Les Animaux fantastiques

trionfe, le mal est puni La légende est liée à un lieu concret, il y a aussi la précision de temps Elle transmet un savoir Les légendes sont considérées comme vraies LES CONTES Les personnages – les humains, les êtres surnaturels, les animaux La forme – la prose, mais il y a des formules rimées La fonction – transmettre une leçon morale, mais c’est surtout le divertissement La nature des événements – les histoires fictives présentées dès le début comme telles LES ANEGDOTES

« Le Hora » peut-on dire qu’il s’agit d’une œuvre fantastique ? Le récit du Horla correspond au schéma du genre fantastique, puisqu’un être invisible envahit le personnage matériellement et intellectuellement. Le nom « Horla » suggère en lui-même cet être à la fois intérieur et extérieur, présent et absent. En outre, le personnage comme le lecteur hésite entre une attitude rationnelle et une attitude irrationnelle à l’égard du phénomène fantastique le Hora semblant être produit par l’esprit du narrateur

Une analyse plus précise des images nous permet de reconnaître une structuration du texte en deux parties presque de la même longueur (vers 1-18 et 19-42): la première partie consiste en une juxtaposition d’images tirées du champ lexical des animaux de proie ou, en tout cas, d’animaux associés à la mort; dans la deuxième partie la chute dans le monde des spectres et des morts vivants conduit à la métamorphose infernale, culminant dans l’apparition du corbeau et du pendu. Si, d’une manière

toutes les époques. En effet elle met en avant des comportements humains qu'elle critique. Elle critique également la société d'Ancien Régime mais sous forme de personnification afin d’éviter la censure. La fable est donc un récit fantaisiste ( animaux qui parlent ) mais qui a un sens plus profond = leçon de vie, modèle, exemple à méditer. Comme le Conte, la fable n'est pas réservée aux jeunes lecteurs. Du côté de l'imaginaire: 2ème interrogation: Comment l'imaginaire joue-t-il avec les moyens

MA CRITIQUE LITTERAIRE La carte d’identité de l’œuvre Titre : la prophétie des grenouilles Auteur : Jacques-Rémy Girerd Date de la première publication : août 2014 Illustrateur : Youri Tcherenkov Editeur : livre de poche jeunesse Genre : Roman d’aventure Thème(s) : la tolérance, la famille, l’amitié, la solidarité, l’amour, l'écologie, le climat et les catastrophes naturelles… Date du jour du début de lecture : 8 octobre 2020 Mon résumé Tom et Lili Tom vit heureux avec ses parents

l’enfermement. Cf la métamorphose de la terre en cachot. => description fantastique Et “terre” + “humide” = boue. De plus, champ lexical de l’obscurité “cachot”, “chauve-souris” (animal nocturne) contribue à représenter les circonstances extérieures qui suscitent le spleen. Dans ce décor hostile, allégorie de l’Espérance comparée à une chauve-souris

reflète-il le regard singulier de l’auteur sur les grandes villes ? ». Nous démontrons cette problématique par deux aspects des grandes villes : d’une part une ville mécanique et fantastique et d’autres part une ville déshumanisée. Il existe des villes où les machines ont surpassé l’Homme et qui laisse une place au fantastique. Cette ville est mécanique, il n’y a plus que des machines : On peut constater un univers mécanique et des machines omniprésentes par le fait d’employer un champ lexical de

sur Edgar Allan Poe Établir le schéma narratif du ''chat noir'' 4 étapes : 1ère étape : la situation initiale L'histoire commence avec un bref résumé de l'enfance du narrateur, de la rencontre avec sa femme, du goût du narrateur pour les animaux domestiques dont un chat noir nommé Pluton. 2ème étape : Élément perturbateur : L'élément qui déclenche l'action est l'alcool :''une nuit le narrateur rentre d'une sortie très arrosée dans un de ses bars préférés, son chat Pluton effrayé de

certain auteurs comme George Orwell, décrivent la société avec des personnifications pour faire mieux passer leurs idées. Dans La ferme des animaux de G. Orwell, il utilise des animaux pour pouvoir critiquer le gouvernement de Staline en prenant le chef des animaux (un cochon) comme Staline et les autres animaux comme le peuple qui doit subir plus les animaux que les humains. Grace à des auteurs engagés, la littérature a permit de rendre l’homme meilleur. Certain auteurs comme Jean de

poèmes ou des récits d’une dizaine de pages tout aussi fantaisistes qui se nourrissent soit de voyages dans l’espace soit de voyage dans l’imaginaire et le délire intérieur du poète : un malade nous confie ses hallucinations montrant des animaux fantastiques, un animal mystérieux mange les serrures. Dans le genre humour noir, un robinet se transforme en cristaux tranchant les bras… Beaucoup d’absurde et de fantaisie dans ce recueil mais moins de cruauté et d’invention langagière que dans ailleurs qui