Les Conséquences Du Classicisme

particulière (p. 107-138) ; Le Cahier d’apprentissage pour la mise en contexte de l’œuvre et le dossier d’analyse (fiches 1, 2 et 3) ; Le corrigé de l’autoévaluation 3A présenté sur le site Internet du cours ; La plaquette Le 17e siècle : du baroque au classicisme pour la mise en contexte de l’œuvre ; Le guide La révision en six rendez-vous virtuels sur le site Internet du cours. Le sujet de rédaction Commentaire composé partiel Introduction – Parties argumentatives – Conclusion Mise en situation de l’extrait

vaste mouvement d’édition de traduction et de correction des œuvres de l’antiquité. Les livres imprimés sont d’abord en majorité religieux. Des humanistes comme Erasme de Rotterdam encouragent la traduction de la Bible conséquence : diffusion des idées de la Reforme. III. LA RENAISSANCE 1. Un vaste mouvement artistique La renaissance prend sa source en Italie. A l’origine de ce vent nouveau, la prospérité économique des villes italiennes qui crée une classe de

l’exposition vers 1 à 13 : partie narrative, point de vue omniscient : présente les 2 protagonistes. - Le dialogue vers 14 à 33 : savetier insouciant, pas d’économie / financier doit acheter sa tranquilité en donnant de l’argent au savetier. - conséquences puis dénouement vers 34 à 49 : le financier propose au savetier cent écus, il va cacher son argent mais ne dort plus → rend l’argent pour retrouver le bonheur. Portrait des deux protagonistes - choix des personnages = volonté de simplicité :

Tartuffe sans raison valable. Elle continue de remuer le couteau dans la plaie avec cette réplique « Juste retour » (v.1695) qui fait référence au retournement de situation, mais aussi à l’expression « Retour de bâton. », qui veut dire assumer les conséquences de nos actes, que la vie des hommes dépende de leurs actions, Dorine confirme par la suite, du vers « Vous ne vouliez point croire, et l’on ne vous croit pas. » (v.1696). À chaque réplique Orgon est tourné en ridicule. L’ultime humiliation pour

loupe de grand mère= raccord regard avec un cercle noir pour comprendre (précaution) difficultés de montages et de compréhension jusqu'en 1910 1903: J WILLIAMSON "gentil garçon de retour du pensionnat" 1er raccord d'axe et de mouvement; cause et conséquence 1905: Cécile HEPWORTH "rescued by rover" début des lignes de forces, toujours dans le même sens entrée et sortie de champ. cinema UK projeté dans des théâtres victoriens, a l'inverse du cinema français les bohémiens et pauvre sont les méchants

«Scène d'aveu tragique. Phèdre avoue à Hippolyte son amour. Sentiments douteux et violents. Destin fatal. Phèdre, personnage pathétique. Phèdre se lamente. Phèdre est victime des dieux. Supplications de Phèdre. Langage de Racine en lien avec le classicisme. Elégance du langage dans la...» «Phèdre date de 1677, c'est l'une des dernières pièces de Racine, il est alors au sommet de son art. Au début de cette pièce, Phèdre avoue dans un premier temps à sa confidente Oenone, son amour pour Hippolyte,

métaphore : Procédé stylistique consiste a designer une réalité par un terme qui partage avec cette réalité un point commun Exemple : Jean, c’est un lion La métonymie : Procédé stylistique qui consiste a designer une réalité par une partie, une conséquence ou par une autre idée qu’il lui est intimement lié. Exemple : boire un verre L’antithèse : Procédé stylistique qui consiste a associer à l’intérieur d’une même phrase, deux termes dont le sens s’oppose radicalement. Exemple : Qui aime châtie

pendant la première guerre mondial pour réaliser un film de propagande. Ne trouvant pas de champ de bataille assez spectaculaire, il tournera une grande partie en Angleterre. ⇨ Présence du mensonge. Cette guerre a également eu une autre conséquence économique, celle-ci, qui justifie qu’on puisse attribuer l’origine d’Hollywood à la première guerre mondiale. En effet, cette guerre démantelait la production cinématographique européenne basée sur la liberté des échanges internationaux. On a alors

« Athènes » est une synecdoque du peuple, le représente. Du v.1 à 17 presque que des alexandrins, seulement deux octosyllabes. En effet l’alexandrin exprime la majesté, l’explication. « Un air tyrannique » v.3 et le discours aride de l’orateur a pour conséquence « on ne l’écoutait pas » v.6. On voit v.9 une énumération de verbes au passé simple « Il fit parler les morts, tonna, dit ce qu’il put » qui marquent la défaite qui continue au v.10 avec « personne ne s’émut » qui renvoie à « on ne l’écoutait pas »

automatique voire inconsciente et qu'elle est indispensable, ensuite nous prouverons que dans certains autres cas, il n'est pas nécessaire d'interpréter chaque chose pour en comprendre la signification, et enfin pour terminer, nous aborderons les conséquences de l'interprétation de manière générale. Le langage nous permet de communiquer, il est aussi le premier domaine dans lequel nous pouvons affirmer qu'il y a interprétation systématique. Nous commencerons par nous intéresser a l'action de parler