Le Systéme Féodale

séparation des pouvoirs dont le père spirituel est Montesquieu, est totalement ignorée, et des régimes de séparation des pouvoirs caractérisant les régimes parlementaires et présidentiels. Le régime parlementaire qui caractérise l'Angleterre, est un système politique dans lequel le Gouvernement est responsable politiquement devant le Parlement par le biais de la motion de censure, et où celui-ci peut faire l'objet d'une dissolution par le biais de la question de confiance émanant de l'exécutif. Dans

les lois barbares §2 – Les difficultés d’application I. Détermination de la loi personnelle II. Les conflits de lois entre personnes de races différentes Section II – La destinée du principe I. Fusion entre les races II. Fusion des divers systèmes juridiques Conclusion – l’avènement de la territorialité morcelée Chapitre IV. La ruine de l’ordre carolingien Section I – L’affaiblissement du pouvoir impérial §1 – Les causes internes au régime I. Le maintien de la pratique des partages

Epoque féodale fin Xème-XIIIème siècle. Définition féodalité : pas de pouvoir central. Monarchie incapable de la moindre autorité. Au Xème roi exerce son pouvoir sur une bande infime de territoire. N’assure plus la protection. La seigneurie apparaît, protège la population. Premier châteaux forts, peuple s’y réfugie. Edifiés par un comte sur un rempart naturel. L’Etat n’existe plus, remplacé par des centaines de milliers de petits seigneurs. Chapitre 1 : Le monde féodal : Lien

à désigner tout ce qui se rattache à l’existence d’un fief. Le lien vassalique ou lien féodale découlent du lien de fidélité. C’est dans la partie septentrionale là ou les carolingiens ont été bien implantés que les structures féodales se sont développées : entre 980 et 1080. Elles se sont étendues à l’Angleterre mais ne se sont développées que tardivement en Germanie (12ème siècle). Para 1 : Le lien féodal ou vassalité. C’est le lien qui unit un vassal à son seigneur. Le suzerain c’est le

s’exerçant dans des territoires limités, disposant des prérogatives de puissance publique (monnaie, guerre, impôts, justice) = se met progressivement en place une hiérarchie de pouvoirs locaux et de liens de dépendances : la société médiévale devient féodale. C. Apparition de la féodalité A partir du IX e siècle et plus encore du X e siècle, se généralisent de nouveaux liens de dépendances entre les hommes qui se consacrent aux activités militaires = liens féodo-vassaliques. Deux hommes

se répand. Il désigne alors le chevalier. Ce chevalier se caractérise par le fait qu'il soit un guerrier à cheval, mais il n'est que rarement désigné par le terme equites signifiant cavalier. À l'époque où le système féodal se répand, la seigneurie en est la structure de base. C'est un système devant maintenir l'ordre et la justice et ayant pour centre le château fort. Le chevalier est alors un guerrier appartenant à la maison du seigneur : celui-ci devant s'entourer d'un groupe de soldats professionnels

favorise et diffuse au xixe siècle. Karl Polanyi, dans La Grande Transformation (1944), expose notamment l'idée d'un siècle marqué par :un équilibre politique international : absence de grandes guerres entre 1815 et 1914[6] ;un équilibre monétaire : système de l'étalon-or et absence d'inflation ;un équilibre économique : acceptation de l'économie de marché.Sans méconnaitre l'impact colossal des transformations portées par la révolution industrielle, (voir par exemple l'expression « Rerum Novarum » employée

La société féodale D’un point de vu juridique la société féodale se caractérise par l’idée de liens personnels entre les hommes libres (vassalités) c’est-à-dire le rapport entre un vassal et un suzerain (suzeraineté). Ce lien qui unit les personnes libres a des causes diverses : -Recherche de la protection. -Jeune aristocrate qui cherche à se faire connaître. -Raisons économiques. -Désir de posséder un fief. Le mot féodalité désigne l’ensemble des liens qui unissent des seigneurs à leurs

divisé le royaume entre ses quatre fils, il a d’abord présenté son choix à la population d’homme libre (en théorie du moins, dans les faits, seuls les plus puissants sont en mesure d’exprimer leur volonté), qui doit donner son accord. Il y a donc un système d’élection (même si le choix ne porte que sur cette race royale puisque c’est cette famille qui a été choisie par Dieu) et de participation de la population qui se rapproche de la res publica. Quand on regarde la division du territoire, on s’aperçoit

sur deux systèmes contradictoires (régime féodal et le régime à venir). Par conséquent il faut élimer tout ce qu'il reste du passé, toutes les survivances du régime féodal et théologique. Il faut élimer ce système qui s'appuyait sur la force des habitudes. (En fait pour Saint-Simon ce n'est que par l'avènement de la société industrielle que la R° trouvera sa fin). Autre critique que Saint-Simon fait de l'ordre de l'Ancien Régime : cet ordre n'est pas du tout enviable parce que ce système est organisé