Lécapène

code] Voir saint Romain Page d'aide sur l'homonymie Ecclésiastiques[modifier | modifier le code] Romain, pape. Romain, évêque de Rochester entre 624 et 627, membre de la mission grégorienne. Empereurs[modifier | modifier le code] Romain Ier Lécapène, empereur byzantin. Romain II, empereur byzantin. Romain III Argyre, empereur byzantin. Romain IV, empereur byzantin Toponymes[modifier | modifier le code] Romain est aussi le nom (ou partie du nom) de plusieurs communes françaises : Romain

Basile Ier, en 867. Cette période, dite de Renaissance Byzantine ou Macédonienne, est surtout celle de nombreux empereurs lesquels tâcheront de ramener l’ordre à Byzance. Basile Ier est le fondateur de la dynastie (867-886) puis lui succéderont Romain Lécapène (919-944), Nicéphore Phocas (963-969), Jean Tzimiscès (969-976), usurpateurs qui gouvernèrent sous le nom des princes légitimes, Basile II enfin, qui régna tout un demi-siècle (976-1025). Avec les empereurs dits «macédoniens» (en fait d'origine arménienne)

(Κωνσταντίνος Πορφυρογέννητος, littéralement né dans la pourpre, 905 – 959) est un empereur romain d’Orient – c’est à dire Basileus (Βασιλεύς) de l’empire byzantin. Avant de parvenir au pouvoir, il est confiné au palais par son beau-père, l’amiral Romain Lécapène, qui lui a fait épouser sa fille, l’énergique Hélène. Érudit, nous avons retenu quatre livres sur la cinquantaine qu’il écrivit. Il ne règne personnellement que peu de temps, mais favorise les Lettres. Cicéron (106 – 43) est un écrivain, orateur

À partir des premières décennies du IXe siècle eurent lieu les premiers contacts de l'empire carolingien avec le califat d'Al-Andalus qui fut un havre de tolérance et de culture, puisant aux sources byzantines: par exemple, l'empereur Romain Ier Lécapène (Ρωμανός Α' ο Λεκαπηνός) envoie bibliothèques et traducteurs à Hasday ibn-Chaprut (X-ème siècle), ministre du calife de Cordoue Abd al-Rahman III[19]). De son côté l'Italie, et plus précisément les Vénitiens, recevait également cet héritage byzantin

À partir des premières décennies du IXe siècle eurent lieu les premiers contacts de l'empire carolingien avec le califat d'Al-Andalus qui fut un havre de tolérance et de culture, puisant aux sources byzantines : par exemple, l'empereur Romain Ier Lécapène (Ρωμανός Α' ο Λεκαπηνός) envoie bibliothèques et traducteurs à Hasday ibn-Chaprut (Xe siècle), ministre du calife de Cordoue Abd al-Rahman III[19]). De son côté l'Italie, et plus précisément les Vénitiens, recevait également cet héritage byzantin

et prend sa place en 867. * Son fils Léon VI le Sage est un grand législateur mais celui-ci n’a pas d’héritier malgré 3 mariages et il va en faire un 4e avec Zoé qui lui donnera Constantin VII (913-959) et arrive un grand propriétaire romain Lécapène qui ne prend pas le pouvoir car il se considère comme un co-empereur mais il marie sa fille à l’empereur. * On retrouve Romain II qui va lui aussi laisser sa veuve Théophane et alors on assiste à un système polaire où la veuve devient une sorte

dans toute la splendeur de sa résurrection. Le même jour, nous commémorons également la translation de la précieuse relique de D la main droite du Précurseur, d’Antioche à Constantinople, sous le règne de Constantin VII Porphyrogénète et Romain II Lécapène (956-957). La sainte dépouille du Précurseur ayant été inhumée à Sébaste par ses disciples, l’Évangéliste saint Luc vint, quelque temps plus tard, la vénérer et prit avec lui la main droite du Précurseur pour la déposer à Antioche, sa patrie, où

certains de leurs empereurs. Cet empire sera grand : il suffit d’évoquer Justinien (527-565), rassembleur de lois (le code Justinien) et bâtisseur de l’admirable coupole de la basilique Sainte-Sophie (l’architecte en fut Anthémios de Tralles) ; Romain Lécapène (920-944), ou le terrible Basile II le Bulgaroctone (« Tueur de Bulgares ») (9581025). L’empire byzantin durera jusqu’aux invasions turques du XVe siècle. Mais, en dehors du monde égéen, qu’il protégea, une vague de barbarie emporta tout. Même la