Les Animaux Autant Que Lon Peut Deviner Alain

on ne peut prendre qu’une liberté surveillée avec la langue. Josée Martin, des Éditions Thémis, a assumé son rôle d’éditeur avec efficacité. Ejan Mackaay octobre 2000 Introduction « […] l’on ne trouvera ici aucun fait inédit, aucune connaissance que l’on ne puisse piquer dans n’importe quel livre d’histoire. Ma seule ambition a été de traiter ces faits sous un éclairage nouveau. » ____________________________________________ (Baechler 1971, 9-10) Sommaire A. La loi peut-elle tout

pour lui et non pour nous, et aussi être, dans la mesure de son pouvoir, enclin à ces bienfaits. Est notre ami celui qui nous aime, et que nous aimons en retour. (1380b et 1381a, 3-4) Haine (…) pour la haine et son procès, il est évident qu’on peut en tirer la théorie des contraires de l’amitié. Les facteurs de la haine sont la colère, la vexation, la calomnie. (1382a, 4) Crainte (…) la crainte est une peine ou un trouble consécutifs à l’imagination d’un mal à venir pouvant causer destruction

du Programme d’aide au développement de l’industrie de l’édition (PADIÉ) pour nos activités d’édition. Révision linguistique : MONELLE GÉLINAS Mise en pages : INFO 1000 MOTS INC. Couverture : Conception graphique : RICHARD HODGSON Photographie : ALAIN VÉZINA 1 2 3 4 5 6 7 8 9 PUQ 2004 9 8 7 6 5 4 3 2 1 Tous droits de reproduction, de traduction et d’adaptation réservés © 2004 Presses de l’Université du Québec Dépôt légal – 3e trimestre 2004 Bibliothèque nationale du Québec / Bibliothèque nationale

gave his name to collections of fables – the Isopet – he was not read but survived through his disciple, Phaedrus. Marie de France drew on a Latin compilation, the Romulus anglo-latin, for her 103 lively, pointed fables (c.1170). Exempla which used animals to illustrate human truths remained popular, and Reynard the Fox acquired a unique following. The sprawling Roman de Renard was as popular and enduring as the Roman de Tristan or the Roman de la Rose, and his fame was such that the standard word for

de répétitions systématiques et de voix de femmes étant banale et récurrente en matière musicale et ce bien antérieurement à la création de la mélodie « A Deux » de sorte qu'ils appartiennent au fond commun de la création musicale dont M. Boyer ne peut prétendre s'attribuer le monopole. Plus subsidiairement, elle estime que le préjudice prétendu est disproportionné. En toutes hypothèses, elle demande de lui allouer la somme de 5.000EUR au titre de ses frais irrépétibles et la condamnation du demandeur