Les Chiens de paille

Dissertation. « L’extrême civilisation engendre l’extrême barbarie » Pierre Drieu La Rochelle, les chiens de paille. La nuit est notre seul repos. Le seul moment où on nous laisse dormir. Ce matin maman est morte. Ce soir ce sera peut être mon frère ou ma sœur. Dans le camp personne ne parle. Personne n’ose se soulever. Nous sommes tous si harassés, extenués. Cela fait maintenant quarante jours que j’ai quitté la maison. Quarante jours de misère et de désespoir. Les murs de fer délimitent notre

lambeaux de toiles flottant et palpitant à la surface de l’eau. La maison de la veuve Saverini, soudée au bord même de la falaise, ouvrait ses trois fenêtres sur cet horizon sauvage et désolé. 15 Elle vivait là, seule, avec son fils Antoine et leur chienne « Sémillante », grande bête maigre, aux poils longs et rudes, de la race des gardeurs de troupeaux. Elle servait au jeune homme pour chasser. Un soir, après une dispute, Antoine Saverini fut tué traîtreusement, d’un coup de couteau, par Nicolas Ravolati

lambeaux de toiles flottant et palpitant à la surface de l'eau. La maison de la veuve Saverini, soudée au bord même de la falaise, ouvrait ses trois fenêtres sur cet horizon sauvage et désolé. Elle vivait là, seule, avec son fils Antoine et leur chienne « Sémillante », grande bête maigre, aux poils longs et rudes, de la race des gardeurs de troupeaux. Elle servait au jeune homme pour chasser. Un soir, après une dispute, Antoine Saverini fut tué traîtreusement, d'un coup de couteau, par Nicolas

lambeaux de toiles flottant et palpitant à la surface de l'eau. La maison de la veuve Saverini, soudée au bord même de la falaise, ouvrait ses trois fenêtres sur cet horizon sauvage et désolé. Elle vivait là, seule, avec son fils Antoine et leur chienne “Sémillante”, grande bête maigre, aux poils longs et rudes, de la race des gardeurs de troupeaux. Elle servait au jeune homme pour chasser. Un soir, après une dispute, Antoine Saverini fut tué traîtreusement, d’un coup de couteau par Nicolas Ravolati

Ils avaient un chapeau en paille entouré d’un petit ruban noir et un mince maillot de coton blanc sans manche qui découvrait leurs bras robustes comme ceux des gladiateurs. C’étaient deux solides gaillards, l’un sur une chaise assis à califourchon qui riait aux éclats, l’autre accoudé à la rambarde presque somnolent. Visiblement, le repas avait été bien arrosé… L’ambiance était conviviale et un petit air de musique bourdonnait aux oreilles. Une dame jouait avec son chien et au fond des bourgeois

lit de paille , sous une lanterne suspendue à une poutre . il était douze ans, et avait grandi ces derniers temps assez gros , mais il était encore un majesticlooking porc, avec une apparence sage et bienveillant en dépit du fait que son tushes ne avaient jamais été coupés . Avant longtemps, les autres animaux ont commencé à arriver et se faire à l'aise après leurs différents modes . D'abord les trois chiens , Bluebell , Jessie et Pincher , puis les porcs , qui se sont installés dans le paille immédiatement

lambeaux de toiles flottant et palpitant à la surface de l'eau. La maison de la veuve Saverini, soudée au bord même de la falaise, ouvrait ses trois fenêtres sur cet horizon sauvage et désolé. Elle vivait là, seule, avec son fils Antoine et leur chienne “Sémillante”, grande bête maigre, aux poils longs et rudes, de la race des gardeurs de troupeaux. Elle servait au jeune homme pour chasser. Un soir, après une dispute, Antoine Saverini fut tué traîtreusement, d’un coup de couteau par Nicolas Ravolati

La paille et la poutre (Lc 6.35, 41-42) 7 1Ne vous posez pas en juge, afin de n’être pas jugés ; 2car c’est de la façon dont vous jugez qu’on vous jugera , et c’est la mesure dont vous vous servez qui servira de mesure pour vous. 3Qu’as-tu à regarder la paille qui est dans l’œil de ton frère ? Et la poutre qui est dans ton œil, tu ne la remarques pas ? 4Ou bien, comment vas-tu dire à ton frère : Attends ! Que j’ôte la paille de ton œil ? Seulement voilà : la poutre est dans ton œil ! 5Homme au

murs sonnaient creux, comme des ventres vides » Zola personnifie ainsi la maison à travers une comparaison. Maison qui petit à petit devient à l’image des habitants, à commencer par cette pauvreté et insalubrité : «  froid », « trou », « tas de paille », « misère », « pauvre », « pouilleux » ; comme en témoigne ce champ lexical de la misère. Le manque et le vide présent dans la masure témoignent aussi de la misère : « creux », « silence », « creusaient », comme le prouve se change lexical du vide

de toiles flottant et palpitant à la surface de l'eau.     La maison de la veuve Saverini, soudée au bord même de la falaise, ouvrait ses trois fenêtres sur cet horizon sauvage et désolé.     Elle vivait là, seule, avec son fils Antoine et leur chienne "Sémillante[4]", grande bête maigre, aux poils longs et rudes, de la race des gardeurs de troupeaux. Elle servait au jeune homme pour chasser.     Un soir, après une dispute, Antoine Saverini fut tué traîtreusement, d'un coup de couteau par Nicolas