Les Bois noirs

terrains de chasse, ils ont incendié les bois intangibles » comparaison évoquant la destruction des bois sacrés * V2 : « elle a jeté la bave et les abois de ses molosses sur mes terres » Les Africains ont été traqués comme des animaux  Ces figures de style mettent l’accent sur la brutalité de l’entreprise et l’ampleur des dégâts matériels : L’objectif est d’exploiter abusivement les richesses naturelles de l’Afrique. 2. La chasse et la déportation des noirs * V13 : « …qui ont donné la chasse

nos dabs. Cet arbre, notre arbre, le tout-puissant baobab (Allmighty tree) qui nous a conçu nous, NOIRS, non pas arabes, non pas toubabs, conserve pure la sève du continent qu’on dit incontinent et qu’un con dirait:”Inconsistant” en insistant et persistant ,comme le voudrait la langue de bois, à nous faire croire en nos soit-disants ancêtres les gaulois. Moi, je fais flêche et feu de tout bois des feuilles, des fleurs, des fruits et de l’écorce de mon arbre , le tout puissant baobab qui

qui rappelle le bruit des vagues. Je pense à d'autres soirs enfin, doux et rapides à vous serrer le cœur, qui empourprent les vastes pelouses de Central Park, à hauteur de Harlem(1). Des nuées de négrillons s'y renvoient une balle avec une batte de bois, au milieu de cris joyeux, pendant que de vieux Américains, en chemise à carreaux, affalés sur des bancs, sucent avec un reste d'énergie des glaces moulées dans du carton pasteurisé, des écureuils à leurs pieds fouissant la terre à la recherche de

(artiste contemporaine 1958 - ) Titre : Tango – Mai 2013 Dimensions : 100*100 Forme : / Localisation : l'Atelier-Galerie BB de Rustrel en Luberon (84) Genre : figuratif  Nature : tableau Technique : peinture acrylique sur bois Matériaux utilisés : acrylique, bois Analyse du tableau : Ce tableau représente un couple de danseurs de tango d’origine hispanique. La femme est vêtue d’une robe rouge écarlate, longue, qui descend mi-mollet et qui a des volants plissés. C’est une robe très

petits airs penchés ou de grands airs coquets, Et, familièrement, car cela sied aux belles : « Tiens ! c’est notre amoureux qui passe ! » disent-elles. Et, pleins de jour et d’ombre et de confuses voix, Les grands arbres profonds qui vivent dans les bois, Tous ces vieillards, les ifs, les tilleuls, les érables, Les saules tout ridés, les chênes vénérables, L’orme au branchage noir, de mousse appesanti, Comme les ulémas quand paraît le muphti, Lui font de grands saluts et courbent jusqu’à terre

petits airs penchés ou de grands airs coquets, Et, familièrement, car cela sied aux belles : « Tiens ! c’est notre amoureux qui passe ! » disent-elles. Et, pleins de jour et d’ombre et de confuses voix, Les grands arbres profonds qui vivent dans les bois, Tous ces vieillards, les ifs, les tilleuls, les érables, Les saules tout ridés, les chênes vénérables, L’orme au branchage noir, de mousse appesanti, Comme les ulémas quand paraît le muphti, Lui font de grands saluts et courbent jusqu’à terre Leurs

Price venait de jeter Nana au poteau, battant Spirit d'une longueur de tête. Ce fut comme la clameur montant d'une marée. Nana! Nana! Nana! Le cri roulait, grandissait, avec une violence de tempête, emplissant peu à peu l'horizon, des profondeurs du Bois au mont Valérien, des prairies de Longchamp à la plaine de Boulogne. Sur la pelouse, un enthousiasme fou s'était déclaré. Vive Nana! vive la France! à bas l'Angleterre! Les femmes brandissaient leurs ombrelles ; des hommes sautaient, tournaient, en

Universal Negro Improvement Association (Amélioration du sort des noirs, indépendance Africaine et retour des noirs en Afrique.) Marcus Garvey, leader noir très populaire a déclaré « Tournez vous vers l'Afrique pour le couronnement d'un roi noir », les Rastas se sont tournés vers Hailé Sélassié

musc et de havane, Oeuvre de quelque obi, le Faust de la savane, Sorcière au flanc d'ébène, enfant des noirs minuits, Je préfère au constance, à l'opium, au nuits, L'élixir de ta bouche où l'amour se pavane; Quand vers toi mes désirs partent en caravane, Tes yeux sont la citerne où boivent mes ennuis. Par ces deux grands yeux noirs, soupiraux de ton âme, O démon sans pitié! verse-moi moins de flamme; Je ne suis pas le Styx pour t'embrasser

LES BOUTS DE BOIS DE DIEU (1960) DE SEMBÈNE OUSMANE Les bouts de bois de Dieu est un roman de Sembène Ousmane, publié pour la 1° fois en 1960. Les bouts de bois de Dieu est une oeuvre autrement complexe, dense, profonde, poétique, une oeuvre plus travaillée dans presque tous ses détails. L'histoire se base sur des faits authentiques. Nous sommes au tournant des années 50 et les travailleurs africains de la compagnie ferroviaire Dakar-Niger sont en pleine revendication. Ils exigent les mêmes avantages