mouvement romantisme vers 1850, et se termine vers 1950 en étant supplanté par le surréalisme, le symbolisme et le parnasse. Les artistes réalistes manifestent le désir de représenter la réalité de leur temps, telle quelle est. Les peintres d’abord puis les écrivains montrent des situations concrètes et familières, proche du lecteur, ancrées

bizarre et de l’inédit. Mais bientôt le mouvement du surréalisme laisse paraître, parmi des provocations déplaisantes, une inquiétude profonde et de hautes ambitions. La recherche de l’insolite n’est plus un jeu mais une méthode est peut-être une métaphysique ; les structures du langage et de la pensée sont soumises à une sorte de désintégration tendant à saisir, sous les conventions et les mécanismes, une réalité authentique. Le surréalisme est typique et spectaculaire, mais il ne saurait à lui

Romances sans paroles (1874) *Zola, L’Assommoir  (1877) et La Curée (1871) ; ou Nana (1880) et Germinal (1885) Barbey  d’Aurevilly,  Les Diaboliques (1874) Maupassant, Une vie (1883) ou Pierre et Jean (1887) Mallarmé, poèmes (années 1880-1890) Villiers  de  l’Isle-Adam, Contes cruels (1883) Huysmans, À rebours (1884) *Rimbaud, Illuminations (1886) XXe siècle *Apollinaire, Alcools (1913) *Proust, Du côté de chez Swann (1913) *Breton, Premier Manifeste du Surréalisme (1924) ou Nadja (1928) Gide

déportation au bagne en Guyane et à la dégradation. L’affaire divise la France entre les  défenseurs de Dreyfus et ses opposants, souvent antisémites.  ­ 1898​  : des preuves de la culpabilité d’un autre officier, Esterhazy, sont produites , mais  il est jugé et acquitté. Zola publie « J’accuse » dans l’Aurore. Il est condamné à un an de  prison. On découvre peu après qu’un des documents qui accuse Dreyfus est un faux  réalisé par le colonel Henry.  ­ 1899​  : Dreyfus est rejugé à Rennes par le tribunal militaire et nouveau condamné alors 

qui ne le voient pas ». Mallarmé voit la poésie comme un « glorieux mensonge » mais un mensonge nécessaire pour rendre l’existence supportable .Cette mise en scène de la boue féconde trouvera des interprétations plus sociales avec la naturalisme de Zola ; l’excipit du roman Paris met en scène des personnages qui s’exclament devant un Paris illuminé par le soleil « Voyez donc ! Voyez donc ! Paris tout en or, Paris couvert de sa moisson d’or ! » et ils le comparent à un grand