Les Animaux Malades De La Peste Plaire Et Instruire

l’Optimisme, le fanatisme et la superstition. L’ironie peut donc avoir une visée et de persuasion, et de conviction. La présence d’une morale peut aussi éclairer l’argumentation cachée dans la fable, et ainsi asseoir la thèse. Dans « les animaux malades de la peste » issue des Fables de La Fontaine, la morale « Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir » présente un parallélisme et un présent de vérité générale qui montre que cette morale amère et

poursuivent la même finalité. (2 points) Les textes du corpus s’inscrivent dans des genres variés : ceux de La Fontaine et de Prévert sont des poèmes, comme l’atteste dès le premier coup d’œil la disposition en vers. L’un est une fable classique, avec des animaux mis en scène et une morale finale, l’autre s’apparente davantage au conte, des personnages typés évoluant dans un monde irréel et exotique. En revanche, les textes C et D sont eux des extraits de romans, un long monologue pour celui de Camus, une

Passivite du peuple b) Consequences c) Appel a la revolte LA3 : Jean de La Fontaine , Fables , la fable "Les animaux malades de la peste" Contexte : XVII e s. Classicismr+retour a l'antiquite Introduction au texte : Ecrit a l'attention du Dauphin de la couronne Inspire d'Esope et de Phedre Ibn al Muqafa'a→Bidpai La fable a deux fonction: →Plaire ,seduire →Instruire Souvent mal comprises Plan : I) Un recit plaisant et habilement mene a) Un preambule qui rappelle les recits

SEQUENCE 1 Plaire pour instruire : l ‘ Apologue Objet d’étude : Convaincre, persuader, délibérer 1. - Le Loup et l’Agneau Jean de la Fontaine (1621 – 1695) Livre I – Fable 10 2. – Les animaux malades de la peste Jean de la Fontaine (1621 – 1695) Livre VII – Fable 1 3. – La cour du Lion Jean de la Fontaine (1621 – 1695) Livre VII – Fable 7 4. – Les obsèques de la Lionne

intégrale : La Fontaine, Fables) Commentaire Les animaux malades de la peste Introduction : Cette fable est l’amorce du deuxième recueil. La Fontaine s’est inspiré d’Esope et de Pilpay (fabuliste oriental). Thème de la fable : mal fréquent, sujet grave, évocation du monde de la Cour à travers les animaux. I. Un récit à caractère théâtral, à multiples rebondissements 1. Une exposition longue * Un « tableau » des ravages de la Peste, statique. Situation → usage de l’imparfait (nombreux

fable en tant que genre, càd la tradition au moment où il s’empare du genre I – L’héritage du passé A - Des origines antiques La tradition veut qu’Esope, grec du 6ème s. en soit l’inventeur. Brefs récits qui mettent en scène des animaux (leurs vertus et défauts = transposition des comportements humains). Une leçon dégage la significat° morale. Ms la morale d’Esope est différente de celle d’un moralisateur : il se fait observateur des relations entre les hommes. Schéma de la fable

genre, càd la tradition au moment où il s’empare du genre I – L’héritage du passé A - Des origines antiques La tradition veut qu’Esope, grec du 6ème s. en soit l’inventeur. ➢ Brefs récits qui mettent en scène des animaux (leurs vertus et défauts = transposition des comportements humains). Une leçon dégage la significat° morale. Ms la morale d’Esope est différente de celle d’un moralisateur : il se fait observateur des relations entre les hommes. ➢ Schéma de la

l’esthétique de La Fontaine est une esthétique de la diversité, dont la diversité de ses sujets. Analyser les rapports à la philosophie cartésienne et à la sagesse épicurienne. Réfléchir aussi à la pensée de La Fontaine sur les animaux et la science. des Fables » 1., pp. 211-214 sur le rapport à la science et à la philosophie. On pourrait aussi s’intéresser à la question de grammaire, p. 234. suivante : préparer l’exercice d’appropriation 1., p. 248 « Dire

eut ruminé tout le cas en sa tête,Il dit que du labeur des ansPour nous seuls il portait les soins les plus pesants,Parcourant sans cesser ce long cercle de peinesQui, revenant sur soi, ramenait dans nos plainesCe que Cérès nous donne, et vend aux animaux ;Que cette suite de travauxPour récompense avait, de tous tant que nous sommes,Force coups, peu de gré ; puis, quand il était vieux,On croyait l'honorer chaque fois que les hommesAchetaient de son sang l'indulgence des Dieux.Ainsi parla le Boeuf.

soumission à un roi... Les descriptions sont hyperboliques, mettant en valeur la satire, comme le montre la gradation aux lignes 1 et 2 : « les jeunes gens [sont] au contraire durs, féroces, sans mœurs ni politesse. ». Le but des courtisans est de « plaire », de séduire, d’attirer l’attention au prix d’ « artifices » et d’hypocrisie. Comme leurs mœurs, leur relation avec Dieu n’est pas « nette », comme le suggèrent les rites stéréotypés des hommes à l’Eglise. Les termes suggérant l’apparence sont récurrents :