Le Vent Qui Eteint Une Lumiere Allume Un Brasier

lecture : Le barbier de Séville Titre du livre : Le barbier de Séville (1775) Auteur : Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais (1732-1799) ; écrivain, journaliste, dramaturge, inventeur, politicien… ; une des figures emblématiques du Siècle des Lumières Genre : comédie Personnages principaux : Figaro, Bartholo, Rosine, le Comte (=>Lindor, Comte Almavida) Résumé : Le compte Almaviva est éperdument amoureux de Rosine, jeune orpheline qui a pour tuteur le vieux docteur Bartholo. Ce dernier

d'ardeur, mais autant de lumière. Je change sans regrets lorsque je me repens Des frivoles amours et de leur artifice. J'aime l'hiver, qui vient purger mon coeur du vice, Comme de peste l'air, la terre de serpents. Mon chef blanchit dessous les neiges entassées Le soleil qui me luit les échauffe, glacées, Mais ne les peut dissoudre au plus court de ces mois. Fondez, neiges, venez dessus mon coeur descendre, Qu'encores il ne puisse allumer de ma cendre Du brasier, comme il fit des flammes

pâle et doux, Vient tard, et part de bonne heure, Ennuyé du rendez-vous. Leurs idylles sont moroses. - Soleil ! aimons ! - Essayons. O terre, où donc sont tes roses ? - Astre, où donc sont tes rayons ? Il prend un prétexte, grêle, Vent, nuage noir ou blanc, Et dit : - C'est la nuit, ma belle ! - Et la fait en s'en allant ; Comme un amant qui retire Chaque jour son coeur du noeud, Et, ne sachant plus que dire, S'en va le plus tôt qu'il peut. « L'hiver » de Agrippa d'Aubigné

VIEILLE FEMME................................................48 SALTIMBANQUES.........................................................................50 LE LARRON.....................................................................................51 LE VENT NOCTURNE....................................................................55 LUL DE FALTENIN .........................................................................56 LA TZIGANE .................................................................

................................. 49 Merlin et la vieille femme .................................. 50 Saltimbanques ....................................................52 Le larron..............................................................53 Le vent nocturne .................................................59 Lul de Faltenin ....................................................59 La tzigane ............................................................61 L'ermite ................................

................................. 62 Merlin et la vieille femme .................................. 63 Saltimbanques ................................................... 66 Le larron..............................................................67 Le vent nocturne .................................................73 Lul de Faltenin ....................................................74 La tzigane ............................................................76 L'ermite ................................

J'AVDBOUND AT THE UNIVERSITY OF TOUl IVTn ~ LA COULEUR. LA LUMIÈRE ET L'OMBRE DANS LES MÉTAPHORES Dl VICTOR HUGO METAPHORES Ils DANS L'ŒUVRE LA ET DE LES COMPARAISONS HUGO VICTOR COULEUR LA LUMIÈRE ET L'OMBRE DANS LES MÉTAPHORES DE VICTOR HUGO PAR EDMOND HUGUET : Il R A LA FACULTÉ DES LETTRES DE l'uNIVERSJTE DE CAEN ^^-^ PARIS BRA1RIE HACHETTE 7m. ET boulevard saint-germain, 79 1905 C lff 16 U 19 i AVANT-PROPOS Ce volume, comme le précédent', est fait pour

que tous nous veuille absoudre ! La pluie nous a débués et lavés, Et le soleil desséchés et noircis. Pies, corbeaux nous ont les yeux cavés, Et arraché la barbe et les sourcils. Jamais nul temps nous ne sommes assis Puis çà, puis là, comme le vent varie, A son plaisir sans cesser nous charrie, Plus becquetés d'oiseaux que dés à coudre. Ne soyez donc de notre confrérie ; Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre ! Prince Jésus, qui sur tous a maistrie, Garde qu'Enfer n'ait de nous

enfants de l'école viennent avec fracas Vêtus de hoquetons et jouant de l'harmonica Ils cueillent les colchiques qui sont comme des mères Filles de leurs filles et sont couleur de tes paupières Qui battent comme les fleurs battent au vent dément Le gardien du troupeau chante tout doucement Tandis que lentes et meuglant les vaches abandonnent Pour toujours ce grand pré mal fleuri par l'automne Commentaire Ce poème aligne trois strophes irrégulières formées successivement

‘’L’adieu’’ (page 20), ‘’Salomé’’ (page 21), ‘’La porte’’ (page 21), ‘’Merlin et la vieille femme’’ (page 22), ‘’Saltimbanques’’ (page 24), ‘’Le vent nocturne’’ (page 25), ‘’Lul de Faltenin’’ (page 25), ‘’La tzigane’’ (page 27), ‘’L’ermite’’ (page 27), ‘’Automne’’ (page 30), ‘’L’émigrant de Landor Road’’ (page 30), ‘’Rosemonde’’ (page 34), ‘’Le brasier’’ (page 34), ‘’Nuit rhénane’’ (page 38), ‘’Mai’’ (page 40), ‘’La synagogue’’ (page 41), ‘’Les cloches’’ (page 43), ‘’Schinderhannes’’ (page 43), ‘’Rhénane