Le Vivant Est Il Une Machine

Alternance récit /discours rapporté →scène vivante/animée personnel naturel et réaliste. Élément du drame présenté habilement et avec vérité. Alternance des points de vue, regard de Gervaise. Alternance des points de vue, texte en trois temps = Gervaise regard l'objet extraordinaire avec crainte, relayé » par Mes Bottes, client alcoolique, et un point de vue moins situé (peut-être Gervaise rêve) mais Zola qui pose son regard visionnaire sur cette machine monstrueuse. Gervaise : curiosité pour

 2) LES OBSTACLES A L’INVESTIGATION DU VIVANT : A) ENTRER DANS LE VIVANT : L’EXEMPLE DE LA METHODE DE CLAUDE BERNARD 1) Le problème : La physiologie sait qu’on n’entre pas dans le vivant comme dans la matière inerte. Ici les manipulations sont délicates : pour s’assurer de la justesse des résultats, il faut éviter les blessures ou les stimulations qui déclencheraient une riposte de l’organisme (songeons à l’effet placebo). Connaître la vie oblige à ruser avec elle en employant des

matières premières, de nouveaux moyens de subsistance ainsi que tout ce qui sera transformer + les instrument de travail qui serviront à fabriquer de nouveaux produits.  Tout le capital = Travail accumulé Pour Marx, les machines ne sont pas du capital, un machine fait partit du capital seulement dans des conditions déterminés. Au cours de la production les hommes interagissent (rapport sociaux de production.) Le capital évolue en fonction des rapports sociaux de production. La notion

mais cela ne signifie pas que le règne technique soit gouverné par ce dont il dépend, ni qu'il y soit subordonné et encore moins réductible. Gilbert Hottois, Le signe et la technique Ce n’est pas la bombe atomique qui est mortelle en tant que machine toute spéciale de mort […]. Ce qui menace l’homme en son être, c’est cette opinion selon laquelle il suffit de délier, de transformer, d’accumuler et de diriger pacifiquement les énergies naturelles pour que l’homme rende la condition humaine supportable

Nicole, c’est l’existence qui crée l’écriture. Cette description serait une description scientifique, objective. Par exemple dans L'Assommoir de Zola, Zola rend compte scientifiquement du fonctionnement de machines : « la machine à vapeur du lavoir », « les cisailles mécaniques », « les machines à boulons et à rivets », « les ébarbeuses », « les taraudeuses à la forge ». Les descriptions sont faîtes pour que lecteur croît à la réalité de la chose, il faut donc pour cela que la description soit très

I. un poème qui chercher à émouvoir le lecteur pour le persuader = l'émotion au service de la persuasion, de la dénonciation. 1) implication de l'auteur et du lecteur a) implication auteur b) implique lecteur 2) évocation vivante et pathétique des enfants a) la description pathétique de la situation des enfants b) valorisation morale des enfants c) utilisation des procédés du registre pathétique 3) une représentation terrifiante du monde du travail a) un travail

scientifique des conduites humaines est-elle incompatible avec l'affirmation de la liberté? La science améliore-t-elle l'homme ? Peut-on constituer une science de l'homme sans nier la liberté humaine ? Peut-on considérer l'homme sur le modèle de la machine ? (Sciences de l'homme) A quels obstacles épistémologiques se heurte la constitution d'une science de l'homme? (Sciences humaines) Les sciences humaines nous disent-elles ce qu'est l'humanité? Peut-on dire que la leçon des sciences humaines, c'est

inférieur à l’âme / esprit. « La dignité du corps vient qu’il abrite quelque chose d’immatériel qui le dépasse » (G.Hottois). Le cadavre (corps mort) n’aurait qu’une dignité résiduelle. Conséquences de l’ontologie : le corps vivant est conçu à partir du modèle de la machine. Cela renvoie à la théorie mécaniste où cela revient à nier la vie même. Dépassement de l’ontologie par la phénoménologie Ici, nous allons nous pencher sur la conception du corps de Richir, plus riche et intéressante (en

I- Le vitalisme a) La différence, c'est que les machines ont une finalité, alors que les êtres vivants n'en ont pas. La vie n'a pas de but, pas même sa propre conservation. Freud avait complètement tort dès le début dans sa définition de la pulsion. Il a donné une finalité à ce qui n'en a pas.La vie est un ensemble de réactions chimiques couplées, auto-entretenu, qui se maintient PARCE QU'il est capable de répliquer ses opérateurs de couplages (adn, enzymes, etc), et de se déplacer vers les sources

nature a donc donne a l’homme l’intelligence, ou la raison. Nos objets techniques sont artificiels car il est cree par l’homme et remplit une fonction bien particuliere. Ces mains, alliees a notre cerveau plus developpe que celui du reste des etres vivants, ont permis a l’etre humain de prolonger son corps afin de lui faciliter la vie ; je dirais meme afin qu’il puisse survivre. L’animal est guide par son instinct qui lui a été donne par la nature, ainsi que des avantages physiques leur permettant de