Les Cnidaires

deux types de gastrulations : par creusement (EMBOLIE) par EPIBOLIE 2. Les Cnidaires en tant qu'exemple diploblastique Diploblastique et symétrie radial Métazoaires avec des tissus différenciés cycle dimorphe : polype et/ou méduse Rq : Ectoderme et Endoderme doivent apparaître seulement sur les schémas embryonnaires Pour les formes adulte, on parle de tissus. 3Groupes de Cnidaires : lignée de Médusozoaires Les hydrozoaires ex : Obélia Les Scyphozoaires → la forme méduse

d'animal dont le développement s'interrompt au stade larvaire et qui peut donc se reproduire à l'état larvaire (néoténie). Sommaire 1 Quelques larves 1.1 Spongiaires 1.2 Cnidaires 1.3 Plathelminthes 1.4 Annélides 1.5 Mollusques 1.6 Insectes 1.7 Poissons Quelques larves Spongiaires amphiblastula Cnidaires planula Plathelminthes miracidium (larve nageuse), cercaire, rédie (formes de reproduction asexuée) des Digènes coracidium de certains Cestodes cysticerque (forme de reproduction

augmentation des capacités de stockages et de distribution o Structures respiratoires spécialisées (branchies, poumons, trachées) augmentation de la surface d’échange gazeux (captage d’oxygène) Diploblastiques Triploblastiques Spongiaires, Cnidaires, Cténaires : respiration Le mésoderme a permis de pousser par diffusion. l’organogénèse (excréteur, musculaire, respiratoire, circulatoire) vers la céphalisation. Ec : Ectoderme – En : Endoderme. b. Annélides Les échanges respiratoires

____________________________________________________________ ________________________ Les Spongiaires et cnidaires Eponges de mer : On les trouve principalement dans l’eau de mer. A l’état adulte, les éponges sont sessiles, c’est-à-dire qu’elles s’accrochent à un rocher ou à des objets submergés. Elles ne se déplacent donc pas. Cependant à l’état larvaire elles peuvent se déplacer librement grâce à leurs flagelles Méduse : La méduse appartient au groupe des cnidaires et vit donc dans un milieu aquatique. Leur mouvement est lent

| | | |ORDRE : Cnidaires |NOM : Favosites sp. |PERIODE : Silurien –Carbo. | |Sous-ordre : Tabulés |

les formes libres de nombreux groupes de cnidaires et s'opposent donc aux formes polypes, sessiles. Les méduses sont généralement des prédateurs, elles paralysent leurs proies grâce à leurs cnidocytes et peuvent posséder des structures sensorielles très élaborées comme des ocelles, rassemblées au sein de rhopalies. Certaines méduses appartenant à la classe des Cubozoa peuvent être mortelles pour l'Homme. Dans le cycle de vie de certains groupes de cnidaires, la forme méduse peut alterner avec la phase

dans l'espace et dans le temps. Cette salle est un couloir circulaire avec une suite de vitrine et chaque vitrine représente un tableau, un exemple. On part des éléments les plus simples (en matière de structure), c'est à dire les éponges et les cnidaires, ensuite des éléments plus complexes comme les poissons, les requins, les oiseaux marins et enfin les mammifères. L'esprit de cette collection est de montrer une richesse et une complexité du vivant mais aussi la fragilité qui pèse dessus. Nous

répondant à la problématique qui l’entoure : En quoi cet organisme délicat dispose-t-il d’une importance environnementale primordiale ? www.lescoraux.com Page |2 Sommaire I. Une biologie délicate p.4 1. Taxinomie du Corail p.4 A) Les Cnidaires p.4 B) Les Anthozoaires et leurs sous-classes p.5 2. Anatomie p.8 A) Les coraux mous p.8 B) Les coraux durs p.11 3. Une géométrie complexe p.14 A) L’espace Euclidien p.14 B) L’espace devient courbe p.15 B) L’espace sphérique, de courbure

Les prédateurs marins PROBLÉMATIQUE: QUELLES SONT LEURS TECHNIQUES DE CHASSE SPÉCIFIQUE AUX MILIEUX OCÉANIQUES ? La méduse ou Le cubozoaire  Le cubozoaire , appelé aussi méduse-boîte est un invertébré de la classe des cnidaires qui se distingue des autres méduses par la forme de son ombrelle en forme de cube. La méduse-boîte est connue pour son venin extrêmement puissant produit aussi par certaines espèces. Les piqûres de ces espèces ainsi que quelques autres de cette classe sont extrêmement

mortalité importante voire disparition d'une SpS. Pour échapper à la compétition, solution = Migration. = Compétition par interférence ou principe d'exclusion compétitive. Concurrence spatiale entre les éponges, les moules, les mollusques, les cnidaires, les balanes. Concurrence alimentaire chez les oiseaux insectivores, reptiles insectivores ==> Même régime alimentaire pour un habitat différent. 2 SpS de paramécies ayant le même régime alimentaire : P1 au bout de 8 jours atteint son maximum et