Le Thème De La Violence Dans La Bête Humaine

Reich, confisquant des centaines d’œuvres dans les musées allemands. Dans sa toile, Picasso représente une scène de la destruction de la ville de Guernica. Pablo Picasso a peint Guernica dans le but d’exprimer toute sa colère face à la barbarie humaine, pour dénoncer les horreurs du fascisme. Témoignages de Picasso à propos de Guernica : « La peinture n'est pas faite pour décorer les appartements. C'est un instrument de guerre offensive et défensive contre l'ennemi. » « Que croyez-vous

langage d’Iphicrate est « la langue d’Athènes (1 s. l. 84) » qui souligne son statut de maître. En outre, les surnoms que les maîtres donnent à leur serviteur sont péjoratifs, comme par exemple « Sotte, Ridicule, Bête, Butorde, Imbécile, et cetera (s. 3, l. 10-11) ». La supériorité et la violence des maîtres se montrent alors dans la langue. Les noms jouent aussi un rôle significatif dans « La colonie », mais d’une manière différente: « je commande, en vertu de ma pleine puissance, que les nommées Arthénice

enlèverait la beauté et l’intelligence, même au meilleur enfant. C’est la preuve de la force destructrice de ce travail. Le chiasme du vers 20 : « La beauté sur les fronts, dans les cœurs la pensée, » rappelle à nouveau que ce travail détruit tout, La violence meurtrière du travail est accentuée par la versification du vers 19: « qui tue » est mis en valeur, car il est à la césure de l’alexandrin, entre deux virgules. Enfin, Hugo résume sa pensée à propos de l’exploitation des enfants au vers 23, où il

Le caractère monstrueux que le titre confère à l’extension des villes est exploité par Verhaeren dès le premier quatrain dont l’hémistiche final, mis en relief par le tiret qui marque l’antagonisme inconciliable entre plaine et ville, annonce le thème de la dévoration : « - et la ville la mange ». La ville dont parle Verhaeren est un organisme vivant qui absorbe la campagne et transforme ses habitants en ouvriers devenus des proies. La métaphore filée (métaphore développés sur plusieurs termes)

prudence humaine : on songea ensuite à fléchir les dieux, et l’on consulta les livres sibyllins, d’après lesquels des supplications furent adressées à Vulcain , à Cérès et à Proserpine : des matrones implorèrent Junon, d’abord au Capitole, puis au bord de la mer la plus voisine, où l’on puisa de l’eau pour faire des aspersions sur les murs du temple et la statue de la déesse ; enfin, ls femmes actuellement mariées célèbrèrent des sellisternes[1] et des veillées religieuses. Mais ni efforts humains, ni

La bête Humaine de Zola 1. Chapître 1 et 2 : l’Exposition Dans ces 2 premiers chapîtres, nous sont donnés les éléments principaux qui seront les clés du roman, à savoir, les personnages, les lieux, l’intrigue, les différents thèmes. La mise en route d’un point de vue dramatique se fait directement. Cependant, les deux premiers chapîtres sont différents : Chapître 1 : Il a lieu à Paris, dans un appartement qui donne sur la gare Saint-Lazare. Les deux personnages présentés sont

seul les raisons du comportement des mineurs. Ils ne veulent pas d'une révolution. Le cri domine d'ailleurs la Marseillaise. Introduction Zola fait partie de l'école naturaliste. Il est séduit par la thèse selon laquelle les comportements humains dépendent de l'hérédité et de l'influence du milieu. Il décide de prouver cette hypothèse en écrivant des romans naturalistes. Les plus importants sont ceux que contient le cycle des Rougon Macquart. L'histoire d'une famille qui est poursuivit de

tout D'autres Divinités n'y tiennent le haut bout : Le sens et la raison y règlent toute chose. Consultez ces derniers sur un fait où les Grecs, Imprudents et peu circonspects, S'abandonnèrent à des charmes Qui métamorphosaient en bêtes les humains. Les Compagnons d'Ulysse, après dix ans d'alarmes, Erraient au gré du vent, de leur sort incertains. Ils abordèrent un rivage Où la fille du dieu du jour, Circé, tenait alors sa Cour. Elle leur fit prendre un breuvage Délicieux, mais plein

parfois hommes et femmes au centre de son récit, ce sont les animaux qui occupent le plus souvent le devant de la scène. Ce détour fictif par le monde animal, visant à révéler des vérités sur l'homme et la société, se compose comme une satire du monde humain et sa portée en est parfois politique. [Présentation du texte] La dixième fable du premier recueil des Fables que La Fontaine composa durant l'année 1668, « Le Loup et l'Agneau », offre l'un de ses enseignements en dénonçant la puissance et la menace

Paris de la guerre Il voit le monde comme une comédie incohérente La grossesse des effets de la farce n’est pas assez gros pour lui “Le Guignol” (genre théâtral) lui a révélé l’outrance qui donne un théâtre son aspect primitif, naïf -) théâtre de violence, violemment comique/dramatique, tactiques de choc, renversement du langage, renversement des formes traditionnelles de pensée Théâtre qui ne se détourne pas de son cadre (pas de morale, pas de politique, pas d’idéologies) Il n’aime pas l’art engagé