Les Belles Soeurs

de la maison: c'était elle qui nettoyait la vaisselle et les montées, qui frottait la chambre de madame, et celles de mesdemoiselles ses filles. Elle couchait tout en haut de la maison, dans un grenier, sur une méchante paillasse, pendant que ses soeurs étaient dans des chambres parquetées, où elles avaient des lits des plus à la mode, et des miroirs où elles se voyaient depuis les pieds jusqu'à la tête. La pauvre fille souffrait tout avec patience, et n'osait s'en plaindre à son père qui l'aurait

Bonjour, Nous allons vous parler des sœurs Gorgones. Dans un premier temps, je vais vous décrire brièvement l’arbre généalogique de la première génération des divinités grecques. Les grands parents des sœurs Gorgones sont les dieux des flots. Deux de leurs enfants (Phorcys et Céto) sont les parents des 3 filles. Céto est la mère des cétacés (des baleines). Son prénom signifie monstre aquatique. Ce couple a en tout 6 enfants. Les aînées sont les trois sœurs Grées (Enyo, Dino et Péphrédo). Leurs

de la Maison: c'était elle qui nettoyait la vaisselle et les montées, qui frottait la chambre de Madame, et celles de Mesdemoiselles ses filles ; elle couchait tout au haut de la maison, dans un grenier, sur une méchante paillasse, pendant que ses soeurs étaient dans des chambres parquetées, où elles avaient des lits des plus à la mode, et des miroirs où elles se voyaient depuis les pieds jusqu'à la tête. La pauvre rifle souffrait tout avec patience, et n'osait s'en plaindre à son père qui l'aurait

fait leur mère. Nous pouvons donc constater que toutes les femmes qui ont du pouvoir dans ce conte sont méchantes et pour les deux soeurs, laides. En effet, Cendrillon est «cent fois plus belle que ses sœurs» (p.46) bien que, contrairement à ses belles-sœurs, elle ne possède pas de beaux habits ni d’autres accessoires. Sa beauté a pour effet de rendre les deux demi-sœurs encore plus laides, ce qui pourrait expliquer le comportement de la belle mère. Cendrillon est présentée comme la femme idéale du

Perrault, les belles-soeurs sont pardonnées par l'héroïne, alors que dans la version des frères Grimm, elles sont doublement punies ; il y a d'une part le fruit de leur mutilation devant leur permettre de chausser la pantoufle (dans une version écossaise intitulée Rashin Coatie, la belle-mère mutile elle-même ses filles) et d'autre part le fait qu'elles finissent aveugles. Encore les frères Grimm sont modérés par rapport à la première version allemande, dans laquelle les belles-soeurs sont condamnées

de la maison: c'était elle qui nettoyait la vaisselle et les montées, qui frottait la chambre de madame, et celles de mesdemoiselles ses filles. Elle couchait tout en haut de la maison, dans un grenier, sur une méchante paillasse, pendant que ses sœurs étaient dans des chambres parquetées, où elles avaient des lits des plus à la mode, et des miroirs où elles se voyaient depuis les pieds jusqu'à la tête. La pauvre fille souffrait tout avec patience, et n'osait s'en plaindre à son père qui l'aurait

Le sakhanaha, de sakhé : mère et naha : aide, cadeau utile, et le habanaha {haba : père) consistent en une somme de l'ordre de 1 000 à 4 000 ouguiyas offerte aux « mères » et aux « pères » de la fiancée, donc à ses père et mère et à leurs frères et sœurs classificatoires. Le woroungoullo, dont la traduction littérale serait « les pierres de la nuit », « les pierres nocturnes », intervient chronologiquement après le cadeau aux « pères » et aux « mères ». Il s'agit d'un bœuf, ou de sa valeur en argent

Sanctions juridiques et religieuses: - Art 161 et ss - Religion: ▪ Islam : «  Il vous interdit vos mères, vos filles, vos sœurs, vos tantes, vos nièces, vos mères de lait, vos sœurs de lit, vos belles-mères, vos belles-filles placées sous votre tutelle, nées des femmes avec qui vous avez consommé le mariage, les épouses de vos fils, et vos belles- sœurs ». ▪ Bible: « Nul de vous ne s'approchera de sa parente, pour découvrir sa nudité. Nul ne prendra femme, la femme de son père et

ORIGINES Amour et Psyché L'une des versions les plus anciennes de La Belle et la Bête est sans doute celle d'Apulée, Amour et Psyché, qui date du IIième siècle. Tout comme la version de Mme Leprince de Beaumont, Psyché est belle, tout comme ses sœurs, à tel point que les hommes lui vouent un culte d'adoration. Cette beauté et cette adoration réservée aux Dieux rend jalouse la déesse Venus. Pour se venger, elle demande à son fils Cupidon de faire tomber Psyché amoureuse du plus misérable des hommes

de la maison : c'était elle qui nettoyait la vaisselle et les montées, qui frottait la chambre de madame, et celles de mesdemoiselles ses filles ; elle couchait tout au haut de la maison, dans un grenier, sur une méchante paillasse, pendant que ses sœurs étaient dans des chambres parquetées, où elles avaient des lits des plus à la mode, et des miroirs où elles se voyaient depuis les pieds jusqu'à la tête. La pauvre fille souffrait tout avec patience, et n'osait s'en plaindre à son père qui l'aurait