Le Vieux Saltimbanque

protection la troupe de Molière maintenant formée de comédiens aguerris et qui joua dans la salle du Petit-Bourbon, qu'elle partageait avec une troupe d'Italiens, qui allaient d'ailleurs bientôt la quitter. Le 24 octobre 1658, dans la salle des gardes du vieux Louvre, eut lieu la première rencontre de Louis XIV et de Molière. Sa réputation à Paris fut établie par le succès que remportèrent plusieurs pièces : _________________________________________________________________________________ “Les précieuses

au passage. Je suis Comme un fou ! Ho ! Sa vie est un tissu d'ennuis, À cette pauvre femme ! – oui, chaque nuit j'y songe. – Vivre dans cette cour de haine et de mensonge, Mariée à ce roi qui passe tout son temps À chasser ! Imbécile ! – un sot ! Vieux à trente ans ! Moins qu'un homme ! À régner comme à vivre inhabile. – Famille qui s'en va ! – Le père était débile Au point qu'il ne pouvait tenir un parchemin. – Oh ! Si belle et si jeune, avoir donné sa main Utiliser le traitement de texte en

jours au passage. Je suis Comme un fou ! Ho ! Sa vie est un tissu d’ennuis, A cette pauvre femme ! -oui, chaque nuit j’y songe. -Vivre dans cette cour de haine et de mensonge, Mariée à ce roi qui passe tout son temps A chasser ! Imbécile ! -un sot ! Vieux à trente ans ! Moins qu’un homme ! à régner comme à vivre inhabile. -Famille qui s’en va ! -le père était débile Au point qu’il ne pouvait tenir un parchemin. -Oh ! Si belle et si jeune, avoir donné sa main A ce roi Charles Deux ! Elle ! Quelle misère 

jours au passage. Je suis Comme un fou ! Ho ! sa vie est un tissu d'ennuis, À cette pauvre femme ! - Oui, chaque nuit j'y songe. Vivre dans cette cour de haine et de mensonge, Mariée à ce roi qui passe tout son temps À chasser ! Imbécile ! - un sot ! vieux à trente ans ! Moins qu'un homme ! à régner comme à vivre inhabile. - Famille qui s'en va ! - Le père était débile Au point qu'il ne pouvait tenir un parchemin. - Oh ! si belle et si jeune, avoir donné sa main À ce roi Charles Deux ! Elle ! Quelle

(ibid, p.52), caractéristique de l’ironie huysmansienne. Dans En ménage il y a un très bon exemple de cette formulation de pseudo-vérités ou de « pseudo-définitions (…) Ainsi le mariage est ‘une caisse d’épargne où l’on se place des soins pour ses vieux jours » (ibid, p.53), ou encore « il justifiait, une fois de plus, cette irrécusable vérité que si stupide et si bouchée qu’elle puisse être, une femme roulera toujours l’homme le plus intelligent et le plus fin » (EM, p.335). Il y a une autre construction

délester de son lourd manteau de chanteur maudit, honni des médias et adulé par un petit – pas si petit que ça, d'ailleurs – nombre de zélotes particulièrement fanatiques. »10. Lui-même va d'ailleurs l'utiliser à des fins d'auto-dérision : « je suis un vieux désespoir de la chanson française »11. Néanmoins, si sa carrière a été, nous le verrons, véritablement hors norme, la raison de cette caractéristique n'est pas due qu'à son rapport avec le public et les médias. Elle est également à chercher ailleurs

génétique est aussi complexe que passionnante. En 1934 son recueil mythologie atteint son apogée par la qualité de son inspiration et de son écriture. Difficile d'imaginer deux artistes plus opposés. La Môme contre le Prince des poètes. La fille de saltimbanques, amie des putes et des maquereaux, contre l'académicien compagnon de Picasso ou de Stravinsky. L'alcool contre l'opium. Édith Piaf et Jean Cocteau étaient pourtant devenus très amis après leur rencontre en février 1940 et la mise en scène, quelques

rduire en cendres. liezer entendit un dport murmurer Il faut faire quelque chose. Il ne faut pas nous laisser tuer, ne pas aller comme le btail labattoir. Il faut nous rvolter., de jeunes hommes voulant se jeter sur les gardiens arms, mais les plus vieux imploraient leurs enfants de ne pas faire de btises. Ils arrivrent face au docteur Mengele qui effectuait la slection. liezer prtendit avoir dix-huit ans et tre agriculteur, et fut envoy vers la gauche, comme son pre. Ils ne savaient pas quelle direction

famille à qui ? Voyons voir ? Par la fille de la voisine Amélie. Mais son fils est plus âgé ! Attends, voilà, ça y est, bien sûr, la ressemblance ! Oui, c'est cela ! Les mêmes manies du vieux, à rester à épier le monde en roulant un clope ! Vu l'âge c'était au moins le petit fils, remarques, non, c'était pas un enfant de vieux mais il était né tard, oui, ça ne peut être que lui, l'étudiant, la quarantaine, trente ans qu'il était parti avec sa mère vivre en "zone franche" comme ils appelaient maintenant

d’apparence, donnant sur la rue, et au-dessus de laquelle brillait toute la nuit, derrière un treillage, une petite lanterne comme celles qu’on allume encore en certaines villes aux pieds des madones encastrées dans les murs. Le bâtiment, humide et vieux, sentait légèrement le moisi. Par moments, un souille d’eau de Cologne passait dans les couloirs, ou bien une porte entrouverte en bas faisait éclater dans toute la demeure, comme une explosion de tonnerre, les cris populaciers des hommes attablés