Les Combattants

L’expérience combattante durant la Première guerre mondiale : l’exemple de la bataille de Verdun. A partir des documents suivants et des photographies projetées, montrez en quoi la bataille de Verdun est emblématique de l’expérience de guerre des combattants durant la Première guerre mondiale. Document 1 : La bataille de Verdun Document 5 : L’expérience de guerre d’un combattant français à Verdun Vendredi 25 février 1916 Depuis trois jours, les Allemands ont déclenché une attaque formidable

l'idée de pacifisme. Les associations d’anciens combattants constituent un véritable mouvement de masse qui constituent un facteur essentiel du mouvement pacifiste durant l’entre-deux-guerres. Leurs effectifs sont évalués entre 2 700 et 3 100 000. Les mouvements des combattants pris une place importante au sein du courant pacifiste et les différentes associations menèrent une propagande inlassable sur ce thème. Toute fois si les anciens combattants étaient pacifistes ils n'en demeuraient pas moins

le journaliste et poète Gabriel Boissy lance l’idée de la flamme du souvenir. L’approbation générale permet au projet d’avancer rapidement, et la flamme est allumée pour la première fois en 1923 et est ravivée chaque soir à 18h30 par des anciens combattants ou des victimes de guerre : c’est en quelques sortes « le devoir de mémoire » que l’on respecte ainsi.» Depuis 1945 d’autres plaques sont venues se joindre au dallage préexistant : « 4 septembre 1870 Proclamation de la République » et « 11 novembre

décadence et de naturalisme à la fois : L'Enfer, en 1908. En 1914, âgé de 41 ans et malgré des problèmes pulmonaires, il s'engage volontairement dans l'infanterie (malgré ses positions pacifiques d'avant-guerre) et réussit à rejoindre les troupes combattantes en décembre 1914 au 231e régiment d'infanterie avec lequel il participe aux combats en premières lignes jusqu'en 19163. La postérité se souviendra surtout du roman qu'il écrivit sur cette expérience Le Feu, prix Goncourt 1916, récit sur la Première

et civiles dans l’effort de guerre. Les affiches, les radios, la presse et censuré. Quelque thermes sont récurant, on joue sur les même thématique : - la place essentielle de l’enfant (p.101) - le patriotisme - l’héroïsation des combattants - diabolisation de l’ennemi. 3) Une mobilisation économique exceptionnelle au service d’une guerre industrielle. La course aux armements est plus généralement l’effort économique pour ravitailler les armés qui devient un secteur

1) La guerre est justifier par le gourvement en expliquant que les français doivent faire la guerre pour le salut public, dans lequel les combattants ont prient la décision de participer à la guerre. Notamment, la guerre doit être faite pour aider les alliés de la France et leur salut car les causes de cette guerre « C'est laccord de tous les partis, le rythme qui nous réunissait […] de gens qui ont pris leur décisions dans une vue claire du salut public. » Ces idées sont biens perçus par les citoyens

confiance en soi pour les déployer en situation de combat puisqu’ils ouvrent la porte à toutes sortes d’esquives et de contre-attaques s’ils échouent. Mais Jones se bat sans aucune crainte. Son jeune âge lui confère une innocence qui fait de lui un combattant doublement dangereux. Je connais bien Shogun et je dois avouer que j’ai eu de la difficulté à regarder le massacre de samedi. J’appréhendais ce que Jones pouvait faire et il est arrivé exactement ce que je craignais, mais jamais je n’aurais

les personnages sont tous blessés, ils ont des prothèses à la place des mâchoires, des jambes etc. La guerre retire toute humanité aux combattants. Ces hommes sont coupés du monde.  Ils sont exclus de la société car ils font peur, … Pourtant, ils sourient. Ces trois "gueules cassées" incarnent les conséquences de la guerre. En l’occurrence celles sur les combattants rescapés mais surtout mutilés. La souffrance n’est pas seulement physique, elle est aussi morale. Ils ont été les témoins de la guerre

dresser contre d’autres Français pour sauvegarder une parcelle de terre française… Sans uniformes, sans moyens militaires, sans autres armes que de fortune, n’ayant en commun que leur volonté de vivre et de mourir sur la terre de leurs ancêtres, ces combattants là, menaient un combat héroïque et sans espoir. Combat chaotique, désespéré, mortel, mais si efficace qu’il semait l’angoisse et la crainte dans les plus hautes sphères… et que la fatalité des circonstances précipitera vers un dénouement tragique

feu Attaque : En temps de paix dans le château un troupe de 12 soldats suffisait pour la sécurité Mais en temps de guerre on avait besoin de plus de combattant un seigneur des chevalier des combattants des mercenaires( guerrier qui n’étaient sous les ordre d’aucun seigneur) Seules les chevaliers et seigneur avaient une armure les combattants possédaient un hallebarde (perche avec une lame )L’épée était l'objet le plus précieux du chevalier mais il avait aussi un lance pour désarmé son adversaire