Les Crises de l'âme

morte !" (l.12) Tr: cette mort soudaine touche à tout l'univers 2) * Usage du pronom personnel indéfini "on", ==> généralise le deuil + ==> Manifestations de la douleur grâce aux vb de perceptions "on entend des cris, (…) on voit la douleur" (l.15) *nombreuses occurrences de "tout" et de "partout" *hyperbole renforcée par l'anaphore : "Le Roi, la Reine, monsieur, toute la Cour, tout le peuple, tout est abattu" ==> gradation qui étend le cercle des humains

le désir effréné d’acquérir ...............82 VI Sommaire Le « Phédon » : le désir et la guerre..........................86 « Le Banquet » : le désir d’aimer ...............................87 « La République » (I à VII) : de la structure de l’âme à l’harmonie dans les cités ........................90 « La République » (VIII à X) : le désir avide au cœur des cités mal gérées ...................................96 Le « Philèbe », les plaisirs du corps et le plaisir de savoir .................

L’Occident on retrouve un vision moins convencionnelle de la nature - l’émotion naît des paysages observés - le poème avec un rythme vaste et étendu LA PENSÉE RELIGIEUSE - au jeunesse il traverse un cris d’incrédulité, mais puis (1820) il est redevenu catholique pratiquant (pour retrouver la paix de l’âme) - on le considère comme le poe du christianisme - dans Méditations – plus l’inquietude que la certitude religieuse - dans Harmonie – il se trouve vers déisme assez vague - après 1830 il est dechiré

surnaturelle avec ces figures représentant le mal. Ces sorcières sont en fait des démones qui manigancent un projet qui aboutira à la perte de l'âme de Macbeth. Ces êtres resteront, actifs en arrière plan jusqu'à la fin de l'histoire. Sur scène, elles sont perchées sur un rocher ce qui montre qu'elles représentent des êtres rattachées ni au ciel ni à la terre et les cris qu'elles poussent dans l'Acte IV nous rappellent que, en dehors du monde de Dieu, c'est l'incohérence qui règne. Le vocabulaire et les

formation de psychiatre de Freud l’a fait rencontrer les travaux de Charcot et Janet sur l’hystérie. L’hystérie est une maladie mentale complexe qui se manifeste par divers symptômes tels l’amnésie, l’aboulie, les contractures, les convulsions, les crises de nerfs. Un des premiers à étudier ces phénomènes à la Salpetrière fut Charcot, qui parvint à la conclusion que les symptômes avaient une origine psychique. L’hystérique semble en proie à des idées fixes subconscientes. L’utilisation naissante de

leur adultère, conséquence qu'ils acceptent comme les loups acceptent l'assassinat des moutons ; enfin, ce que j'ai été obligé d'appeler leurs remords, consiste en un simple désordre organique, en une rébellion du système nerveux tendu à se rompre. L'âme est parfaitement absente, j'en conviens aisément, puisque je l'ai voulu ainsi. On commence, j'espère, à comprendre que mon but a été scientifiquement avant tout. Lorsque mes deux personnages, Thérèse et Laurent, ont été créés, je me suis plu à me

en jouant ce rôle qu'il accède au monde des adultes, il se sent ainsi concerné et important. Sa famille, qu'il considère comme son public, cautionne inconsciemment ce comportement par la joie de sa présence "J'entrais à la cuisine [...] c'était des cris, des fous rires", ce désir de plaire n'exclut personne, de ce fait, on s'aperçoit de Sartre ne se définit que par la comédie : il est ancré dans l'art du paraître et de l'illusion, comme le prouve la scène avec son grand-père : "Il s'éveillait, m'enlevait

CAHIER DE TRACEÉQUIPE : Florence Poisson Sophie Bors Lydia Sellah Nour Amri Ndeye M. DiaCOURS I : LE TABLEAU DES ASPECTSFAMILLE LINGUISTIQUE : IroquoiensSOCIAL-Ils ont une fête de la Mort. Elle leur permet d’envoyer l'âme des morts dans l'au-delà et faire en sorte qu’il y aye des liens entre les familles concernées par le deuil.- Ils possèdent un chef civil Chef civile = éloquent et généreuxIl a comme but de prendre les décisions pour le village et de représenter ce dernier.

caressants. Dits par l’autre tout à l’heure, ils l’irritaient et l’écœuraient.] « Car les paroles d’amour, qui sont toujours les mêmes, prennent le goût des lèvres dont elles sortent. » Maupassant, Bel-Ami [« Et l’envie, l’envie amère, lui tombait dans l’âme goutte à goutte, comme un fiel qui corrompait toutes ses joies, rendait odieuse son existence. » Maupassant, Bel-Ami (p.355-356)] ------------------------------------------------- Citations sur le romantisme * Musset, Rolla « Je suis venu

quelque part. Nous ne sommes pas préparés à la mort, oui nous allons être confrontés à la mort, souvent des gens qui sont proches de nous, mais qu’en est-il de la notre? On nous parle que très rarement de ce qui va nous arriver le jour de notre mort, l’âme se détache-t-il vraiment de notre corps? Il y a-t-il une vie après la mort? Est-il vrai qu’il y a un tunnel avec une lumière blanche au bout? Tous des questions sans réponse, beaucoup de gens disent croire en tout ça, sur quoi se baser pour affirmer