Lébous

l’actuelle région de Thiès. Auparavant, les Lébous avaient refoulé les Damels du Cayor (dont le dernier Amadou Ngoné, Ndéla Coumba ) qui voulaient maintenir leur nomination sur le Cap-Vert. Les batailles eurent lieu à Mbérouane, Thialane,Khondhoume Ndokh (sang des guerriers dans l’eau des mares, des lacs et des rivières, et à Sédaupe Daume ( partage de la poudre de fusil pour ceux qui comprennent pas le Lébou ). Ces batailles étaient pour nous Lébous, les équivalents de Nder, de Guilé, Dékhelé

de vue de sa composition sociologique, la population senegalaise est a 94% composee de musulmans. Les chretiens representent 4%, les animistes et les autres 2%. Les groupes ethniques constituant la majorite’ de la population sont : les Wolofs et Lebous (43% en 1988 / 41% en 1976), les Sereres (15% en 1976), les Peuls (13% en 1976) et les Toucouleurs (11% en 1976). Moteurs de la dynamique demographique 1 – Le rythme de l’accroissement naturel Apres avoir ete de 2,7% entre 1976 et 1988, le

CONCOURS DIRECT – CYCLE B – SESSION 2015 FICHE DE RENSEIGNEMENTS 3598DB Prénom (s) :DJIBRIL NOM :BAH Né (e) le :17/11/1990 A DAKAR Fils / Fille de :OUMAROU et de :AISSATOU DIALLO Numéro CNI :1-761-1990-00741 Situation de famille : Célibataire Adresse : OUAKAM LEONA PRES DU EX CINEMA de ouakam DAKAR Cellulaire :779608451 Fixe : E-mail :djibrilimida@gmail.com Etudes/Diplôme (s) obtenu (s) (Baccalauréat) : baccalaurét L2 LYCEE LAMINE GUEYE 2010 Autre (s) : Participation(s) antérieure(s)

marabouts venus des provinces du Ndiambour et du Cayor, en raison de leur révolte contre le Damel y favorisa l’islamisation d’une bonne partie de la population. Au lendemain de l’échec de la tentative d’occupation de la presqu’ile par le Cayor, les Lébou créèrent un Etat théocratique. L’islam devint la pierre angulaire sur laquelle reposent les institutions du nouvel Etat. La mosquée qui avait occupé une place prépondérante dans l’édification de la société islamique joua un rôle de centre de gravité

( ( M Vernière (1) a décrit dans son étude sur Pikine, ville située à une douzaine de km de Dakar (carte no l), la chronolo- ) ) Un urbanisme non contrôlé? Pikine s’est développé dans la zone de Dagoudane-Pikine, entre les villages lébou traditionnels de Cambérène, Yembeul, Thiaroye Guedj et, plus récemment, de Thiaroye-Gare. 21 PlKlNE : SITUATION DANS LA PRESQU'ILE DU CAP VERT O t 1 km L--l Route principale Zone urbanisée très dense Source : IGN 1/50 O00 Dakar nd

nationales des français ruralisés à Paris ainsi qu’à la bibliothèque nation François Mitterrand, les informations concernant ces rois négriers et la macabre comptabilité de ce commerce. Les rois du cayor souhaitèrent néanmoins en une forte résistance des Lébous et des Sérères (petite côte du Sénégal). Il fut décrit dès le début du 15e siècle (navigateur Cadamosco) comme des peuples refusant de vendre des esclaves. II. Administration En 1996 le parlement se prononce en faveur d’une profonde réforme

installe sera en paix »5 ou encore de dekk-raw, une association de dekk (pays) et raw (s'échapper)6. Selon la même source, il pourrait aussi s'agir du terme wolof dakhar, qui désigne le tamarinier, un arbre très présent sur la côte à l'arrivée des Lébous au XVIe siècle. La localité étant évoquée dans certains documents7 sous le nom de "d'Accard", on a également pu y voir la référence à un négociant ou marin français peu connu de la fin du XVIIe siècle, nommé Accar ou d'Accard. Histoire Articles

sera pour très bientôt! Avec ou sans vêtements. Un village Peuhl Une vieille femme Peuhl A l'arrivée dans le village, le salut d'une vieille femme * * * * * * * * * * Jeunes pêcheurs Lébous Les Lébous, très proche des Wolofs, sont les premiers et principaux occupants de la presqu’île du Cap Vert, ils représentent actuellement environ 7% de la population du Sénégal. Ce sont traditionnellement pêcheurs, qui s'établissent partout où il y a

Dacosta, Pereira, Dasylva, Ferreira etc. Mais beaucoup de manjakus aujourd'hui ont des noms typiquement manjaku. Des noms et des prénoms qui ne sont pas de simples étiquettes mais qui sont riches de sens. Le mariage lebou La cérémonie du mariage (« céét ») chez les Lebou du Cap Vert est rythmée par 9 chants (« woyi céét ») : « Sevi Leen » chanté par les tantes lorsque tout le monde prépare le départ de la fiancée, « Yaya Ndiaye » évoque un mythe facteur de cohésion social dans le groupe

l’acculturation Pour lutter contre l’acculturation, il faut que chaque année d’organiser des journées culturelles, améliorer la construction des centres culturelles qui se nourrissent de la culture ancestrale comme le « Ndawrabine » pratiquée par les lébous et le « yella » pratiqué par les halpoulars, de même que la peinture et les arts. Conclusion Bien que notre culture à des côtés néfastes comme l’excision, le mariage précoce mais malgré tous il faut en préserver certaine comme la circoncision, la