Les Charmilles

fer n'ont pas subi l'affront, Et qui pleurent épars autour de ton beau front, Comme les feuilles sur le saule ? Les Turcs ont passé là. Tout est ruine et deuil. Chio, l'île des vins, n'est plus qu'un sombre écueil, Chio, qu'ombrageaient les charmilles, Chio, qui dans les flots reflétait ses grands bois, Ses coteaux, ses palais, et le soir quelquefois Un choeur dansant de jeunes filles. Tout est désert. Mais non ; seul près des murs noircis, Un enfant aux yeux bleus, un enfant grec, assis

en est l'étincelle, Les amours innocents, La femme en est l'encens. Couchez-vous sur la mousse Dans le beau mois de mai ; Dans le beau mois de mai, La chose la plus douce Dans le beau mois de mai C'est quand on est aimé. Parcourez les charmilles, Les sources, les buissons, Les sources, les buissons ; Autour des jeunes filles, Les sources, les buissons Chanteront des chansons. Sitôt qu'une femme aime, Au fond de son esprit, Au fond de son esprit Brille l'aube elle-même ; Au fond de son

mêle lyrisme et dénonciation comme dans tous les poèmes du recueil « l’Orientale ». I) Une belle île grecque, Chio, ravagée. a- L’anaphore du nom Chio, île enchanteresse mais dévasté apparaît au vers 2, 3,4 : « Chio, qu’ombrageaient les charmilles ». on a des images de la guerre avec un champ lexical développé : « tout est ruines et deuil » ver 1. Un fort contraste entre la beauté de la nature orientale et les ravages de la guerre. L’Enfant grec apparaît au ver 8 et lui aussi comme la nature

l'âme Son parfum ou sa couleur ; Si Dieu n'avait fait la femme, Il n'aurait pas fait la fleur. A quoi bon vos étincelles, Bleus saphirs, sans les yeux doux ? Les diamants, sans les belles, Ne sont plus que des cailloux ; Et, dans les charmilles vertes, Les roses dorment debout, Et sont des bouches ouvertes Pour ne rien dire du tout. Tout objet qui charme ou rêve Tient des femmes sa clarté ; La perle blanche, sans Eve, Sans toi, ma fière beauté, Ressemblant, tout enlaidie,

qui brille, offre à l'âmeSon parfum ou sa couleur ;Si Dieu n'avait fait la femme,Il n'aurait pas fait la fleur.A quoi bon vos étincelles,Bleus saphirs, sans les yeux doux ?Les diamants, sans les belles,Ne sont plus que des cailloux ;Et, dans les charmilles vertes,Les roses dorment debout,Et sont des bouches ouvertesPour ne rien dire du tout.Tout objet qui charme ou rêveTient des femmes sa clarté ;La perle blanche, sans Eve,Sans toi, ma fière beauté,Ressemblant, tout enlaidie,A mon amour qui te fuit

magasin embauche de manière fréquente des vendeurs lors des soldes ou lors des périodes à fortes importance. De plus il faut le rajouter que pendant cette période il y a eu deux stagiaires en plus dans le magasin, l’une venant d’un lycée privée « les charmilles » étudiante en BTS MUC et moi-même. La politique de rémunération du groupe : Salaire basé selon la hiérarchie, il n’y a pas de primes en fonction des résultats des ventes par vendeur. Mais il existe une prime par équipe si celle-ci parvient à

d’abord l’image paradisiaque de Chio en peignant les beautés et les richesses de l’île ; puis il les confronte à l’anéantissement causé par la guerre. Ainsi, dans la première strophe, les termes mélioratifs « l’île des vins » « ombrageaient les charmilles » « ses grands bois » « ses coteaux, ses palais» « chœur dansant » contrastent avec les termes péjoratifs « tout est ruine et deuil » « un sombre écueil » pour insister sur le fait que la guerre a détruit la nature, les villes et les liens humains

O horror ! horror ! horror ! Shakespeare, Macbeth. Les Turcs ont passé là : tout est ruine et deuil. Chio, l’île des vins, n’est plus qu’un sombre écueil, Chio, qu’ombrageaient les charmilles Chio, qui dans les flots reflétait ses grands bois, Ses coteaux, ses palais, et le soir quelquefois Un choeur dansant de jeunes filles Tout est désert : mais non, seul près des murs noircis, Un enfant aux yeux bleus, un enfant grec, assis, Courbait sa tête humiliée. Il avait pour asile, il avait

Les turcs ont passé là. Tout est ruine et deuil. Chio, l'île des vins, n'est plus qu'un sombre écueil, Chio, qu'ombrageaient les charmilles, Chio, qui dans les flots reflétait ses grands bois, Ses coteaux, ses palais, et le soir quelquefois 5 Un chœur dansant de jeunes filles. Tout est désert. Mais non ; seul près des murs noircis, Un enfant aux yeux bleus, un enfant grec, assis, Courbait sa tête

Le théâtre de la Reine est un théâtre construit pour la reine Marie-Antoinette par l'architecte Richard Mique de juin 1778 à juillet 1779. Il est situé dans le domaine du Petit Trianon, dans le parc du château de Versailles, dissimulé entre les charmilles du Jardin français et les hauts arbres du Jardin alpin. L'extérieur du bâtiment, à l'apparence d'une dépendance, contraste avec la décoration sophistiquée de son intérieur, paré de soie et de velours bleus et de sculptures dorées, pourtant tout