Les Caractéristiques De La Nouvelle Economie Keynésienne

devrait-il intervenir dans l’économie ? Les mécanismes de marché : quels sont-ils ? Mettre en évidence les oppositions théoriques Apprécier les conditions d’efficacité de l’intervention de l’état (politique budgétaire et monétaire) en économie fermée et en économie ouverte Décrire certaines actions structurelles de l’intervention publique (en TD) Quelles sont les raisons pour l’intervention de l’état dans l’économie ? Quelles sont les conditions d’efficacité de l’intervention de l’état : dans quels

Surveillé et accompagné. • économie planifiée = intérêt collectif domine intérêt individuel. « L’union fait la force ». Individu = égoïste = rien. L’Etat : omniprésent, omnipotent, il peut « broyer » l’individu. Années 80-90 : à droite du libéralisme. URSS : 1917→milieu années 90 : individu pris en charge par la collectivité. La crise économique actuelle pousse vers + d’interventionnisme. ( le contenu de la stratégie On retrouve dans toutes les économies actuelles 3 grands domaines :

que leur modèle est une simplification de la réalité. Mais dans le modèle néoclassique, l’agent économique est rationnelle dans le domaine du travail, maximise son utilité tant que l’utilité marginale du travail ne dépasse pas sa désutilité. Les Keynésiens ont montré que nous sommes en situation d’incertitude absolue, ils n’anticipent pas tout rationnellement. Dans modèle libéral ils font des anticipations rationnelles mais chez keynes ils sont victimes de l’usure. Théorie de la classe de loisir

l’augmentation de la masse monétaire sur le volume d’activité. *Toute augmentation de la Masse monétaire en absence d’une augmentation de la production se traduit par une hausse du niveau général des prix c.à.d. l’inflation. La demande de monnaie chez les Keynésiens: Keynes a introduit trois motifs de détention de la monnaie, son apport consistait à montrer que la monnaie n’est pas neutre.  Motif de transaction.  Motif de précaution : qui résulte de la prise en compte de l’éventualité d’événements nécessitant

simples et encore moins simplistes. L'économie mondiale a connu une profonde mutation avec la fin de deux grands modèles économiques: l'économie planifiée et le fordisme. Une nouvelle géographie se dessine aussi avec l'émergence de l'Aire Pacifique pendant que le vieux continent stagne dans la crise. Les pays développés à économie libérale (États-Unis, Europe occidentale, Japon), c'est-à-dire régie par les lois du marché (offre et demande), sont entrés progressivement en crise au début des années 1970

théories de la crise selon les différentes écoles 25 1. L'école classique 25 2. Les néoclassiques 25 3. L'analyse de Marx 25 4. Les théories keynésiennes 26 A) Les apports fondamentaux 26 B) L'analyse keynésienne de la crise 27 Conclusions 28 Bibliographie 29 Index des idées économiques 30 Annexes 32 1. Le circuit néoclassique 32 2. Le circuit keynésien 33 INTRODUCTION Le cours d’analyse socio-économique de la société contemporaine propose, à mon sens, une exploration d’idées économiques

auteurs classiques, où est la source de la valeur ? Les classiques auront une réponse commune. Dans son ouvrage la richesse des nations, quels sont chez A. Smith les moyens de l'enrichissement? Le premier c'est la division du travail, notion nouvelle. Le deuxième ce sera de laisser la liberté de s'enrichir, c'est le mécanisme du marché ou la main invisible. Le troisième moyen c'est de se procurer les biens dont on a besoin au meilleur prix qui va avec le principe de la concurrence et avec

Monnaie insignifiante 3 a. Origine de la théorie quantitative de la monnaie 3 b. La théorie quantitative d’Irving Fisher 4 c. L’analyse de l’école de Cambridge 5 II. L’ANALYSE KEYNESIENNE : Monnaie active 6 1. Le motif de transaction 6 2. Le motif de précaution 6 3. Le motif de spéculation 7 III. REACTIONS AUX ANALYSES KEYNESIENNES 9 A. L’ANALYSE DES MONETARISTES 9 B. LES NOUVEAUX CLASSIQUES 12 1) Les hypothèses des nouveaux classiques 12 2) La politique monétaire des nouveaux classiques 14 C. L’ECONOMIE

inévitables précurseurs, l'affaire commença dans les années 1870, quand trois économistes mirent, indépendamment et presque simultanément, un nouveau concept au cœur de leurs analyses, l'utilité marginale. D'où le nom de " marginalisme " donné à cette nouvelle façon de procéder. Les pères fondateurs étaient un Anglais, Jevons, un Autrichien, Menger et un Français, Walras. Bien entendu, ces trois auteurs avaient moins de points communs que nous ne le suggérons. L'Anglais était le plus professionnel, l'Autrichien

consommation keynésienne, il développa la théorie du revenu permanent. Avec cette théorie et l’introduction du taux de chômage naturel, Friedman remet en cause le bien-fondé des politiques de relance qui ne peuvent que provoquer de l’inflation contre laquelle il faut lutter. À cette fin, il proposa l’instauration d’un taux constant de croissance de la masse monétaire. La théorie du revenu permanent est une théorie de Milton Friedman, élaborée en 1957, période où la doctrine keynésienne est dominante