Le Totalitarisme Stalinien Idéologie

remboursées à cause des Bolcheviks de 1917 · Milliers de travailleurs endettés  : il faut attendre l’ère stalinienne (1928) pour avancée volontariste · 1930’s : famine pour € l’Induconfiscation des récoltes pour les exporter

l’éloge du romancier, mais critiqua l’historien. On reprochait à André Malraux que Borodine apparaisse plus comme un fonctionnaire corrompu que comme un révolutionnaire. Mais, pour Trotsky, il s’agit du type même du bureaucrate engendré par le système stalinien. Quant au personnage de Garine, Trotsky le considérait comme un fantaisiste, ce qui pour lui ne peut correspondre au personnage d’un bolchevik. Enfin, il pensait qu’il manquait à l’auteur «une bonne inoculation de marxisme». La réponse d’André Malraux

théorie démocratique. Le danger c’est qu’au nom du peuple quelques individus prennent le pouvoir et l’exerce de manière autoritaire au nom du peuple, celui-ci ne possédant aucun bien et le dictateur décidant de tout.C’est la démocratie de type stalinienne dans laquelle l’individu voie sa liberté complètement disparaitre. B) Le recours à certaine requête institutionnelle Il s’agit ici de voir ce qui oppose la démocratie et le libéralisme sur certains principes. En matière de séparation

colonialisme, les tentations impérialismes, l’antisémitisme, le racisme…En fait de tout ce qui a constitué les origines du totalitarisme (Hannah Arendt). Le colonialisme, le racisme, … n’étaient pas des éléments consubstantiels de la mondialisation libérale, ils l’accompagnaient. Ils ont été défaits. Le totalitarisme ne reviendra pas, il a été défait. Les Origines du Totalitarisme (Hannah Arendt, 1951) : résumé Sur l’antisémitisme Hannah Arendt analyse dans ce livre l’émergence de l’antisémitisme politique

pas comment il fonctionne mais je sais que ça n'a rien de magique. Ex2: on sait que les phénomènes météorologiques n'ont rien avoir avec la volonté divine). Le processus de désenchantement du monde a eu pour conséquence de relativiser toutes les idéologies et toutes les religions => il n'y a pas une religion plus vraie qu'une autre, elles se valent. De plus, toutes les valeurs sont passées au même niveau. A partir de là, les sociétés risquent d'entrer dans ce que Weber appelle la « Guerre des

raisonnable. » Finkielkraut s'est intéressé au retournement intérieur de personnalités très différentes, Roland Barthes ou Vassili Grossman. Chacun dans son époque et son histoire, soit la France des Trente Glorieuses, pour l'un, ou l'Union soviétique stalinienne, pour l'autre, a vécu un moment paradigmatique de la modernité et a fait une expérience de vie également exemplaire. Ce sont ces expériences douloureuses, et singulières – car, pour Barthes, ce fut celle de la mort de sa mère, et, pour Grossman

Emmanuel KANT, Projet de paix perpétuelle (*) ✓ Georg Wilhelm Friedrich HEGEL, Philosophie de l’Histoire ✓ Karl MARX, Le Capital ✓ Alexis de TOCQUEVILLE, De la démocratie en Amérique (*) ✓ Raymond ARON, Démocratie et totalitarisme ✓ http://www.philagora.net/philo-poche/ (cours de philosophie niveau terminale) ✓ http://www.philosophiepolitique.net/ (forum de philosophie politique) ✓ http://www.doc-etudiant.fr/ (forum étudiant multidisciplinaire)

des souvenirs refoulés qu’on est persuadé n’avoir jamais vécus. Ainsi, la mémoire, source irremplaçable de vérité, peut-elle être sujette aux erreurs et aux illusions. 1.2 Les erreurs intellectuelles Nos systèmes d’idées (théories, doctrines, idéologies) sont non seulement sujets à l’erreur, mais aussi protègent les erreurs et illusions qui sont inscrites en eux. Il est dans la logique organisatrice de tout système d'idées de résister à l'information qui ne lui convient pas ou qu'il ne peut intégrer

les élections seront probablement truquées Yalta n‘a donc pas été un partage de l‘Europe :la thèse classique de la double hégémonie ne tient pas Les contradictions de Yalta résident dans la perception des dirigeants occidentaux,du totalitarisme soviétique :les occidentaux n‘ont pas voulu un partage fondamental,politique,idéologique de l‘europe mais accorder à l‘URSS une sphère d‘influence.Ils n‘imaginaient pas quelle profondeur atteindrait la communisation

l’Occident moderne. D’après Raymond Aron, il s’agissait d’une « guerre limitée » ou « paix belliqueuse » dans un monde bipolaire où les belligérants évitaient l’affrontement direct. Les Soviétiques et les Américains luttaient pour imposer leur idéologie, et de nombreux conflits, depuis la guerre de Corée, la guerre du Viêt Nam jusqu’à la guerre d’Afghanistan, ont résulté de cette opposition. Constatant que quand « Les puissants s’affrontent, les petits se battent » et tirés des deux bords, l’Inde