Leçons de Ténèbres

Participation au programme de recherche « L’observatoire des regards/ À la recherche des lucioles » Villa Médicis (Rome - Italie) http://alarecherchedeslucioles.blogspot.fr/ 2011 : Participation au programme de recherche « L’observatoire des regards/ Leçon de Ténèbres » (Sites préhistoriques - Dordogne - France) http://lalecondetenebres.blogspot.fr/ Expositions et Publications 2013 : Exposition collective des diplômés 2013, «Intervalles» , Galerie Omnibus, Tarbes, 65 2010 : Exposition collective, «l’histoire

les plaçant face à des situations qui vont les amener, eux et le lecteur, à remettre en cause leurs actions et à tenter de se les expliquer. Cependant, si l’on prend le fameux monologue intérieur de Gauvain, nous pouvons nous apercevoir que cette leçon de philosophie prend la forme d’un prétexte à l’écriture poétique, qui semble encore une fois servir d’appât pour le lecteur qui, fasciné, sera beaucoup plus réceptif à l’interrogation. En effet, Hugo utilise de lourdes accumulations « tout ce qui

l’on comprend que l’oiseau représente la mort : « L'oiseau dans ma cage d'os / C'est la mort qui fait son nid. » (v5 et v6) alors que dans Les Corbeaux c’est le champ lexical qui réfère à la mort :« vols funèbres (v2), tombeaux (v5), carcasses (v6), ténèbres (v7), proie (v9), démons (v9), âme (v14)… » Aussi, ceux-ci utilisent l'image de l'oiseau pour représenter la mort. Dans le poème Cage d'oiseau, on retrouve par exemple les vers suivants : « L'oiseau dans ma cage d'os/ C'est la mort qui fait son

participe à l’argumentation. Le texte présente cinq paragraphes que l’on peut regrouper en deux parties distinctes : une première partie narrative et descriptive (§ 1-2-3) tient lieu d’exemple; une deuxième partie plus ouvertement argumentative, tire la leçon de l’histoire, et s’achève par une phrase où l’auteur résume sa thèse (§ 4- 5). 1) un récit jouant le rôle d’un exemple argumentatif : Les trois premiers paragraphes décrivent la « chose vue » : après une brève mise en place de repères

Michel, 2008, Gérer les indésirables : des camps de réfugiés au gouvernement humanitaire, Paris, Flammarion. Assayag, Jackie, 2004, « La face obscure de la modernité : anthropologie et génocides », L’Homme, no 170, p. 231-244. —, 2004, « Leçons de ténèbres : violence, terreur, génocides », Les Temps Modernes, no 626, p. 275-304. Balandier, Georges, 1951, « La situation coloniale : approche théorique », Cahiers internationaux de sociologie, no 11, p. 44-79. Ballard, Chris, 2003, « La fabrique

INTRO Le courant de pensée philosophique et littéraire qui se développe en Europe au XVIIIe siècle doit son nom à la métaphore des «lumières de la raison», qui dissipent les ténèbres de l'obscurantisme. Période marquée par pensée rationnelle, esprit critique, discours argumentatif. Contestation des institutions, Rejet du dogmatisme, Prédominance de la Raison. Issu d'un courant de pensée qui naît après la révocation de l'Edit de Nantes. Plusieurs facteurs permettant l'éclosion : réflexion

charme le corbeau en le complimentant sur son plumage ainsi que sur son ramage. Par vanité, l’oiseau ouvre son bec afin de lui montrer le son de son croassement. Il laisse donc malencontreusement tomber son fromage. Le Renard, le récupère, lui fait la leçon, puis s’en va. Cette fable nous montre la supériorité de la ruse du renard sur la bêtise et la naïveté du corbeau, elle fait voir ce que peut l’esprit, et que la sagesse est toujours plus forte. Le corbeau, dans un geste plein de vanité, montre le

ce que tous les offices aient à peu près la même durée, chaque jour de la semaine. Il réserve, par exemple, les psaumes 109 à 147, pour les vêpres. Durant les premières heures de l’office des ténèbres, rien n’est plus austère : la ligne pure de la psalmodie, des leçons, des répons, c’est tout. Saint Benoit, au contraire, y a mis des ornements : comme introduction, le « Domine labia mea aperies » récité trois fois, ensuite, le psaume 3 pour donner aux retardataires le temps d’arriver

tristesse du poète prend alors son sens grâce à l’anaphore «malgré la mort» (l.20,26) qui pose tout de suite ce poids que l’intéressé traîne derrière lui. Conventionnellement à la tradition lyrique, on repère le thème de la mort «mort» (l.10,26,27), «ténèbres» (l.20), «feu» (l.24) qui s'oppose à celui de la vie «vis» (l.1), «vie» (l.3), «jour» (l.20) etc... Cela témoigne du désordre de ses sentiments «images innombrables de la vie» (l.3), «images innombrables de la mort» (l.27). De plus, l'hyperbole «innombrables»

en pleine nuit, sur une route déserte. J’étais au volant d’une Renault 5 antédiluvienne (1) et je me dirigeais vers le chalet de Maryse Bernadac, mon éditrice. Pendant que je conduisais, je me demandais non sans inquiétude si Une saison dans les ténèbres que venaient de publier les éditions Condorcet ne passerait pas aussi inaperçu que mes précédents romans. J’y avais consacré trois longues années de travail, trois longues années à travailler avec Maryse, à revenir sur chaque paragraphe, sur chaque