Léo Campion

1.1.1 Raison sociale J’ai effectué mon stage à la Maison Pour Tous – Centre Social Saint-Louis, qui se situe dans la cité Campagne Lévêque (Annexe 1). 1.1.2 Adresse et localisation a. Le Siège Etablissement Régional Léo Lagrange Animation 67, La Canebière, 13001 Marseille Tél : 04.91.14.22.33 Site Internet : www.leolagrangepaca.org Personne responsable : Mr Joël CONTIS Présidente : Marcelle GAY b. La structure d’accueil Maison Pour Tous – Campagne Lévêque

n’est pas le premier de la région, car c’est à Bayonne, dans les Pyrénées Atlantiques que s’est créé le premier INSUP en 1978. Au tout début de sa création, il est présidé par Monsieur Pierre Mauroy, celui-la même qui fonda la Fédération Nationale Léo Lagrange (voir Annexe I). D’ailleurs, le cœur de l’action de l’INSUP suivra le même message et continuera d’être un fil conducteur. Son évolution suit les variations de la crise économique et du chômage. Et il ne cessera d’évoluer dans le but d’améliorer

dire « bercent mon cœur », probablement pour rendre le texte plus consensuel. Georges Brassens, ayant repris la chanson de Trenet, y remettra la strophe originale. Ce choix fut aussi celui de Léo Ferré pour l'adaptation du même poème dans Verlaine et Rimbaud (cependant dans l'enregistrement public du DVD Léo Ferré chante les poètes, Ferré dit aussi « bercent » dans le premier couplet, et « blessent » dans sa reprise en fin de chanson).Cette citation est aussi utilisée au début d'une chanson du groupe

se souvenir (Chanson de Léo Ferré) Introduction : « Strophes pour se souvenir » est un poème de Louis Aragon (poète, romancier français né en 1897 et mort 1982), écrit en 1955 (publié dans “Le Roman inachevé”) en hommage aux 23 résistants du groupe Manouchian exécutés dans l’affaire de l’Affiche rouge. En 1959, Léo Ferré Ferré (auteur, compositeur, interprète français, né en 1916, mort en 1993) met en musique le poème ce poème. La chanson fut enregistrée sur l’album « Léo Ferré chante Aragon ».

dire « bercent mon cœur », probablement pour rendre le texte plus consensuel. Georges Brassens, ayant repris la chanson de Trenet, y remettra la strophe originale. Ce choix fut aussi celui de Léo Ferré pour l'adaptation du même poème dans Verlaine et Rimbaud (cependant dans l'enregistrement public du DVD Léo Ferré chante les poètes, Ferré dit aussi « bercent » dans le premier couplet, et « blessent » dans sa reprise en fin de chanson). Cette citation est aussi utilisée au début d'une chanson du groupe

Dans ces trois poèmes, les poètes non-seulement sont inspirés par la laideur mais vont meme la transfigurer en beauté. Laideur morale , celles des hommes, (avec leurs défauts, …. Leur petitesse, leur mesquinerie, Egalement grande source d’inspiration des poètes. L’albatros : Laideur des hommes (=moral) Laideur marin ( + laideur Albatros sur sol. L’exemple qui montre que laideur la plus extrême peut inspirer un poète = A une Charogne : Compare la femme a une

Une charogne En 1987, une artiste du nom de Jana Sterback créa une œuvre d’art controversée par l’opposition de la beauté et de la laideur, une robe faite entièrement de viande périssable. Charles Baudelaire, a réussi à produire lui aussi un produit artistique de qualité en utilisant l’adversité de la laideur et de la beauté dans Une charogne, poème symbolique écrit en 1856. La beauté et la laideur se côtoient dans Une charogne. De prime abord, l’opposition est présentée par la vue de la charogne

Une charogne, Les fleurs du mal, 1857 Rappelez-vous l'objet que nous vîmes,mon âme, Ce beau matin d'été si doux : Au détours d'un sentier une charogne infâme Sur un lit semé de cailloux Les jambes en l'air, comme une femme lubrique, Brûlante et suant les poisons Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique Son ventre plein d'exhalaisons. Le soleil rayonnait sur cette pourriture, Comme afin de le cuire a point, Et de rendre au centuple à la grande nature Tout ce qu'ensemble elle avait

La Charogne Quelle drôle de façon qu’a Baudelaire, ce poète symboliste, de rappeler à la femme qu’il aime des souvenirs. Dans une charogne, l’un des poèmes des Fleurs du mal, publié en 1857, on constate qu’en lui remémorant cette promenade, il efface la frontière entre la vie et la mort, lorsqu’il décrit la charogne et fait de même lorsqu’il décrit sa bien-aimée. Tout d’abord, l’auteur nous décrit l’état de la charogne, dans un procédé stylistique, utilisant la métaphore, « Et le ciel regardait

XXIX - Une Charogne Rappelez-vous l'objet que nous vîmes, mon âme, Ce beau matin d'été si doux: Au détour d'un sentier une charogne infâme Sur un lit semé de cailloux, Les jambes en l'air, comme une femme lubrique, Brûlante et suant les poisons, Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique Son ventre plein d'exhalaisons. Le soleil rayonnait sur cette pourriture, Comme afin de la cuire à point, Et de rendre au centuple à la grande Nature Tout ce qu'ensemble elle avait joint; Et