Le ça Le Moi Et Le Surmoi

suis ma pensée, ce que je pense. 2/ Freud. Psychanalyste. 1ère topique : Conscience – préconscient / inconscient. Il y a une rupture entre d’une part la conscience et le préconscient et d’autre part l’inconscient. 2nde topique : Ca, Moi, Surmoi. Ca = désirs Surmoi = structure de censure, de limitation, Moi : résultat des deux. Citation « Le moi n’est pas maître dans sa propre maison ». En effet, il y a une partie de mes pensées et de mes actes qui m’échappent : c'est l’inconscient. Exemple :

de nos désirs, même ceux les plus sombres de notre psychisme. Chacun s’accorderait à dire que nous sommes bel et bien responsables de l’ensemble de nos désirs, du désir d’amour au désir de vengeance par exemple. Mais est-ce vraiment aussi simple que ça ? N’y a-t-il pas quelque chose qui nous échappe, nous dépasse et pourtant qui nous gouverne ? D ‘un part nous verrons en quoi nous sommes responsable de nos désirs, sentiments, envies. Par ailleurs en quoi ce n’est pas forcément le cas et enfin le rôle

distinction de Freud, la morale serait le surmoi qui briderait le ça de l’individu. En effet, le ça désigne la part la plus inconsciente de l'homme, c'est le réservoir des instincts humains, le réceptacle des désirs inavoués et refoulés au plus profond. Le Surmoi représente une intériorisation des interdits parentaux, une puissance interdictrice dont le Moi (c’est à dire la partie de la personnalité assurant les fonctions conscientes) est obligé de tenir compte. Le surmoi estcette voix en nous qui dit “il

pulsionnelle ne circule pas n’importe comment. Notamment la censure doit être entendue d’une façon active. La censure est composé de force permanente pour empêcher le retour des représentations refoulées. 2. Deuxième topique (1923) Le ça le Moi et le Surmoi (idéal du moi et du moi idéal) Deux textes de références : Au delà du principe de plaisir dans essai de psychanalyse. Pourquoi une 2nd topique : D’une part il a découvert un concept clinique : le narcissisme qui va interroger la

Dans la seconde topique, Freud distingue le ça, le moi et le surmoi. Le ça désigne l’ensemble des désirs inconscients refoulés. C’est le pôle pulsionnel, amoral (ou prémoral), un lieu sans interdit, empli de simples désirs et d’instincts : faim, désir sexuel, etc. Le ça est tout entier régi par le principe du plaisir : il recherche un plaisir maximal en toute chose. Mais au principe de plaisir s’oppose rapidement le principe de réalité. Les désirs du ça rencontrent de nombreuses contraintes dans

qui organise le dîner c’est l’expression du surmoi. À l’inverse, le ça ne veut pas que le dîner est lieu et prend la forme de la coupure de téléphone, des magasins fermés… On retrouve ici des prémices du deuxième topique qui date de 1925 dans lequel Freud distingue le ça, le moi et le surmoi. En effet, le désir de donner un diner semble ici s’apparenter au ça : le pôle pulsionnel, un lieu sans interdit, empli de simples désirs et d’instincts. Mais, au ça, au désir de donner ce diner, on constate que

sexuelle et à la pulsion d'auto-conservation. Dans sa deuxième topique (ça, moi ,surmoi) vers 1920, il relit l'agressivité à la pulsion de vie (Eros), d'auto conservation et la pulsion de mort, d'auto-destruction (Thanotos). Plus précisément l'agressivité serait ''la source d'une relation objet ''ou'' à soi-même ''ou ''bien un conflit entre le moi et le surmoi'', puisque que l'on sait que le ça, le moi et le surmoi forment le psychisme de l'individu et qu'ils servent à réduire les conflits

l'auteur, est "exercée de l'extérieur", c'est-à-dire extérieurement à l'individu, à l'enfant qui, de luimême n'est pas en mesure d'y faire obstacle. Cet "extérieur" signifie, ici, les autres adultes et plus précisément le surmoi des parents et des pédagogues. Ce n'est donc pas encore le surmoi de l'enfant lui-même, instance intérieure, effet d'une intériorisation des interdits, chargée de réprimer tout retour du refoulé. Pourquoi cela occasionne-t-il un refoulement ? Qu'est-ce tout d'abord qu'un refoulement

sexe opposé, et le parricide où nous voulons tuer celui du même sexe que nous. Nous avons des pulsions, des désirs que Freud a classé en trois catégories : le ça, le moi et le surmoi. Dans le ça on trouve le réservoir d'énergie psychique, c'est-à-dire toutes les pulsions. Dans le moi il y a l'homme qui se défend contre celles-ci. Et dans le surmoi : ces pulsions sont soit autorisées soit refoulées, ce sont des pulsions qui n'arrivent pas à s'extraire car on s'y refuse. C'est l'objet de la psychanalyse

propre d'une instance particulière puisqu'elle qualifie le Ça et pour une part le Moi et le Surmoi. Mais il convient de noter: que les caractères reconnus dans la première topique au système Ics sont, d'une façon générale, attribués au Ça dans la seconde; que la différence entre le préconscient et l'inconscient, si elle n'est plus fondée sur une distinction intersystémique, persiste comme distinction intrasystémique (le Moi et le Surmoi étant en partie préconscients et en partie inconscients)