Leçons de Ténèbres

Ces Leçons, qui pourraient être de ténèbres, et que l’on pourrait suivre de poème en poème, seront aussi, comme on le verra, de lumière. Mais, pour cerner l’inquiétude du poète, il faut aussi évoquer le doute, qui, plus profondément encore, le saisit parfois quant au bien-fondé de son entreprise. C’est alors une autre « mort », celle de l’inutile, de l’acedia, de l’à-quoi-bon ------------------------------------------------- Résumé de la fiche de lecture Leçons est un recueil de 23 poèmes édité

Le recueil Leçons succède à un premier essai poétique de Philippe Jaccottet de décrire la mort de son beau-père Louis Haesler. Peu satisfait par sa précédente tentative, L’ignorant, le poète compose une nouvelle œuvre, qu’il désigne lui-même comme un « livre de deuil », entre 1966 et 1967. Le recueil, qui regroupe 23 poèmes, s’organise autour de la figure du disparu : il apparaît bien que la mort et la façon dont elle est ressentie par le poète sont au cœur des poèmes ; mais comment l’œuvre

Colombe sous l’inspiration de son épouse défunte. Le motif du tombeau est très présent dans l'œuvre, d'une part «Le tombeau » au sens de l’œuvre musicale entraine de multiples conséquences et d’autre part « Le tombeau » en tant qu’obscurité au sens des ténèbres. Tout d'abord, Tous les matins du monde, est un roman qui lui-même formule le motif du tombeau. Comme le dit Guignard dans son roman lors du chapitre XXVI « tous les matins du monde sont sans retour », autrement cette citation est le fil conducteur

titulaire et ordre des sections • Le titre confond plusieurs sens du mot « leçon ». Le sens le plus courant : scolaire, qui présente l’apprentissage. Dans le vocabulaire religieux, le mot « leçon » exprime la lecture des textes bibliques, dans le vocabulaire de l’édition, il renvoie à la version que retient un éditeur entre différents états d’un texte, et dans le vocabulaire musical, il renvoie aux « Leçons des ténèbres ». Ces leçons sont, peut-être, celles que Jaccottet apprend, face à la mort de son

qu'il se donne sous le soleil ? Il applique son coeur à rechercher et à sonder la sagesse de tout ce qui s'accomplit sous les cieux. Il voit tout ce qui se passe sous le soleil et voici que tout est vanité à poursuivre du vent. Devant la leçon éternelle des ténèbres, les App∴ remettent leurs espoirs dans l'Ordre, réalisant ainsi la signification de la démarche qui les a conduits à heurter à la porte du T. ∴ au sortir de l'épreuve de la Terre. Devant la porte solsticiale de l'hiver, qui va ouvrir la

l’homme terrible qui la regardait. Je demeurai pensif. Cet homme n’était plus pour moi un homme, c’était le spectre de la misère, c’était l’apparition brusque, difforme, lugubre, en plein jour, en plein soleil, d’une révolution encore plongée dans les ténèbres mais qui vient. Autrefois le pauvre coudoyait[footnoteRef:5] le riche, ce spectre rencontrait cette gloire ; mais on ne se regardait pas. On passait. Cela pouvait durer ainsi longtemps. Du moment où cet homme s’aperçoit que cette femme existe tandis

compassion.com Table des matières Leçon 1: Qu'est-ce que l'environnement? 2 Objectifs 2 Avantages 2 Obligations 2 Activités 2 Activités Initiales (environ 5 minutes) 3 Activités d'apprentissage (environ 30 minutes) 4 Activités de clôture (environ 10 minutes) Erreur ! Signet non défini. Leçon 2: la pollution de l'environnement Erreur ! Signet

d'union aboutissant à un dépassement mystique). Il fut prêtre, puis archevêque de Cambrai. Il appartient au mouvement du Classicisme. Le texte est un apologue, ici la fable XX, extraite des Fables et opuscules pédagogiques. I. Un apologue II. Une leçon de sagesse I. Un apologue 1- Un récit plaisant : Un schéma narratif simple (il va à l'éssentiel) qui présente une fiction en prose. Situation initiale des deux personnages : une vie tranquille et heureus. Elément perturbateur : "l'un deux se

les filles qui pêchent à la rivière (19), les bains de St C dans le ruisseau, la contemplation du peintre au travail, les intempéries. Ces choix du conteur offrent au lecteur et au spectateur un point de vue sensible et artistique, à l'image de la leçon que donne St C à MM dans la forêt. -La mise en valeur des différences entre roman et film concernant la présence du conteur : * dans le roman, un conteur extradiégétique et omniscient, utilisant la 3• personne du singulier -> une apparente neutralité

Ekphrasis: de l'image au texte et de l'image à l'image (p. 3) 2. La « vie secrète » des choses (p. 5) 3.La nuit et le silence: Georges de La Tour (p. 7) 4. Eloge du quotidien: la leçon de peinture de Vermeer (p. 10) « UN FILM DONT TOUTE LA CHAIR SOIT LA MUSIQUE » 1. Un mythe baroque: Orphée (p. 14) 2. Office des ténèbres (p. 15) 3. L'éloquence muette des larmes (p. 17) 4. Pleurer comme une Madeleine (p. 19) 5. Eros baroque: le mythe d'Actéon (p. 21) ELOGE DE L'OMBRE (p. 23) INTERTEXTUALITE