Les Croyances Sont Elles Acceptables

l’inverse, la croyance suppose l’adhésion active d’un esprit à une représentation ou à une idée, elle ne se soutient que du fait d’une telle adhésion, et elle ne vaut qu’aussi longtemps qu’elle en bénéficie. Une croyance a donc une portée beaucoup plus psychologique que logique, elle désigne un fait

travail 1) Risque et notions de danger, de sécurité, de fiabilité 2) Limites dans l’espace de travail au-delà desquelles il y a risque d’erreurs, d’accidents. II. Facteurs influençant la perception des risques Introduction : notion de risque acceptable 1) L’évaluation du risque par les valeurs sociales 1.1. Le risque : une notion sociale et groupale. 1.2. La couverture médiatique. 1.3. Les effets de groupe. 1.4. Les facteurs de l’évaluation 2) Structure de la perception des risques :

guerre est une terrible boucherie humaine. En temps de guerre, l’homme se comporte comme un monstre capable des pires horreurs telles que le génocide d’une population pour des raisons patriotiques. Les guerres sont des désastres sociaux et économiques. Elles entrainent des traumatismes physiques et psychologiques à long terme dans toute la population. C’est probablement partant de ces constats que Barjavel (1911- 1985), qui a vécut les deux guerres mondiales, déclare qu’aucun motif ne peut excuser l’utilisation

universellement acceptable.1 Si une affirmation énonce bine une vérité, alors celui qui ne l'accepte pas est obligatoirement de mauvaise foi ou bien dans l'erreur. La vérité est par définition universelle (valable pour tout esprit), sinon ce n'est pas la vérité mais une hypothèse ou un préjugé ou une erreur. Un préjugé est une affirmation acceptée par un certain nombre (ce peut être une majorité) mais qui ne cherche pas à vérifier si elle est universellement acceptable. Il peut être

ont données des théoriciens importants comme H. Simon ou G. Becker. Elle postule que les individus choisissent rationnellement les moyens qu’ils utilisent pour atteindre leurs objectifs ; leurs croyances et leurs objectifs leur étant imposés par des forces conjecturales. Devons-nous considérer les croyances normatives et positives des acteurs comme vouées à être laissées sans explication ou à être expliquées par des forces conjecturales ? On évite ces difficultés en substituant la Théorie de la rationalité

Faut-il abolir les croyances ? Les croyances sont-elles un mode de pensée inférieur qui est dépassé et rendu inutile par la connaissance scientifique ou bien sont-elles légitimes malgré l’avancée de la science ? I/ Le dépassement des croyances par la connaissance scientifique 1) De l’âge fictif à l’âge positif de l’humanité : la loi intellectuelle des trois états (Auguste Comte, Discours sur l’esprit positif). Le progrès de la connaissance rend les croyances inutiles et nuisibles au

mal à nous débarrasser tant que nous n'adoptons pas une démarche ré exive autonome. A / La plupart de nos actions sont des actions accomplies par habitude (cf. Max Weber) et ces actions révèlent la manière dont notre pensée est structurée par des croyances que nous avons admises sans ré exion. B / Nous persistons de manière générale dans nos habitudes de pensée, tant que nous n'avons pas rencontré de problème. Si au contraire nos habitudes de pensée nous conduisent à agir de manière contraire à nos

Toutes les opinions se valent elles ?  L’opinion constitue une idée, un avis, un choix, une croyance qui accompagnent l’homme tout le long de sa vie. Elle a alors une valeur et permet à l’homme de s’exprimer et de s’affirmer. Avec la multiplicité de types de sociétés, de cultures et de valeurs qui les régissent, on assiste a une diversité d’opinions qui dépendent du milieu dans le quel l’individu évolue. Peut on alors insinuer que certaines opinions sont meilleures que d’autres ? Il s’agit de

‹‹entourage›› avec lequel elle diffère ses opinions. 1.2 Il y a certaines des intolérances de Mlle Marcelle qui sont valables et justifiées. Pour les Allemands par exemple, elle ne les tolère pas, car ils ne partagent pas les mêmes idées, opinions et croyances que celle-ci. Car eux, ils tuent les Juifs et s’attaquent aux enfants. Comme la pharmacienne n’accepte pas du tout cela, elle est intolérante avec eux. D’autre part, certaines ne sont pas justes, parce qu’elle croit que ses opinions sont mieux

de pensée (comment puis-je penser mieux?). Deux niveaux de pensée : Intuitif et cognitif 2. L’éthique de la croyance Croyance fondée : prends en considération les informations mises à la disposition, des raisons valables. Juger les croyances? Ce ne sont pas les croyances proprement dites qui sont jugées, mais plutôt les conséquences qui en découlent. Croyances dans la société : Elles proviennent de la société. Les actions, les modes de penser proviennent d’un bagage de convictions qui nous a été