Léguer

budget et de l’ostracisme -occuper des magistratures -voter lors des élections aux Comices (assemblées) -être élu magistrat Droits civiques -posséder un droit et le léguer -se marier avec une athénienne -avoir droit à un procès et ne pas être torturé -porter les trois noms et la toge -se marier avec une romaine -posséder et léguer un bien -avoir droit à un procès sans torture L’ecclésia est l’assemblée des citoyens, la Pnyx est la colline où se réunis l’ecclésia et l’Agora est la place publique

décisions politique. Les athéniens ont des droits politiques, ils doivent voter/tirer au sort, décider des lois, de la guerre, du budget et de l'ostracisme et occuper des magistratures. Ils ont aussi des droits civils, ils doivent posséder un bien et le léguer, se marier avec une athénienne et avoir droit à un procès et ne pas être torturé. Les devoirs du citoyen athénien et du citoyen romain sont identiques : en contrepartie des droits dont ils bénéficient, la cité leur a imposé des obligations afin

a dedication (in a book): une dédicace (dans un livre) dedication: dévouement, engagement among, amongst: parmi, entre a widow: une veuve a widower: un veuf to be widowed: devenir veuf/veuve to leave (a house) to (somebody in a will): léguer (une maison) à (qq'un par testament) beloved: bien-aimé to fill (in, out, up): remplir the warmth: la chaleur warm: chaud wine: un vin soccer (US): le football to proceed: continuer, poursuivre, avancer the proceeds (of a sale):

des magistratures. Mais aussi posséder un bien et le léguer à qui il veut. Il a le droit de se marier avec une athénienne. Et pour finir il a droit à un procès et ne pas être torturé. Le citoyen romain lui doit porter les 3 noms ( trio nomina ), il peut se marier avec une romaine en toute légalité, porter la toge ( vêtement des citoyens de la Rome antique ), être élus magistrat. Mais aussi comme le citoyen athénien, il peut voter, posséder et léguer un bien, avoir droit à un procès et ne pas être torturé

l’ostracisme, décider des lois et des guerres, occuper une magistrature, peuvent se marier avec une Athénienne, posséder des biens et les léguer, droit à un procès et à ne pas être torturé. Les droits des romains sont : porter les 3 noms (tria nomina), porter la toge, voter si ils versent une taxe, droit à un procès et à ne pas être torturé, posséder des biens et les léguer, être élu magistrat si on verse un impôt, se marier à une romaine. Le citoyen athénien dispose de droit civile important et d’un

jamais ressenti auparavant remuait en lui » (p. 64) 1.2 Germaine Guèvremont emploie une métaphore qui rend compte du sentiment de plénitude et de joie qui emplit Didace lorsqu’il prend possession du territoire de ses ancêtres, et fier de pouvoir léguer une terre à un fils. « Quand il avait pris possession de la terre ancestrale, […] un sentiment de durée, de plénitude […] [comme] la force tranquille de l’arbre qui, à chaque heure, à chaque instant, enfonce ses racines plus avant dans le sol »

ressenti auparavant remuait en lui » (p. 64) 1.2 Germaine Guèvremont emploie une métaphore qui rend compte du sentiment de plénitude et de joie qui emplit Didace lorsqu’il prend possession du territoire de ses ancêtres, et fier de pouvoir léguer une terre à un fils. « Quand il avait pris possession de la terre ancestrale, […] un sentiment de durée, de plénitude […] [comme] la force tranquille de l’arbre qui, à chaque heure, à chaque instant, enfonce ses racines plus avant dans le

constitution, il s’agirait de contourner l’obstacle qui consisterait, pour les dépositaires de l’autorité publique, de la modifier dans le but de se représenter autant de fois qu’ils le souhaitent ; d’en faire une présidence à vie ou encore, de léguer comme par voie d’héritage le pouvoir à un dauphin désigné. Toutefois, même si la constitution doit perdurer, elle ne saurait être immuable car elle doit être en perpétuelle évolution en vue de s’adapter aux nouvelles évolutions de la société.

important pour les personnages masculins du roman, de pouvoir léguer leur terre afin de continuer à faire valoir leur nom. « Amable se révélait de la même trempe molle. […] Amable-Didace, sixième du nom, ne serait jamais un vrai Beauchemin.» (p. 29) «Quand il ne sera plus là, l’homme qui fera valoir le nom des Beauchemin, Didace le cherche encore … » (p. 30). La fierté associée à son nom et à sa terre est si importante, qu’il ne désire pas la léguer à son fils, car il ne le croit pas digne d’assurer le

péninsule italienne, puis à tous les hommes libres de l’Empire, en 212, Rome brise la notion de vainqueurs et de vaincus. Tous les citoyens peuvent désormais profiter des avantages du statut de citoyen : voter, se marier, posséder des biens, pouvoir les léguer... Rome reste cependant une société d’exclus qui ne sont pas citoyens : Les étrangers, les esclaves, les affranchis et les femmes.