Léandre

dramatique dans cette scène écrite du meilleur style, avec une clarté parfaite et une grande puissanee de relief. En voici quelques fragments. Le drame le mieux fait ne parle pas un langage plus touchant. « Quelque temps après, dit Octave à Scapin, Léandre fit rencontre d'une jeune Egyptienne dont il devint amoureux. Comme nous sommes grands amis, il me fit aussitôt confidence de son amour et me mena voir cette fille, que je trouvai belle à la vérité, mais non pas tant qu'il voulait que je la trouvasse

l’image du médecin dans un contexte historique I. La vie de famille 1 • Quelle image du mariage Molière donne-t-il avec le couple Martine-Sganarelle ? 2 • Quelle est la particularité du mariage dans la bourgeoisie ? Pourquoi Géronte refuse-t-il Léandre pour gendre ? 3 • Quelle image du mariage Molière semble-t-il donner ? 4 • Quel regard Molière porte-t-il sur la condition féminine ? II. La critique des médecins 1 • Sganarelle devient médecin sans diplôme. Que critique Molière ? 2 • Observez

Octave, fils d'Argante et Léandre, fils de Géronte, se sont marier, l'un de Hyacinthe, jeune fille pauvre et orpheline qu'il vient d'épouser , le second de la « jeune Égyptienne » Zerbinette. Au retour d'Argante, Octave, très inquiet de la réaction paternelle à l'annonce de son union et, en plus à court d'argent, implore le secours de Scapin, valet de Léandre. Mais Scapin n'arrive à rien.Argante répète à Géronte la nouvelle qu'il tient d'une indiscrétion de Scapin : Léandre a fait une erreur. Comme

société. Le vocabulaire concret « glacé,… » met en place l’opposition traditionnelle qui existe entre l’être et le paraitre dans une comédie et qui est propre au mariage. Cette opposition se retrouve dans celle que Sylvia et Lisette ont de Tersandre, Léandre et Ergaste. D’un côté on a Lisette qui aime les plaisir de la vie et de l’autre Sylvia qui est raisonnable et de fait méfiante. Cette opposition entre les deux femmes se justifie car elles n’ont pas le même point de vue sur le mariage et elles n’ont

différentes sortes de comique. Dites quelles sont les visées du texte qui justifient le recours au registre comique. Texte 1 Léandre, amoureux de Zerbinette, a besoin d’argent pour payer la somme que lui réclament, en échange de Zerbinette, les Bohémiens chez lesquels elle habite. Voici le subterfuge que trouve Scapin (valet de Léandre) pour escroquer Géronte (père de Léandre). 5 10 15 20 25 30 35 40 45 50 55 60 Scapin. – Monsieur, votre fils... Géronte

qualités et les défauts humains. Nous allons donc vous les présenter : - Colombine : Elle représente une femme de chambre astucieuse et vive. une demoiselle qui ne sait garder sa langue dans sa poche et est amoureuse de Clitandre. - Clitandre (ou Léandre) : C’est un jeune soupirant sentimental et rêveur. - Arlequin : C’est un valet qui symbolise la fantaisie et la ruse. Il est originaire de Bergame. - Pierrot : valet non masqué, naïf et honnête, rival d'Arlequin. Il est amoureux de Colombine et

VII Montrer les différents comiques de cette scène Cette scène repose essentiellement sur le comique de répétition étroitement lié au comique de caractère. Géronte, homme avare ne se résout pas à donner l’argent qui liberea son fils Léandre, qu’il croit prisonnier sur une galère. Au lieu de payer immédiatement la rançon et de s’inquiéter pour son fils, il tergiverse et cherche une diversion lui permettant de ne pas verser les cinq cents écus réclamés. L’emploi de l’hyperbole « m’assassiner

Sous sa forme française, Scapin apparaît pour la première fois sur le théâtre comme personnage principal de la pièce de Molière, Les Fourberies de Scapin. Il y est le valet de Léandre, fils de Géronte. Doté d’une incroyable intelligence, il effectue de nombreuses fourberies. Il est souvent appelé par Octave et Léandre pour résoudre des problèmes. Il aime bien tromper Argante et Géronte. On découvre, au fil de la pièce, que Scapin est certes un fourbe mais aussi un homme avide de vengeance, qui

d’avoir peur : - appréhension entre apparence et réalité > « un masque qu’il prend au sortir de chez lui » l.87 : description de trois portraits -> Ergaste, Léandre et Tersandre, trois hommes qui maltraitent leur épouse - balaye les arguments de Lisette : « on dit » l.51 en italique-> insiste sur la rumeur - les portraits de Ergaste, Léandre et Tersandre la persuadent qu’elle aura à faire à un homme raisonnable mais sans joie > « on a plus souvent affaire à l’homme raisonnable qu’à l’aimable homme

leur curiosité. De tous les journaux humoristiques, celui-là eut le plus de succès. L'Affaire Dreyfus éclata en 1894 et Le Rire fut l'une des nombreuses publications à exploiter les sentiments anti-républicains et antisémites (caricatures signées Léandre notamment) que suscita ce scandale. C'était une époque où le gouvernement français était souvent caractérisé par la corruption et la gabegie. Ministres et responsables militaires devinrent des cibles fréquentes. Ce journal satirique était rempli