Leçons de Ténèbres

inquiétude" écrit par Fénelon en 1718, puis "Le joujou du pauvre" écrit par Baudelaire en 1869 ainsi que :"Le Torrent et la Rivière"écrit par Jean de La Fontaine en 1678 . Ces trois apologues ont tous les trois des oppositions qu'ellessont-elles ?et quelles leçons peut on en tirer ? Dans le texte 1 , Fénelon nous décrit la vie paisible de deux pigeons , leur amitié évoque une vie heureuse notamment au vers 11-12 « Onentendait le doux murmure de ces heureux pigeons et leurs vie était délicieuse ». Cela

difficultés de ce genre de peinture et le danger de tomber dans les ombres lourdes et opaques, font préférer généralement la peinture aux tons clairs, et surtout les effets de plein air. Le clair obscur dans le film Prenons pour exemple la dernière leçon qui est une séquence composée de trois scènes jouant particulièrement sur les gestes et la luminosité, sur les champ-contrechamp. Les scènes sont sombres, seule la lumière de la bougie amène une faible clarté. Cette obscurité suppose le peu de vie

Séance  : Les repas dans la diligence (17 à 21 « Boule de Suif, à plusieurs reprises…les leurs aux religieuses » / 39 à la fin « On n’attendait plus que Boule de Suif…dans les ténèbres ») comparer les deux extraits. Quelle(s) « leçon(s)» peut-on tirer de cette histoire ? Les valeurs qu’incarne le personnage étudié sont-elles celles de l’auteur ? Bilan Objectifs : • connaître les caractéristiques de la nouvelle • comparer différentes nouvelles à cette définition • savoir

Tous les matins du monde Du roman de Pascal Quignard au film d’Alain Corneau. SOMMAIRE Fiche 1 › Un écrivain, un cinéaste p. 2 Fiche 2 › Jansénistes et courtisans p. 4 Fiche 3 › Le maître et l’élève p. 5 Fiche 4 › Musique mondaine ou « leçon de ténèbres » ? p. 6 Fiche 5 › Les défaillances de la parole p. 7 Fiche 6 › Voix et points de vue p. 8 Fiche 7 › Une esthétique baroque p. 9 Fiche 8 › Bilan de l’étude de l’oeuvre p. 10

Puisque la vie est courte, donnons lui de l’intensité et de la qualité. B-Voyons comment le baroque peut inspirer de la force et de la vie : Cette période baroque ne cesse de m’inspirer de l’admiration, l’humanité de cette époque nous a laissé une leçon de rebondissement, de renouveau, de sursaut, qui a permis le jaillissement de chefs d’œuvre en tous genres. Je prendrai l’exemple du théâtre. L’esprit de la Renaissance avait permis de redécouvrir la grande tradition grecque du Théâtre. Mais le

"toute littérature digne de ce nom est utile par nature puisqu'elle vise à l'élucidation, pas à la leçon à l'élucidation." Manhattan terminus L'utilité de la littérature est pratique : la littérature nous délivre la connaissance sur un mode non-dogmatique. Elle n'est pas univoque mais propose au contraire des séries d'expériences morales propices à l'élucidation. Il faut la distinguer de la leçon, discours scolastique univoque. On ne lit pas, on élucide : l'élucidation fait la lumière sur les

amulette, fait ressurgir les vestiges du passé. Sa viole, à l'instar de la lyre d'Orphée, devient magique, conduit la main du violiste qui « se dirigeait d'elle-même sur la touche de son instrument » (p. 36). Contrairement, au chapitre XV, la « leçon de Ténèbres », musique funèbre, réveille l'épouse défunte : c'est la huitième apparition de Madame de Sainte Colombe. Elle apparait à ses côtés, avec une impression de réel, elle le conduit, l'exhorte de la suivre – « Maintenant il faut rentrer » (p. 77)

2/ Aboiements étouffés, fantomatiques 3/ Quelque chose qui a volé au-dessus d'eux, un nuage 4/ Escargot dans un rocher 5/ Chaton dans les bras de Maya 6/ Lucioles, etc...   CHAMPS LEXICAUX Ténèbres Malédiction * 1 maudite nuit, village déserté par les animaux * Le village devient les ténèbres la nuit * Nehi = Démon de la montagne * Néhi de son manteau crépusculaire * Néhi : Battements d'ailes, son palais de cauchemar * Crainte de la forêt : par groupe de 3 ou 4, et toujours en plein jour

un objectif didactique : instruire et plaire en illustrant une leçon (plus ou moins implicite) par le biais d'un récit allégorique. Celui-ci se décline sous plusieurs formes. Les fables et les contes philosophiques sont les formes d’apologue les plus répandues. Une fable est un récit bref en vers ou en prose, mettant en scène le plus souvent des animaux ou des végétaux qui subissent une personnification afin de transmettre une leçon morale aux hommes. Cette forme d’apologue connue un grand succès

s'aperçoit que cette femme existe, tandis que cette femme ne s'aperçoit pas que cet homme est là, la catastrophe est inévitable » et annonce les émeutes de 1848 qui entraineront l’abdication du roi Louis-Philippe : « une révolution encore plongée dans les ténèbres, mais qui vient. » Le poème en vers libres de Prévert frappe par la cruauté des images, par le refrain repris en début et en fin du poème ainsi que par la répétition : « il est terrible » et l’anaphore « café » qui soulignent le besoin immédiat