Les Champs Lexical De La Tempete

comme < le mois des tempêtes, vents, nuages, réchauffer ses mains, feux, une feuille séchée, souffle du nord > donc ces mots rentre dans le champ lexical de l’automne et montrent a quel point le narrateur prêtait attention a la nature et la saison de l’automne qui régnait pour qu’il puisse oublier son propre malheur. Dans la même voie qui est son lien avec la nature, l’auteur a vanté la beauté de cette dernière en employant plusieurs expression qui font partie du champ lexical de la beauté du paysage

nous ronge le cœur Du sang que nous perdons croît et se fortifie! — Charles Baudelaire Des champ 1. Deux champs lexicaux dominent dans les trois premières strophes : - le champ lexical du climat : « ténébreux orage ; tonnerre ; pluie ; brillants soleils », - le champ lexical du jardin : « jardin ; fruits ; pelle ; râteaux ; terres ; fleurs ; sol ». Et c’est en utilisant ces deux champs lexicaux que Baudelaire va construire une métaphore filée sur les saisons et le climat qui va occuper les

moindre vent qui d’aventure 5 Fait rider la face de l’eau 6 Vous oblige à baisser la tête : 7 Cependant que mon front, au Caucase pareil, 8 Non content d’arrêter les rayons du Soleil, 9 Brave l’effort de la tempête. 10 Tout vous est Aquilon[1], tout me semble Zéphyr[2]. 11 Encore si vous naissiez à l’abri du feuillage 12 Dont je couvre le voisinage, 13 Vous n’auriez pas tant à souffrir : 14 Je vous défendrais de l’orage

V. Hugo, Les misérables, « Tempête sous un crâne » Au XIXe siècle, le roman se fait l’écho des grandes mutations industrielles et de leurs conséquences sur la société : le renforcement des inégalités sociales et les conditions de vie désastreuses des ouvriers. V. Hugo, choqué par tant de misère, s’empresse d’écrire plusieurs œuvres dont la principale est Les Misérables, publiée en 1862 et qui remporte un grand succès auprès du peuple. Alors que le héros a gravi les échelons de la société pour

hommes en porceaux le héros atteint un statut légendaire : il est doué d’une grande force physique, cf Achille qui est invincible sauf au talon, il a peu de défaut et a une grande force psychologique cf / Ulysse qui ne perd pas espoir malgré les tempêtes que Poséidon fait pleuvoir sur lui la morale épique : l’épopée exalte un idéal collectif, elle répand des valeurs culturelles collectives cf / chez les Grecs la bravoure au combat, l’ingéniosité des grecs cf : Ulysse qui invente la ruse du cheval

Puis, ce fut l’emportement de l’amour qui veut être assouvi (2). Elle dansa [comme les prêtresses des Indes, comme les Nubiennes des Cataractes, comme les Bacchantes de Lydie (3)]. Elle se renversait de tous les côtés, pareille à une fleur que la tempête agite. Les brillants de ses oreilles sautaient, l’étoffe de son dos chatoyait ; de ses bras, de ses pieds, de ses vêtements jaillissaient d’invisibles étincelles qui enflammaient les hommes. Une harpe chanta; la multitude y répondit par des acclamations

Comment, par le biais de l’anecdote, Baudelaire rend-il sensible la souffrance de l’oiseau maltraité par les Hommes de manière à en faire le symbole de la condition du poète ? I. Une anecdote vécue a) Le contexte du voyage en mer Champ lexical des avirons englobe l’environnement maritime, la configuration du navire, les marins et les animaux. Situation de vie en mer vécue par Baudelaire par désœuvrement que les marins capturent des albatros pour s’en amuser. * Albatros animal mal

de fuir le «mal de vivre». D’abord, on peut voir que dans l'extrait, le héros utilise la nature comme un reflet de ses sentiments. On remarque que lanature démontre la désolation qui correspond avec le chagrin intense de René. En effet, le champ lexical de la nature telle que les mots « désert » (l. 5), «automne » (l. 6), « feuille séchée » (l.12), « cime dépouillée » (l. 13), « mousse qui tremblait » (l. 13), « roche écartée » (l. 14), « étang désert » (l. 14), « jonc flétri » (l. 14)et « pluie

dans une seconde partie, la mise en abyme des sentiments du poète par cette description ;et enfin, dans une dernière partie, la place de l’homme dans le monde qui apparaît clairement dans ce sonnet... L’auteur décrit ce paysage à l’aide d’un champs lexical d’éléments marins comme « Océan » (v.2), « vagues » (v.6), « clapotis » (v.3), « îlot » (v.3) qui note la présence de l’eau dans ce paysage .on peut en déduire que l’auteur ce trouve à proximité de l’océan, seul. De plus il le décrit avec une

rimes, les rythmes, même s’ils sont effectivement constitutifs de la poésie, pour expliquer le texte. Ce sont des éléments d’analyse qui doivent conforter un propos que vous avez déjà émis, une fois que vous aurez établi, par exemple, les réseaux lexicaux qui traversent le texte à condition qu’ils fassent sens, sinon, un seul relevé ne suffit pas non plus. Il en est de même pour les métaphores et les comparaisons : le relevé en soi n’a pas d’intérêt, sauf si vous le mettez en regard de rapprochement