Leibniz Remarques Sur Descartes

celle du biologiste de se demander «qu’est-ce que la biologie ?». L’une et l’autre difficultés ne sauraient d’autre part se résoudre ni mathématiquement ni biologiquement, mais seulement philosophiquement. De même, «la physique en tant que physique, remarque Heidegger (1889-1976), ne peut rien dire au sujet de la physique »2. C’est déjà dire que la philosophie serait une discipline adressant aux autres et à elle-même la question fondamentale du «qu’est-ce que ?». Par-là entrevoyons-nous une marque distinctive

Philosophie de l’art - Diderot – Présentation artistique de Diderot, notamment la peinture. Mettre en évidence le contexte de la pensée. On range que la catégorie philosophique l’art. L’essentiel est d’avoir un rapport à l’art pour parler de philosophie de l’art. Introduction Il est né en 1713 et il meurt 1784 . Diderot, n’est pas essentiellement connu pour son intérêt de l’art, et de la peinture, c’est ce qui le singularise. Plus encore

devoir, Platon nhsite pas inventer toutes sortes de fables. Certaines de ces fables sont extrmement proches des dogmes de la religion chrtienne, si bien que lon peut voir en Platon un fondateur du christianisme au mme titre que Jsus. Hannah Arendt remarque par exemple que Platon est celui qui a invent lenfer comme instrument politique lenfer a t invent par Platon comme une menace dans lau-del, au terme dun jugement dernier, pour pousser les hommes tre justes ici-bas. Cest le sens du mythe dEr que

(1724-1804), l’Aufklärung invite l’homme « à sortir de sa minorité et à se servir avec courage de sa raison ». Pour autant, il n’existe pas de rupture complète entre « les Lumières » et l’Europe des XVIe et XVIIe siècles. Le Discours de la méthode de Descartes (1637), la découverte des lois mathématiques de la chute des corps puis de la gravitation universelle par Galilée et Newton, le Traité théologico-politique de Spinoza (1670), le Dictionnaire historique et critique (1697) de Pierre Bayle avaient ouvert

cellules des épithéliums sécrètent un mucus fluide chez un individu sain, alors qu'il est visqueux chez le sujet atteint de mucoviscidose). - Phénotype à l'échelle des molécules Dans le monde du vivant, il semble donc bien que Leibniz ait raison quand il invoque son principe de l'identité des indiscernables : "Il n'est pas possible qu'il y ait deux individus entièrement semblables, ou différents solo numero"[4]. Deux êtres vivants identiques ne feraient qu'un, ou en d'autres termes

faut-il entendre exactement par « souffrance » ? Nous en avons tous fait l’épreuve, de la même manière que nous avons tous désiré. En ce sens tout comme le désir, la souffrance est une donnée existentielle humaine incontournable. Bien sûr on pourrait remarquer que la souffrance connaît divers degrés, diverses causes ou raisons. Mais l’étude du phénomène même de la souffrance, nous permettra de repérer que souffrir nous amoindrit. Tout comme la douleur, elle est un sentiment de lésion, même si la douleur

de Freud. Sur Freud et ses influences Paul Ricœur le situe aux côtés de Karl Marx et de Friedrich Nietzsche comme l'un des trois grands « maîtres du soupçon »[2] , qui ont induit le doute dans la conception philosophique classique du sujet (Descartes, Kant, etc.). Outre les psychanalystes (fidèles à Freud comme Karl Abraham, Sandor Ferenczi, les innovateurs comme Melanie Klein, les dissidents comme Wilhelm Reich, etc.), son influence se fait aussi sentir sur l'épistémologie (Bachelard), l'ethnologie

débat sur « à quoi sert la biologie », « à quoi sert la géologie » ou même « à quoi sert l’histoire ». On essaye de faire de l’histoire, on essaye de faire de la géographie ; la philosophie, elle, se pose la question de sa propre utilité. Troisième remarque : À quoi sert la question « à quoi sert ? ». Pourquoi posons-nous toujours la question « à quoi sert quelque chose ? » comme si c’était la seule question qui donnait effectivement de la valeur ? Évidemment, on peut répondre que cela ne sert à rien

suivant : 1.- La philosophie grecque : Platon / Aristote 2.- La philosophie médiévale : Augustin / thomas D’Aquin ö 23 quEstions méthodologiquEs rElativEs à l’EnsEignEmEnt bilinguE En philosophiE Et éthiquE 3.- La philosophie moderne : Descartes / Kant 4.- La philosophie du xIx siècle : Marx / Nietzsche 5.- La philosophie du xx siècle : Wittgenstein / ortega Les objectifs à atteindre sont les suivants : 1.- Identifier les problèmes philosophiques qui se présentent dans les textes, les analyser

n’est pas là pour « violer son champ » comme dit Sophocle, cultiver un champ c’est faire en sorte que ce champ donne le meilleur de lui même d’après A .H, elle les oppose aux activités de simple subsistance, de travail. Elle a remarqué que Cicéron est le premier à remarquer que la culture est une activité de l’esprit (Tusculanes livre 2) «  un champ si fertile soit -il ne peut être productif sans culture et de même pour l’âme sans enseignement ». Donc cette cultura amini latine se veut la traduction