Les Conséquences De La Traite Négrière En Afrique

fait état dans son discours des conséquences causées par la colonisation sur le territoire africain, d'un point de vue culturel et social (I) qui sont nécessaires pour comprendre la situation actuelle de l'Afrique. D'autre part, il propose par l'intermédiaire de cette jeunesse, de trouver une solution au retard de l'Afrique par rapport au reste du monde sur le plan de son intégration, mais aussi une solution aux conflits internes à ce continent (II). I- Une Afrique en perte d'identité : la colonisation

sont loin de s’inscrire dans le registre des sociétés non évolutives qui n’ont pas davantage et pour l’essentiel perdu leur identité mais, à l’instar de quelques peuples africains, leur évolution endogène a été perturbé par la colonisation et la traite négrière d’où leur sous-développement matériel et intellectuel. On reproche souvent aux intellectuels africains d’exagérer la portée historique de ces phénomènes. Ce reproche n’est pas fondé car l’Afrique est le seul continent au monde à avoir enduré des

louées sur le système de l’incanto (enchères). Lorsqu’elles partent faire du commerce elles sont protégées contre les pirate par des navires de guerre. * Se constituer un bon réseau d’alliances Toutes les côtes de la mer méditerranée (Espagne, afrique du sud, grande bretagne) 1204 : 4ème croisade * Un état au service de l’économie Le Doge : représentant qui a payé pour avoir ce titre, entouré d’un grand conseil constitué des grandes familles les plus riches de Venise. On parle de ploutocratie :

spécialisés dans la production de matières premières pour les industries des pays développés. Mais cette production de matières premières se rétrécit de plus en plus, parce qu’on a de moins en moins besoin de matière première naturelles. Comme conséquence, quarante ans après les indépendances, l’Afrique ne produit pas de biens manufacturés et sa balance commerciale en souffre. Aussi, les peuples africains, en plus de l’insécurité environnementale, souffrent de l’insécurité alimentaire qui était moins

LES ENJEUX DU DEVELOPPEMENT EN AFRIQUE Certains ont une vision positive de l’Afrique en disant que c’est un espoir de développement, d’autres sont plus négatifs à cause des guerres civiles, dictatures… Une Afrique qui se meurt Stephen Smith I) Le retard africain ? A) Un retard certain 1° Une marginalisation qui s’accentue Les chiffres du revenu national par habitant, de l’IDH, de l’espérance de vie sont catastrophiques. 1970 : PNB de 14% de celui des pays

la traite négrière. L’Afrique immensément riche et encore à peine exploité, fait l’objet d’un regain d’intérêt dans la 2e moitié du XIXe. AINSI naissent l’impérialisme, une doctrine qui préconise la domination des peuples forts sur les peuples faibles, et la colonisation qui se caractérise par la conquête et l’exploitation des colonies jusqu’aux années 1950-1960. COMMENT expliquez cette domination européenne ? Comment les colonies sont elles administrée ? Quelles peuvent être les conséquences de

LA MARGINALISATION MENTALE DES AFRICAINS : UN EMPECHEMENT EXISTENTIEL POUR UN DEVELOPPEMENT HUMAIN INTEGRAL ET DURABLE EN AFRIQUE. Au fond de cette pensée, il y a une question existentielle qui souligne qu’il faut avoir un esprit critique sur la préoccupation d’un développement humain intégral et durable en Afrique. Ainsi nous proposons cette réflexion critique pour pouvoir venir au secours de notre continent dit malheureux : pourtant il a toutes les possibilités pour se développer sur le plan

Etats-Unis était de 16 240 milliards de dollars . En comparaison, le PNB de l’Afrique du Sud était de 542 milliards de dollars. Le premier pays africain est au 25ème rang : Afrique du Sud. Les 15 derniers pays du classement par PIB dans le monde sont africains. PNB par habitant : France  43 000 dollars par habitant en 2013 Afrique  1000 dollars par habitant depuis 2012 Le 179ème pays est le Burundi avec 180 dollars par habitant, le 178 ème est la République Démocratique du Congo avec 186 dollars par

terre promise des colons blancs, enrichis grâce au travail de milliers d’esclaves importés d’Afrique. Malgré la distance, l’île est bien française, et son histoire se joue d’abord à Paris, dans les ports du littoral qui engrangent les profits de la traite, dans les salons des philosophes qui discutent de cette dernière en attendant de l’interdire, et dans les bureaux des ministres qui dictent sa politique. Son histoire propre ne peut se comprendre sans un détour par la France et sa vie économique et

imposante structure haute de 52 mètres en bronze et cuivre[2] sur l'une des deux collines volcaniques coniques qui surplombent la capitale sénégalaise. Cette œuvre gigantesque, qui surplombe la capitale sénégalaise, est la première du genre en Afrique et s'élève dans le ciel plus haut que la statue de la liberté des Etats-Unis d'Amérique. Réalisée par des artisans sénégalais et des contingents d'ouvriers qualifiés de différents pays d'Afrique et du monde, elle a coûté officiellement 15 milliards