Les Champs Lexicaux De La Peau

tout autre niveau. Une situation similaire est présente à Kigali qui venait d’être libéré par le FPR. Les mots qu’elle utilise pour décrire leurs situations respectives sont tous négatifs : « beau bordel » et « dépotoir d’humains ». De plus, le champ lexical sur l’enfer ressenti illustré par les expressions : « c’est l’asphyxie totale » et « plus un bout de trottoir disponible » est tout aussi représentatif du chaos. D’ailleurs, le fait qu’il y ait un discours direct de Yvonne à Michel dans l’extrait :

« retrouvé sa peau tachée, ses oreilles…. ». Daniel lui éprouve une plus grande réticence à partir, on le ressent avec la 1er phrase du texte, « Daniel songeait », et le champ lexical de la réflexion (l.14 songeait, l.15 réfléchi, l.25 septique…), il a une chose qui a changé envers Jacques et lui, on le voit avec les 2 verbes « isolé et troublé » p.92 l.2 et 4. La peur On découvre quelques malaises au fait de partir, surtout de la part de Daniel, on le voit avec les champs lexicaux, du danger

adolescents A) Une expérience de la démence / folie -La mention de “ces désirs qui lui tordaient les membres et le cerveau” rappelle bien que le personnage se bat avec ces émotions et ces désirs nouveaux et inédits qui surgissent à l’adolescence. -champ lexical de la folie : “folie” “démentes” “crise” “angoisse”... -Plusieurs comparaisons qui opèrent une réification (transformation en chose) du personnage

TOPOS RENCONTRE AMOUREUSE : champs lexical du regard ; manifestation physique du trouble amoureux ; portrait physique mélioratif ; 1er échange souvent une banalité. COMME UNE APPARITION, GUSTAVE FLAUBERT. Un premier paragraphe où se passe plein de choses, du monde autour de lui, chacun occupé à ses affaires. APPARITION Mise en scène du regard : « comme une apparition », «éblouissement que lui envoyèrent ses yeux », « il la regarda », il la contemplait, il la décrit complètement. Portrait

c’est un usage rare, ça conduit au lecteur á pénétrer dans le monde du personnage. On peut ajouter que ces extraits de romans conduisent au lecteur à pénétrer dans les sentiments des personnages grâce aux champs lexicaux utilisés par les auteurs. La Nouvelle Héloïse, par exemple, a un champ lexical de l’amour très marqué (lignes 7-8 : Je gémis…dans la douleur). Ce texte a un registre entre lyrique et pathétique qui se reflète á travers la souffrance amoureuse et, presque, la menace de suicide. On pourrait

verbes de mouvement rythment l’évocation de la femme le poète utilise la métaphore de l’eau qui permet d’insuffler ce mouvement régulier et doux, champs lexical de l’eau : miroiter, mer, flots, navire, appareille, vaisseau, roule, bord, plonge, eau, flot, boire. Champ lexical voyage : appareiller, navire, ciel lointain, vaisseau, étoile, champ lexical beauté : si beau (indolente à vérifier), parfum, doux, or, bijoux, belle. F) Indolentes : qui évite de se donner de la peine, qui agit avec mollesse

loin qu’il rêve de passer sa vie sous les bois, donc il oppose bien la ville à la nature. Relève les deux champs lexicaux opposés : celui de la ville et celui de la nature. Pour chaque mot, cite la ligne qui va avec : Champ lexical ville : ville (l.1), gaz (l.2), parisienne (l.4), journaux (l.8), cohue (l.8), boutiques (l.8), foule (l.9), opéra (l.9), civiliser (l.12) Champ lexical nature : bois verts, monts aromatiques, rochers, bois, papillon, verdure Texte D : Opposition entre

injonctif. 1- Les Règles du Classicisme 2- Sa conception de l’art poétique I. LES REGLES DU CLASSICISME Le Classicisme est fondé sur la raison, on se défie du fantastique et on procède grâce à la logique. Voir les 4 premiers vers. Le champ lexical du chemin, des cartes, de la marche et de la voie. Restriction de l’expression au vers 4. Le classicisme est régit par la symétrie. Vers 21-24 : faible/dur, l’un/l’autre. Vers 32 : le rythme binaire est placé en chiasme. « Un vers était

frappés par de blanches épaules rebondies sur lesquelles j'aurais voulu pouvoir me rouler, des épaules légèrement rosées qui semblaient rougir comme si elles se trouvaient nues pour la première fois, de pudiques épaules qui avaient une âme, et dont la peau satinée éclatait à la lumière comme un tissu de soie. Ces épaules étaient partagées par une raie, le long de laquelle coula mon regard, plus hardi que ma main. Je me haussai tout palpitant pour voir le corsage et fus complètement fasciné par une gorge

nous aide à prendre la même haleine que Julien. Ce premier plan nous présente une description économique du paysage et de la relation avec la nature, un symbole typique pour un roman. Les mots ,,immense’’, ,,montagne’’, et ,, élevé’’ forment le champs lexical de l’altitude pour décrire la supériorité de Julien, et l’adjectif ,,immense’’ renforce l’idée de difficulté que l’on peut se faire de ces obstacle. On découvre aussi une instabilité émotionnelle qui est plutôt évité a les décrire. Lorsqu’il est