Le Survenant

il aide à accomplir les travaux de la ferme et se révèle bon travailleur. Le vieux Didace, le père de famille, lui offre de rester en échange de son travail. Son fils Amable-Didace et sa bru Alphonsine voient d'un mauvais œil l'intrusion de ce « Survenant » dans la famille, surtout qu'il les éclipse par sa force et son ardeur au travail. L'hiver vient. Ayant beaucoup voyagé et étant un conteur hors pair, le « Grand-dieu-des-routes » exerce un si fort attrait sur les habitants du hameau que tous accourent

Étape 1 : Plan du développement Argument principal 1 Dans Le Survenant, la définition du bonheur ne réside pas dans le nomadisme pour les habitants du Chenal du Moine. Sous argument 1.1 Pour les habitants, la possession d’une terre et leur travail sont source de fierté. Il retrouvait sa jeune force intacte : Didace, fils de Didace, vient de prendre possession de la terre, Il a trente ans. Un premier fils lui est né. Le règne des Beauchemin n’aura jamais de fin. » (p.114) Sous argument

parsemée d’exclamations et d’interrogations, le survenant, critique les sédentaires et prône le nomadisme, son mode de vie qui lui apporte bonheur et liberté. Il se moque d’abord de leur mode de vie, en effet, par l’hyperbole « des mouchoirs de poche » (p.186), La terre, c’est d’abord des sillons travaillés par l’homme, une nature abondante et domestiquée, dominée et rentabilisée. En décrivant ainsi la banalité de ce qui est leur bien le plus sacré, le survenant exagère la médiocrité de leurs terres et

les habitants idéalisent la vie sédentaireSous-arguments 2.2 : Le sens du devoir des sédentaires est présenté comme étant un idéalSous-arguments 2.3 : Les traditions sociaux chez les Beauchemin idéalisent la vie sédentaire Étape 2 : RédactionLe Survenant est un roman dans lequel le mode de vie sédentaire au Chenal du Moine est idéalisé par sa sécurité et sa stabilité. Premièrement, les habitants ont comme héritage de leurs ascendants la terre familiale

Étape 1 : Plan du développement Il est faux d’affirmer que, dans Le Survenant. Le bonheur réside dans le nomadisme. Argument principal 1 Pour Didace, le bonheur est d’être sédentaire. Sous-argument 1,1 Pour Didace, le bonheur est de bien travaillée la terre. Illustration : « franc de bras comme de cœur » (p. 29) « Aussi bon à la bataille qu’à la tâche » (p.29) Explication : Il explique au Survenant que son fils ne pourra jamais devenir un vrai Beauchemin parce que

| |      | |Le Survenant vit de la solitude. | |Sous-argument 1.1 |Sous-argument 1.2 |Sous-argument 1.3

famille à table. L’étranger, dont on ne connaîtra jamais le nom et que l’on appelle tout simplement, « le Survenant » ou encore « Venant » s’installe donc chez les Beauchemin pour y travailler dans les champs et sur la ferme. La famille, composée du père d’une cinquantaine d’année, veuf, de son fils Amable et de sa bru Alphonsine, accueille cet homme d’environ 30 ans, dans leur logis. Le Survenant est un homme fort, travaillant, adroit et solide, mais aussi insouciant, beau parleur et légèrement bagarreur

des excès, c’est un endroit où coule l’alcool et où l’argent est dépensé de façon déraisonnable. Preuves : 1) « Je veux pas rien dire de trop, monsieur Beauchemin, mais j’ai vu votre Survenant ben en fête `s Sorel. Il se tenait pas sur ses jambes.» (p.122) 2) « L’argent dépensé, le Survenant dont la soif, loin de s’étancher, s’était avivée à la consommation de quelques coups, tira des plans pour boire davantage.» (p.178) Sous-argument 2.2 Le nomade n’a aucune possession, pas

Thèse :Il est faux d’affirmer que le bonheur réside dans le nomadisme dans Le Survenant. Argument principal 1 Dans le roman, les sentiments éprouvés par plusieurs personnages renforcent le mode de vie sédentaire. 1.1 Didace Beauchemein éprouve une fierté hors semblable à celle ressentit à la naissance e son fils lors qu’il eut en héritage la terre ancestrale. 1.1.1 « Quand il avait pris possession de la terre ancestrale, puis à la naissance de son fils, un sentiment de durée, de plénitude, l’avait

principal 1 : Thèse : Oui, il est vrai d’affirmer que dans Le Survenant le bonheur réside dans le nomadisme. Argument : Dans Le Survenant, le nomadisme représente tout un monde de liberté dans une vie. Sous argument 1 : Dans Le Survenant, le survenant est libre de choisir s’il reste sur place ou s’il sans va du Chenal du Moine. Donc, il est libre de choisir s’il part ou s’il reste. Sous argument 2 : La vie de nomadisme du Survenant lui permet de vivre sa vie sans grande responsabilité. Puisqu’il