Légat

du roi face à l’Eglise, lien auquel s’ajoute un lien temporel et matériel. B) L’autorité pontificale - (ligne 60 à 63) «  A sa suite, il y avait les légats du Siège romain(…) A leur suite étaient les archevêques, les évêques, les abbés et les clercs.  L’autorité du Pape est ici présente par les légats du Siège romain. Le terme légats se transmit de l’Empire romain à l’Eglise catholique. Ce sont les envoyés du souverain pontife. L’Eglise catholique au Moyen Age entretient un lien avec le

plus politique et donc plus soumis à des tentatives de falsification. C’est une vérité sous pression, une vérité qui ne peut se dire dans la sérénité, un engagement. Mais ce ne sont pas les colons ni Sépulvéda qu’il faut convaincre ; c’est le légat du Pape, arbitre redoutable peut-être ouvert à certains arguments, ou capable de discerner le vrai du faux, le désintéressé de l’intéressé. C’est pourquoi il faut trouver les mots qui conviennent dans le code complexe de la rhétorique d’usage, les

“Principat”. C’est la même année qu’il achève l'organisation de l'Etat, en partageant les provinces entre [le sénat et le peuple] et lui, les transformants ainsi en provinces sénatoriales et en provinces impériales administrées par le prince par le biais de légats-gouverneurs. (Lignes 1 à 2) Ce texte est tiré du livre de Patrick LE ROUX, “L’armée romaine et l’organisation des provinces Ibériques”, historien émérite spécialiste de l’histoire de la Rome antique, le texte n’est pas écrit par lui mais par Strabon

présenté est un débat. On remarque de plus que Las Casas et Sepúlveda utilisent tous les deux des questions rhétoriques ajouter à cela des raisonnement concessif, en utilisant des arguments de chacun. 2) On pourrait associer comme objet sur scène au Légat, une sonnette car c'est lui qui décide du temps de parole pour le colon une épée car c'est lui qui conquiert les indes, pour Sepúlveda, un papier, car il a besoin de prendre en note les arguments de son adversaire afin de les contredire de ce fait

oppose différents protagonistes: le Père Las Casas, un homme de religion et de terrain qui  a vécu en Amérique et qui défend la cause indienne; Sépulvéda, brillant docteur à  l’université qui vient légitimé les guerres colonial et leur cortège d’atrocité; enfin le Cardinal  Roncieri, (Légat du Pape). émissaire du Pape qui doit arbitrer ce face à face. L’extrait qui  nous intéresse propose une véritable joute verbale, Sépulvéda et Las Casas s’affronte. Le  premier soutient l’infériorité des indiens, tandis que le deuxième est révolté à cette idée

qu’il fallait réserver aux Indiens. Dans ce texte quatre hommes sont réunis, il y a auprès de son Supérieur de couvent, le frère dominicain Bartolomé de Las Casas (ancien évêque du Chiapas), Juan Ginès de Sépulvéda (historien et théologien), et le Légat du pape. CARRIERE imagine un dialogue entre ces quatre hommes qu’il publia sous la forme d’un roman en 1992. Ce texte est un dialogue délibératif qui appartient au registre polémique. Le roman est un débat portant essentiellement sur le thème suivant

idoles, on enlève leur enfant, force le jongleur à jongler, on fait venir des bouffons pour tester leur humour...: on observe chacune de leurs réactions. Pour finir le légat du Pape donne raison à Bartolomé de Las Casas. Il reconnaît au nom du Pape et de l'Eglise toute entière que les Indiens ont une âme. Néanmoins, le légat du pape est conscient des répercutions économiques de cette décision: les Indiens étaient des esclaves parfait, une main d'œuvre gratuite, mais dès lors que l'Eglise les reconnait

si la Bible dit que Dieu a créé l'homme à son image, elle n'a jamais accordé d'importance au sujet de la barbe, contrairement à l'idée que donne le tableau Sépulvéda ayant insisté sur le fait que les Indiens commettent des sacrifices humains, le légat lui-même retourne partiellement cet argument contre lui : les sacrifices rituels des Indiens ne sont des sacrifices humains que si les Indiens sont humains. Sépulvéda précise alors sa position : pour lui, les Indiens sont des humains, mais tout en

......................... gère les camps fixes installés sur les frontières. L’armée romaine est composée d’une trentaine de ..........................................................., réparties le long des frontières. Chacune est dirigée par un légat aidé de six tribuns. Une légion comporte environ 5 000 soldats entraînés et disciplinés. Chaque légion arbore un insigne en forme d’aigle. L’aquilifer est chargé de porter cet étendard sur lequel figurent les lauriers et emblèmes des victoires de la

jour : la pression exercée sur nos tarifs Réunion tenue le vendredi 10 janvier 2014 à 8 heures, au siège social, 8 rue Pierre Dupont, Lyon Présents : Mademoiselle Sofia BAROUK, Madame Caroline LESCURE, Mademoiselle Clémence MARIN, Monsieur Louis LEGAT, Madame Florentine WALK. Absents : Madame Carmen FERNANDEZ (excusée), Monsieur Antoine GERBIER (excusé). Sofia BAROUK nous a avertis de la perte du dossier INFOPLUS, qui rapportait un chiffre d’affaires annuel de 20 000 €. Monsieur HADI, directeur